Premier message l'après dépression - des séquelles ? 0 Posté le 23 août 2002 par DCF__8247 Déjà deux ans que je suis de retour au travail après une dépression majeure sévère qui a duré deux ans. On m'avait dit que je devais redevenir comme avant et pourtant j'ai encore des problèmes de concentration et de mémoire. Je n'ai pas beaucoup de résistance, je me fatigue vite. Je ne peux plus me permettre aucun excès. L'alcool me fait toujours pleurer. Parfois je bégaye. J'arrive à faire mon travail, mais c'est difficile. Mon moral est stable cependant. Y en a-t-il parmi vous qui ont aussi des séquelles de leur dépression ? Messages récents Page suivante la sortie... 15 Posté le 8 septembre 2002 par DCF__4981 bonsoir à tous ! Y'a 3 ans j'ai fais d'aprés mon medecin généraliste une depression...C'est vrai que je me sentais pas bien, je pleurais pour un rien, etc... Du jour au lendemain je me retrouve sous SEROPRAM et Lexomil. Je prends mon traitement comme me l'a indiqué le medecin mais rien ne change. Au bout d'un moment je me demande même si les médicaments me font de l'effet. Face à cet impasse, je me suis donc décidé à me prendre en main. Primo, j'ai quitté ma copine de l'époque car c'est vrai qu'elle me tapait sur le système, ensuite j'arrête mes études, j'en voyais plus l'utilité...Résultat, j'en profite pour me faire un repos forcé où je profite comme je peux de mon temps libre. Puis je trouve un emploi qui me plait, je me sents util dans mon entreprise et je comence à prendre confiance en moi...Le séropram est arrêté net, même pas besoin de période de sevrage, je stop tout du jour au lendemain. Etant quelqu'un de trés actif, je m'investis à fond dans mon boulot, au bout de 1 an à ce rythme et je n'ai plus connu le moindre souci de dépression...Les sequelles il en reste pourtant => ce satané Lexomil...Ce truk c'est vraiment chaud pour le stopper. En ce moment j'en suis à 1/4 à 1/2 par jour, c'est pas énorme mais il me faut ma dose. Pourtant je suis posé, j'ai mon appart. je gagne ma vie, j'ai une copine que j'aime et malgré tout ca, le manque causé par le lexomil est quelque chose que je n'arrive pas à gérer...Si des internautes ont réussi à stopper ce type de médicament, j'aimerai bien savoir comme il s'y ai pris car pour le moment, malgré que je me défonce au boulot ou dans mon sport, je sens toujours ce manque...et donc je gobe mon 1/4 de lexo. merci d'avance ... J'attends toujours le livre que tu m'as conseillé 14 Posté le 2 septembre 2002 par DCF__4028 J'ai louer deux autres livres La mémoire qui flanche du DR. Henri Rubinstein et Réussir grâce à la concentration de Roger Luc Mary, Pom Pas de problème 13 Posté le 2 septembre 2002 par DCF__8247 Non, il n'y a pas de problème. Tu n'as pas à te sentir coupable. Je n'ai tout simplement pas très envie de ressasser tout ça. C'est du passé et on ne peut pas le changer. Je préfère me concentrer sur l'ici maintenant et chercher des solutions à mes problèmes actuels qui sont concentration, mémoire, etc. Bonne journée. Ça ne va pas bien Bunuel? 12 Posté le 31 août 2002 par DCF__4028 Chere Bunuel, J'espères que mes phrases mal structurées ne t'ont pas blèssé ? Je voulais dire de lui faire voir à l'intérieur d'elle les motifs de ses gestes contre toi... Il faut bien se connaître grâce au miroir et trouver la démocratie entre les parties , personnage à l'intérieur de nous qui nous font ombrage...C'est le moi qui doit ramasser les opinions et dire le dernier mot. Sinon nous sommes plus vulnérable que les autres aux manipulateurs...Le miroir que tu retourne devant elle pour qu'elle puisse se regarder en face et ne plus projetter, ou comme tu disait son narcissisme quio te prends pour objet ,sa possession qui doit exécuter les ordres... Bunuel, il y a un problème? J'ai été maladroite?Pom Sans doute! 11 Posté le 27 août 2002 par DCF__4028 Message modifié le 27-août-02 à 13h31 ESTBunuel, Peu importe le problème auquel on se confronte, on se heurte dabord à une opposition. On la refuse si on peut la vaincre , la colère surgit. Moi elle est rare à venir et à s' violence est bien mauvaise conseillière! Ça n'arrange rien , bien au est désespéré la dépression arrive , on s'enfonce dans la noirceur mais c'est grâce à cette obscuruté le négtivisme que l'on perçoit la lumière...Te ne crains pas ton frère, c'est juste au burreau!J'ai commandé le livre dont tu me parlais...Il n'ai pas recommendé de boire en même temps que l'on est en traitement maintenant que tu n'es plus chez-vousParents te permets-tu de pleurer, de te plaindre ou d'être en colère, et de ne plus te sentir coupable par les reproche d'antan de ton père?Nous devons exprimer nos émotions mais de façon à les maîtriser...Il faut un équilibre pour trouver le ne faut pas tomber dans la sensiblerie comme certain propre sensibilité ne se compare à aucune autre, d'oû la différence de torture mentale que tu as subis a 8 ou 9 ans. était un supposé un apprentissage plutôt violent pour j'imagine, te rendre apte à rencontrer le monde cruel!Elle te torturait l'esprit,pour te faire avouer, quelles sortes de pensées?Elle cherchait la lutte entre vous ,le débat!Elle voulait se suicidée! c'était un début de destruction en espérant que l'autre fasse le travail???L'éliminerElle se trouvait sans doute devenue laide en viellissant, à ses propres yeux ,elle te jalousait pour être encore jeune!Mais finalement toi,tu as eu quelqu'un qui t'as trouvé belle et t'as accompagné dans ton existance?Te trouves-tu froide,ou c'est elle qui projetait?Il y a une personne qui t'aime en se moment ou dans ta vie?Si oui ! Elle s'est trompé sur toute la ligne!Ton père aurait peu te dire que tu plairais au garçon car d'après son regard ,tu était ravissante, mais il ne la pas fait!Il vous baillonnait,interdit de réagire !sa lionne avait parlé point final!Chantage ! cupabilité Ça on l'a tous vécu!Vous étiez les adultes et elle l'enfant perdu dans sa boisson pour oublier, qu'elle avait ratté quelque chose, mais quoi?Mais toi, malgrés tout ça, tu as bien réussis! sauf que tes anciens démons te poursuivent...C'est tout se que tu connais l,amour destructeur, blâmeur ,harceleur , ses semblables te cour au fesses...Lui riait,il avait compris son manège, la laissait s'amuser mais quand on joue tout seule ,on fini par s'ennuyer et passer à l'acte ou s'endormir de perçois qu'il te prenait pour responsable,qu'est-ce-qui te fais dire ça!À cause des fois que tu lui en parlais, pour demande de l'aide pour ta mère, Il se fachait contre toi. Il était impuissant par ces chantages ,il savait qu'ils étaient purs gens ne veulent pas se mèler des affaires des autres parce qu'ils sont trop individualistes,ils n'aiment pas le trouble des revirements de situations, souvent on peut aider et on voous le reproche après!Tu pouvais bien faire de l'angoisse c'est légistime!Tu as même pensé à te suicider ou à t'enfuir, vois-tu comme ta mère faisait!!!Mais toi tu étais déjà responsable d'un être chère...Elle vous a laissé seule ! Elle! restant dans sa maladie! Mais pourquoi ! au fond ! qu'est-ce-qui l'a emmuré dans cette dépression en vous culpabilisant sans doute l'exemple de sa mère et c'est un cercle qui ne s'arrête jamais, si on en prends pas conscience et qu'on arrête le procéssuce...Tu as une conscience. Tant mieux!Au CEGEP la narcissique c'est-elle rendue compte que c'était elle le problème?Pour ton père ,bien il ne se sens pas coupable , une de mes amie me sit souvent ,il ne faut jamais s'endirmir en se sentant coupable...C'et vrai la colère soit être dirigée contre la bonne personne, contre celle qui nous a blessé, pas contre vas lui écrire et envoyer la fumée aux cieux!Comme les indiens fiare des signiaux! Oui c'est tout se qui reste à faire avec lui mais avec ta mêre tu doit utiliser le mirroir de la légende d'Amaterasu ,mieux que la violence ou le chantage de l'argent pour contrer les guerres en tout genre...Pom Mon frère 10 Posté le 26 août 2002 par DCF__8247 Je ne crains pas mon frère. Il n'est pas méchant du tout. Le harcèlement était psychologique au travail le livre illustre très bien de quoi il s'agit. Il était psychologique quand j'étais enfant aussi. Je n'ai jamais bien porté l'alcool, un verre c'est bien. Le deuxième m'endors. Depuis que je prend des antidépresseurs. Je déprime dès le premier tout petit verre de vin. Je fais du cholestérol. Ce serait bien pour moi d'en boire un peu, mais je ne peux pas. Chez nous, c'était interdit de pleurer, de se plaindre ou d'être en colère et en plus on se faisait reprocher par mon père de ne pas être capables de rire et d'être heureux malgré ce qu'on vivait. Ça a commencé quand j'avais 8 ou 9 ans. Mon frère avait 5 ou 6 ans. Le soir après souper, dans le salon, nous étions tous là. Mon père, ma mère, mon petit frère et moi. Ma mère passait des heures à me torturer l'esprit, à me faire avouer toutes sortes de pensées que je n'avais jamais eu. Elle faisait n'importe quoi pour que je me fache contre elle elle me disait que j'étais laide, que jamais personne ne voudrait de moi, que j'étais froide, que jamais personne ne pourrait m'aimer, etc. etc. etc. Mon père était assis dans son coin, nous regardait et m'interdisait de réagir. C'était comme ça des heures de temps, deux ou trois soirs par semaine, chaque fois que ma mère se saoulait. Si je flanchais, que je pleurais parce que je n'en pouvais plus ou bien que je me fachais, ma mère faisait alors une tentative de suicide, bidon, genre 15 calmants, Essayer de se pendre avec de la ficelle de magasin, c'est pas assez pour tuer personne ou elle partait et disait qu'elle allait se jeter dans le fleuve. Elle finissait toujours par revenir. C'était mon frère et moi qui devions tenter d'empêcher ma mère de se suicider, mon père lui riait, on n'a jamais compris pourquoi. Mais pour mon père c'était moi la coupable. Chaque fois que je lui en parlais, pour qu'on demande de l'aide pour ma mère, Il se fachait contre moi. J'ai essayé d'en parler à des oncles, des tantes, des tas de gens, mais sais-tu quoi, les gens ne veulent pas savoir, il ne veulent pas entendre. Ce n'est pas comme des marques de coup. Des marques de coup, des blessures ça oblige les gens à réagir. C'est ça que j'appelle du harcèlement psychologique. Un jour ça a fini. Elle a fait une vraie tentative de suicide. On l'a enfin emmenée à l'hôpital. Le psychiatre lui a fait peur. Il lui a dit que si elle revenait, la prochaine fois il la garderait. Elle n'a plus jamais refait de tentative de suicide. J'avais 18 ans. Je suis restée encore deux ans et ensuite nous sommes partis mon frère et moi. On a pris un appartement. Mon frère a 43 ans et il suce encore son pouce. Je faisais tellement d'angoisse tu peux pas savoir. J'ai même pensé à me suicider ou à m'enfuir, mais je ne pouvais pas laisser mon petit frère tout seul. J'étais bonne à l'école, je me suis évadée là dedans, j'ai tout mis dans mes études. Ça m'occupait l'esprit. J'enseigne au cégep. Ma mère s'est excusée, il y a quelques années après avoir pris conscience en partie de ce qu'elle nous avait fait. Mais elle dit ne pas se sentir coupable. Moi si j'avais fait une chose comme ça une seule fois, je me serais certainement fait sauter la cervelle. Je n'aurais pas pu vivre avec parce que j'ai une conscience. Mon père est mort convaincu qu'il n'avait absolument rien à se reprocher. Il nous a dit mon frère et moi, que veux-tu. Qu'est-ce que tu voulais que je fasse. La vie c'est dur. Pour ce qui est de régler ses comptes. La colère doit être dirigée contre la bonne personne, contre celle qui nous a blessé, pas contre nous-même. La dépression c'est de la colère dirigée contre soi-même. Oui il faut régler ses comptes, mais symboliquement car ce n'est pas en détruisant quelqu'un d'autre qu'on se reconstruit. La thérapie sert à cela, le phénomène s'appelle le transfert, c'est le thérapeute qui reçoit la colère à la place du coupable. On peut blesser un peu quelqu'un qui nous a beaucoup blessé, on peut lui dire au moins, parfois on est surpris de la réaction. On ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs. Tu es trop douce, tu as peur de la chicane, donc tu n'exprimes pas ta colère, si tu l'exprimes ou si tu te défends tu te sens coupable. Pour apprendre à te défendre comme tu dis, il va falloir que tu apprennes à exprimer ta colère. La thérapie, quand elle est bonne ça fait du bien, pourquoi est-ce que tu n'essaie pas. Si j'avais eu juste la première, je te dirais de ne pas y aller. Mais la deuxième ça a bien marché pcq je lui ai dit exactement ce que je voulais, être capable de faire face à ma harceleuse et ne plus me faire harceler. Comment tu peux y arriver, cela dépend de la manière dont on te harcèle au travail. Un psychologue pourra t'aider à résoudre ton problème à toi. Page suivante
RT@AudeJavel79: Perso je n'ai qu'une seule envie me laisser tenter, la victime est si belle et le crime est si gai. 06 Nov 2021
On dit parfois que l’amour rend aveugle et à cet effet, beaucoup de femmes vivent avec des hommes avec qui elles ne sont pas heureuses. Elles savent qu’elles ne peuvent pas construire un avenir avec eux et pourtant elles restent. Est-ce par habitude, par peur de la solitude ou par peur de l’échec ? Quoi qu’il en soit, il est important de savoir qu’être seule et vivre le célibat n’est pas une fatalité, au contraire, cela pourrait être une avec un partenaire sans partage d’amour ni respect, n’est pas ce qu’on peut considérer comme une bonne vie de couple. Une vraie intimité doit être partagée et pas seulement sexuelle. La qualité d’une relation repose sur le sentiment d’amour mais aussi sur la confiance, l’échange, l’évolution mais aussi la solidité du femme ne doit pas se contenter d’une quasi relation, imaginaire de surcroit mais exiger une vie de couple dans laquelle complémentarité, respect et amour constituent le lien profond et spirituel entre deux personnes qui s’ ne vous contentez pas de.….Un homme qui vous cache ses vrais sentiments Vous n’avez pas besoin d’un homme qui a peur de s’ouvrir à vous, qui a peur de s’engager et d’envisager l’avenir avec vous alors que vous avez consacré une bonne partie de votre vie à lui. Vous méritez d’être avec une personne qui vous aime, qui recherche la stabilité du couple et qui a envie de vous accompagner dans l’aventure de la vie quelles que soient les difficultés personne qui n’a aucun respect pour votre relation. Vous méritez mieux qu’un partenaire immature et égocentrique et qui doute de son amour pour vous à chaque fois qu’il est entouré d’autres femmes. Vous méritez que votre homme vous respecte et vous considère et qu’il vous prouve que vous êtes la seule femme de sa qui ne s’investit pas dans votre relation. N’acceptez pas une aventure, une relation sans lendemain, dans l’espoir de voir votre homme rester et s’engager. S’il ne s’investit pas pleinement avec vous, ne perdez pas votre personne qui vous rabaisse. Vous n’avez pas besoin d’un homme qui se moque de votre petite déprime, qui vous rabaisse et qui vous décourage de réaliser vos rêves. Ne laissez jamais quelqu’un avoir de l’emprise sur vous et prendre des décisions à votre place. C’est votre vie et vous êtes libre de la concevoir à votre qui est trop immature N’acceptez pas d’être avec une personne immature et égoïste et qui n’assume pas la responsabilité de ses propres actes, qui ne reconnait jamais ses erreurs et ne présente jamais des personne qui vous prend pour acquise. Vous avez besoin de quelqu’un qui vous aime et vous considère comme la femme de sa vie à part entière et qui n’est pas avec vous par commodité. Il doit croire en vous et avoir de l’admiration pour qui essaie de contrôler votre vie. Vous avez besoin d’un homme qui avance avec vous dans la vie et qui vous aide à dépasser toutes les embuches et les obstacles qui se mettent en travers de votre chemin. Evitez celui qui essayera de contrôler votre vie et vous dicter votre façon de faire. Vous êtes seule maitresse de votre vie et créatrice de votre personne manipulatrice S’il essaye de vous faire douter de vos capacités et de vous rabaisser pour se sentir plus important, ne restez pas et partez. Vous devez être consciente de vos forces et faiblesses et de ce que vous valez et ne laissez jamais un manipulateur jouer de vos sentiments et de vos émotions. Ne soyez pas sa marionnette et ne le laissez pas guider votre vie. Lire aussi Testez votre intuition Deux femmes sont sur la photo, mais une seule est la mère. Laquelle ?
Pourtant tout commençait bien. Enfin, je veux dire, j'ai eu une enfance tranquille, j'ai été gâtée par mes parents jusqu'à ce que mon petit frère arrive. J'ai prit soin de lui comme le feraient toute grande sœur digne de ce nom. Mais un jour tout a dérapé. Je ne sais pas comment, c'est allé bien trop vite. Voici mon histoireJ’avais envie de vous parler de quelque chose qui me tient à coeur et qui fait que je me pose beaucoup de questions. Ce "quelque chose" c’est ma peur. Aujourd'hui j'avais envie de vous parler de quelque chose qui me tient à coeur et qui fait que je me pose beaucoup de questions. Ce "quelque chose" c'est ma peur. Vous allez comprendre de quoi je parle... Voilà, ça y est, Noah va avoir 9 ans au mois de mai. 9 ans! J'hallucine en l'écrivant! Evidement, comme toutes les mères du monde, j'ai l'impression que, encore hier, je le tenais dans me bras à la maternité. Mais non, j'ai bien pris 9 ans dans la tronche et cet enfant m'arrive à l'épaule. 9 ans, c'est un âge charnière. Le langage est acquis depuis bien longtemps, l'humour et le second degrés aussi. La notion du danger est bien présente et la rébellion de la pré-adolescence pointe le bout de son nez. Mais il reste quelque chose qui ne dépend que de moi l'autonomie. Pardon, je corrige ma peur de le laisser se débrouiller tout seul. Quand j'avais neuf ans, j'étais une petite fille qui ne s'arrêtait jamais. Impossible pour moi de rester enfermée à la maison! Pour la petite anecdote, j'ai réussi à m'enfuir de l'école maternelle quand j'avais 5 ans, c'est dire! Bref, à cette époque, à l'aube de mes 10 ans, j'avais plein de copines dans le quartier où j'habitais et je me retrouvais très souvent à jouer dehors avec elles. Dans les années 90, il flottait une forme d'insouciance au dessus de nos petites têtes d'enfants et, il me semble, que nous étions plus libres. Quand je dis "plus libres", je parle de la façon dont nos parents appréhendaient le danger. D'ailleurs, de quel danger parle-ton? Et bien pour être plus claire, aujourd'hui, je suis maman et JAMAIS je n'imaginerais laisser mon fils aller jouer avec des copains au square du bout de la rue. Je ne peux même pas imaginer une seule seconde ne pas l'avoir à portée de vue. J'ai bien trop peur qu'un fou surgisse de derrière un buisson, ou l'embarque dans un camion, qu'il soit tête en l'air au moment de traverser, qu'il se perde... bref, je me fais tous les films possibles et imaginables. Et je veux absolument tout maîtriser. Ma plus grande peur serait qu'il lui arrive malheur et que cela soit de ma faute. Je ne m'en remettrai pas. La faute à qui? A quoi? Peut-être qu'avant, lorsque j'étais enfant, les médias étaient moins présents dans nos vies. J'ai l'impression que nos parents ne savaient pas tout. Tout ce que nous nous savons aujourd'hui. Tous ces drames, ces accidents volontaires et involontaires... Aujourd'hui, nous sommes envahis de mauvaises nouvelles, d'histoires atroces. Il suffit d'allumer BFM TV ou encore de zapper sur les émissions qui racontent d'horribles crimes. L'horreur est à portée de télécommande finalement... et l'horreur et la peur sont devenues un business qui malgré nous ponctuent notre quotidien. Pourtant, quand j'y repense, j'allais à l'école du quartier seule, je pouvais jouer dehors avec mes copains et dépasser parfois les limites imposées par me parents. Cela me procurait un sentiment de liberté! Grâce à cela, j'ai développé une sorte de sixième sens qui me met en garde encore aujourd'hui quand je me retrouve en situation de danger. Je sens les gens. Je sais si ils sont bons ou méchants. En me laissant cet espace de liberté, mes parents m'ont, sans le savoir, armés pour la vie. Vous allez vous dire alors "mais pourquoi ne laisses tu pas plus de liberté à ton fils puisque cela t'a été bénéfique?" Nous vivons dans une société où nous sommes en permanence en alerte pour nos enfants. Et pas que pour les loisirs! Vous trouvez ça normal vous qu'on amène un enfant mensuellement chez le pédiatre même si il n'est pas malade "pour vérifier que tout va bien"? C'est quand même terriblement anxiogène! Quand j'étais petite, j'allais chez le médecin généraliste quand j'avais quelque chose! Pas pour m'assurer que "tout allait bien"! Mes parents avaient assez de jugeote pour s'en rendre compte tout seuls... Aujourd'hui on veut anticiper toute forme de danger. Moi la première. Nous vivons avec la peur qu'il arrive quelque chose de grave. Au final, que risquent nos enfants à explorer la vie et à devenir autonomes? Si il monte sur ce muret et qu'il tombe, au pire, il se cassera un bras? Je sais, c'est grave, mais est-ce si dramatique? Si il se coupe en m'aidant à cuisiner, est-ce si terrible? Si il se perd et demande son chemin, n'est-ce pas une victoire? Et puis ma peur de l'enlèvement n'est peut-être pas légitime finalement. Quand on sait que la plupart des kidnappings sont fait dans le cadre familial... Je me pose toutes ces questions en ce moment et je me demande à quel âge doit-on leur permettre d'explorer le monde? A quel âge doit-on lâcher la bride? Apparemment, je suis en plein dedans et il va falloir que je travaille sur moi! J'ai remarqué que ma peur de tout déteint sur Noah. Je me dis que j'en fais quelqu'un de prudent grâce à cette anticipation du danger. Et en même temps je me demande si je lui rends vraiment service, si c'est vraiment ça "la vie". Si il ne doit pas avoir confiance tout simplement. Toucher les limites du bout des doigts. Connaître l'odeur du danger. Savoir où il peut s'aventurer et où il ne peut pas. Car, je ne serai pas toujours là finalement... Alors je vais tenter de lui accorder de plus en plus d'autonomie. De vaincre mes peurs. De lui dire que la vie doit se vivre. Qu'on doit éviter le danger mais qu'il est aussi important de lui faire face, de temps en temps, pour en définir les contours et se sentir vivant. Je suis sûre que beaucoup d'entre vous sont dans mon cas alors si vous avez des conseils, je suis tout ouïe! À voir également sur Le HuffPost
attention je n'ai pas dit à l'essai, avec lui/elle, comme dirait l'autre, c'est du sérieux, c'est un engagement dans la durée, vous vous regarderez vieillir paisiblement, vous aurez tellement de souvenirs en commun, de quoi passer les vingt-cinq dernières années qui vous séparent de la retraite, et vers l'âge de 112 ans, vous sautez le pas, vous osez enfin, vous
Conseils de psy / Par info / Mal-être Comme des millions d’autres, vous entrez officiellement dans la catégorie des dépressifs. Même si le médecin a mis un grand ce n’est pas très grave» pour vous rassurer. C’est peut-être un monde qui s’écroule, qui s’ébranle au cela a commencé ? Pour certains, un événement ressenti comme une grande injustice les a frappé un deuil, une séparation, une tromperie,... et ils se sont retrouvés seuls devant leur colère ou leur tristesse, à ne plus savoir quoi faire, à juste avoir envie de tout laisser tomber...D’autres se sont battus depuis longtemps pour une cause juste, personnelle ou universelle, pour découvrir tout à coup qu’ils sont presque seuls à se battre. Le monde autour d’eux est indifférent à leur cause. Ils ont essayé de le convaincre d’être meilleur en vain. Et après la colère, vient ici aussi l’idée d’abandonner le encore ont l’impression que les gens qui les entourent vivent une vie heureuse et normale, mais que chaque fois qu’ils essaient de les rejoindre dans cette normalité, un peu comme si ils avaient été frappés d’une malédiction à la naissance ou suite à un événement parfois anodin, ils se sentent incapables, incompétents, nuls. Ici aussi, inutile de tricher. La renonciation est au bout du y a des dizaines d’autres manières de commencer» une dépression. Mais du point de vue de la thérapie systémique stratégique, toutes ont un point commun le patient décide à un moment de renoncer. C’est cette renonciation à s’investir dans une solution parce que l’on a déjà souvent tellement essayé et que le résultat est toujours aussi désespérant qui fait la caractéristique relationnelle de la situation, elle est un peu celle d’une pompe qui se serait désamorcée. L’énergie de base ne permet plus d’aspirer le liquide à la surface. La pompe tourne à vide. Autant ne plus l’ ici que les anti-dépresseurs peuvent peuvent contribuer à la guérison. En soutien à une intervention psychothérapeutique appropriée, ils donnent au patient un espace et un temps» pour réamorcer la pompe asséchée. Ce n’est pas le médicament qui va guérir le patient, mais il peut créer les conditions dans lesquels la thérapie devient possible. Ce travail de réamorçage de la pompe sera effectué avec le thérapeute. Très progressivement, il insufflera au patient de minimes éléments de désir du changement, comme un goutte à goutte dans la pompe asséchée, jusqu’à ce que le niveau permette de relancer un tout petit peu l’aspiration d’un tout petit filet d’ progressivité est essentielle dans la thérapie de la dépression, pour ne pas être tenté de trop vite déraper à nouveau dans les problèmes. L’hypnose ericksonienne sera d’une grande aide pour aider le patient à trouver en lui même les ressources qu’il connaît et qui lui permettront d’arrêter de renoncer. Car comme Goethe l’a écrit la renonciation, c’est un suicide au quotidien». Dominique Foucart, psychothérapeute chez interactes à Bruxelles info Avenue Oscar de Burbure, 151 - 1950 Kraainem Articles publiés 476 Type Psychologue , Psychologue clinicienne , Psychothérapeute , Coach , Sexologue , Praticienne bien-être Publics Adulte , Ado , Enfant , Couple , Famille , Groupe Du même auteur Tous les articles de cet auteur Articles sur le même sujet Tous les articles sur le même sujet Gérer le deuil / Par Sally Das / Mal-être Il n'est jamais facile de gérer un deuil! Il n'y a pas de bonne ou de mauvaise méthode et chaque personne réalise ce processus à son rythme. Cet article a pour but de vous... Lire la suite Le lâcher prise / Par Sally Das / Mal-être Le lâcher prise, un grand mot!Quand on évoque le lâcher prise au patient, ce mot résonne à lui comme une chute libre. C'est un peu comme si on lui proposait de sauter... Lire la suiteBonjour Je me présente je m'appelle Quentin et j'ai 35 ans diabétique de type 1. Depuis quelques temps il m'arrive de penser au suicide en regardant ma seringue d'insuline. Comme ce soir j'hésite de passer à l'acte car je m’inquiète pour mes proches. Une amie à qui j'ai confié mes envie de suicide et mes problèmes, en voulant bien français arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois anglais Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liés à votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liés à votre recherche Traduction - dopée à l'IA Zut ! Nous n'avons pas pu récupérer les informations. Nous travaillons pour résoudre ce problème au plus vite. Traduction de voix et de textes plus longs J'ai une seule envie pour le moment, c'est exposé dans un lieu particulier et pas un autre. I want one for now, this is exposed in a particular place and not another. Et aujourd'hui j'ai une seule envie que cela continue! ! ! Maintenant, j'ai qu'une seule envie repartir ! Quand j'aime je n'ai qu'une seule envie recommencer mais différemment... Aucun résultat pour cette recherche. Résultats 3079174. Exacts 2. Temps écoulé 859 ms. Documents Solutions entreprise Conjugaison Synonymes Correcteur Aide & A propos de Reverso Mots fréquents 1-300, 301-600, 601-900Expressions courtes fréquentes 1-400, 401-800, 801-1200Expressions longues fréquentes 1-400, 401-800, 801-1200sFdRvP.