Fondé en 1913 par deux passionnés de sport automobile, Robert Bamfort et Lionel Martin ; Aston Martin est aujourd’hui l’une des marques de voitures les plus renommées et admirées avec la performance et le raffinement comme exigences. Robert Bamfort et Lionel Martin Dans les années 1950, les Anglais dominent sur les 24h du Mans grâce à Jaguar qui inscrit son nom cinq fois au palmarès de l’épreuve mancelle. Depuis longtemps Aston Martin est présent sur cette course mythique mais sans jamais la remporter. La mission de la nouvelle DBR1, aller décrocher le podium et soulever le trophée. Dans l’immédiat de la seconde guerre mondiale, le constructeur anglais doit son salut à David Brown Limited qui après le rachat d’Aston Martin en 1947, fusionne la marque avec Lagonda. Rapidement, Aston Martin retourne à la compétition et inscrit son nom en 1948 lors des 24 heures de Spa. En 1951, Aston Martin donne naissance à la lignée DB3, une voiture de compétition qui reprend quelques pièces de la DB2. La DB3 tenta diverses compétitions, jusqu’à la formule 1 dans sa version DB3 GP, ou encore la DB3 S en endurance. David Brown En 1956, l’Aston Martin DB3 S laisse sa place à la DBR1, cette dernière bénéficie des changements de la réglementation sportive qui n’impose plus que les voitures de compétition soient issues de voitures homologuées pour la route. Ainsi, la DBR1 a pu être conçue comme une voiture de compétition dès le départ ! Pour la carrosserie, Aston Martin récupère la base de la DB3S mais abaisse son profil pour le rendre plus aérodynamique. DB3S Côté mécanique, la DBR1 s’équipe initialement d’un moteur six cylindres en ligne de 2,5 litres de cylindrée, un moteur nouveau réalisé en alliage et s’inspirant d’un moteur Lagonda. La transmission s’effectue aux roues arrière en passant par une boite manuelle à cinq rapports. La DBR1 lance sa carrière lors de la saison 1956 lors des 24 heures du Mans, la voiture ne voit pas l’arrivé à cause d’une rupture de boite de vitesse en toute fin de course lors de son 246ᵉ tour. DBR1 L’Aston Martin DBR1 revient en 1957, toujours avec son moteur 2,5 litres, qui signe deux secondes places lors du British Empire Trophy et lors d’une course sur le circuit de Goodwood. Ensuite, la DBR1 s’équipe d’un moteur de trois litres de cylindrée, alimenté par trois carburateurs Weber double corps, ce qui permet à la mécanique de proposer 254Cv. Avec ces améliorations, la DBR1 signe un doublé à Spa, suivi d’une victoire aux de Nurburgring. Aston Martin dispose désormais d’une voiture capable de jouer les avants postes sur les grandes courses du monde, et notamment pour les 24 Heures du Mans qui arrivent. Hélas, les espoirs d’Aston Martin sont douchés avec une onzième place. Pour la saison 1958, Aston Martin s’équipe de trois DBR1, mais le début de saison est marqué par de nombreuses casses mécaniques, mais la voiture se montre très rapide, notamment avec Stirling Moss au volant. Le succès arrive lors des du Nurburgring avec une nouvelle victoire sur cette épreuve, mais Aston Martin bute à nouveau aux 24 Heures du Mans où les trois DBR1 abandonnent. DBR1 Aston Martin revient à nouveau pour la saison 1959 avec la DBR1 avec deux nouvelles voitures dont une pour une écurie privée. La saison commence mal puisque les 12 heures de Sebring ne voient pas finir les DBR1, la première victoire arrive avec les du Nurburgring remporté une troisième fois de suite. Puis la DBR1 arrive à marquer son nom sur le sommet du podium des 24 heures du Mans cette année, la DBR1 signe même une seconde place, les deux DBR1 mettant 25 tours à la Ferrari 250 qui occupe la troisième place cette année. Grâce à cette victoire aux 24 heures du Mans, Aston Martin peut prétendre au titre de champion du monde des constructeurs, mais la lutte est serrée avec Ferrari et Porsche. C’est lors du Tourist Trophy à Goodwood que tout se joue, sur les trois DBR1 engagées, l’une prend feu mais une autre BDR1 remporte l’épreuve, devant une Ferrari et une Porsche. Par conséquent, Aston Martin remporte le championnat, le seul jamais gagné par la marque anglaise… Quentin Saunier, 25/08/2020

AstonDBR 1/300 Border Reivers Le Mans 1960 et 1961 En 1960 David Brown, propriétaire d'Aston Martin, est devant le dilemme de continuer la compétition sur la voie du succès ou d'arrêter la compétition à son plus haut niveau et se concentrer. En effet la compétition coûte de plus en plus chère. La DBR1 semble être arrivée au maximum de son potentiel et être dépasser par les Ferrari. De plus le nouveau moteur V8 n'est pas prêt. Aston Martin est alors une entreprise de 200 personnes qui doit se concentrer sur ses modèles de production. Aussi David Brown choisit-il de vendre ses modèles de compétition DBR1 à des écuries privées. DBR1/3 châssis n°3 L'écurie des Border Reivers fais l'acquisition de la DBR1/3 châssis n°3 immatriculée FSH360. C'est la voiture qui avait été brûlé à Goodwood pendant la Tourist Trophy de 1959 des modifications en seront plus facilement décidées. Cette écurie écossaise crée par Jock McBain et ses amis à Chirnside, Berwickshire dans les années 1950 elle est plus vielle que l'Ecurie Ecosse, et c'est dans cette écurie que Jim Clark se révéla dans le British Racing en 1958. L'année 1959 sera une année de victoires encore pour le jeune pilote qui se fera remarquer par Colin Chapman lequel lui offre un volant pour les 24Heures du Mans. En 1960 le pilote partage sa carrière avec Lotus en formule 2 et Les Border Reivesr en endurance. La voiture est modifiée. Le règlement impose un pare-brise plus haut, ce qui nécessitera l'ajout d'un montant central de riveté pour rigidifier le Pesrplex et d'un essuie-glace entouré de deux prises d'air pour garantir la vision et l'aération du pilote. Le modèle voit son arrière modifié pour gagner en aérodynamique l'appui tête disparaît au profit d'une arrière plus rond et englobant cependant qu'un coffre à bagage » vient en troubler la ligne exigence du nouveau règlement pris bien au pied de la lettre chez les Border Reivers. Le rétroviseur central doit de ce fait être monté au dessus du pare brise il est fixé sur un trépieds. De type obus il est légèrement décalé du centre de l'auto vers la gauche. Les ailes enveloppantes avant et les flasques d'arche de roues arrières disparaissent ainsi que le tendelet qui recouvrait le coté passager, une bâche en plastique transparent et fixée au pare brise reste la seule protection. Le petit feu de calendre précédemment situé au centre descendra en bas de l'entrée d'aire fixé sur une plaque triangulaire Enfin la couleur aussi change ; le vert Almond Green fait place à un bleu foncé plus écossais ». Le Mans 1960 C'est donc sur l'Aston Martin ex usine que Clark rejoint Roy Salvadori vainqueur du Mans 1959 pour la saison d' course partie en dixième position la n°7 pilotée par Jim Clark va bondir en tête. mais la forte opposition des Ferrari venues en nombre, jaguar et Maserati vont rattrapé le jeune pilote anglais qui retrouvera sixième a la deuxième heure. C'est une calme mais sûre ascension dans le peloton de tête qui s'engage cinquième à la troisième heure et enfin troisième à la sixième. Mais le nouveau règlement avec ce pare brise plus haut et une contenance du réservoir limitée vas être source de nouvelles contraintes et déboires. Les consommations de carburant ont augmentés plusieurs pannes sèches, les vitesses de pointe diminuées. Prudemment et faisant preuve de maîtrise, les pilotes de l'Aston ne se mêleront pas trop aux bagarres de tête préférant assurer un podium conquis dés la seizième heure sur une route glissante l'épreuve fut très arrosée. Classement final troisième avec 306 tours Le Mans 1961 Sur l'Aston Martin des Border Reivers, Clark partage le volant avec Ron Flockhart vainqueur 1956 e t 57 sur Jaguar. En effet Roy Salvadori a rejoint Tony Maggs sur l'autre Aston DBR1 chassis n°4 engagée par une autre écurie privée la John Ogier Essex Racing. La voiture est identique a l'année précédente à part le numéro elle porte le 5. La course Parti en septième position rappelons que nous sommes en départ type le mans » Clark une nouvelle fois surgit en tête dans la courbe Dunlop, mais ils est rapidement rattrapé par les Ferrari qui sont arrivées en force cette année. Les quatre première heures verront une descente lente dans le classement douzième. Puis une remontée qui verra la voiture atteindre la quatrième place à la neuvième heure. La dixième heure verra les problèmes mécaniques arriver embrayage et l'abandon au 132ème tour, l'équipe était alors classée alors quinzième. La miniature base et modifications Le modèl de base est sorti d'une série presse de fabrication IXO. La miniaure est entièrement démontée. La carrosserie est décapée. Puis les ailes avant sont "dégonflées"par l'exterieur la ligne de carrosserie devant etre droite vue de dessus. Les arches de passage de roue avants sont modifiées en se servant des photos et plans, tandis que celles des roues arrières sont ouvertes. L'arrière est redessiné, l'appui tête est rabotté, et le "coffre à valise" fabriqué deux pièces et positionné. La pointe de carrosserie arrière refaite plus pointue et ornées de quatre feux. Les ouvertures latérales sont modelées dans de la plasticine et recouvertes de résine type synthofer prenant le galbe du capot arrière. Enfin les gravures sont effectuées coffre et entourage boite à valise. Poste de conduite et tableau de bord Le dessus du tableau de bord est percé de trois trous de 0,5mm afin de pouvoir y coller le trépied du rétroviseur obus. Enfin sur la base de l'ancien pare brise est dessiné le nouveau qui sera plus haut et moins incliné et portera en son centre un montant central posé en extérieur et dont une tige un grand rivet qui tient un montant du rétro ??? dépasse en son milieu. Avant peinture un petit support triangulaire est monté dans la partie inferieure de la bouche d'air couleur sera bleu écosse du drapeau écossais pas de l'écurie. Si certains ont préconisé le bleu métalisé de l'écurie écosse d'autres britaniques ont préféré le bleu non métalisé, je serai de leur décals là j'ai besoin d'aide ...... surtout pour l'emblème des border reivers la silhouette de chevalierA suivre ....... j'attend vos réactions

In1959, the DBR1 took the win at both Le Mans and the 1,000km Nurburgring endurance race, which is a truly impressive feat considering the usual reliability of the period’s racing cars. Of the Home News Limited Edition Aston Martin DBS 59 Celebrates Legendary Le Mans Victory The car pays tribute to the legendary Aston Martin DBR1 racer that won the 24 Hours of Le Mans in 1959. Aston Martin is honoring the legacy of the iconic DBR1 race car that won the 24 Hours of Le Mans in 1959 with the launch of a new special edition DBS Superleggera developed by the automaker's Q personalization division. Commissioned by Aston Martin Cambridge, the Aston Martin DBS 59 features several unique design cues inspired by the DBR1 such as the gleaming Aston Martin Racing Green paintwork. There's also extensive use of gloss finish carbon fiber on the roof, roof strake, and painted hood louvres, while bronze accents adorn the grille, spoiler and wheels. Aston Martin The retro theme continues inside with a mix of Obsidian Black and Chestnut Tan leather used throughout the interior, and the seat backs and door inserts are trimmed with fabric inspired by the DBR1 seat material. Elsewhere, Aston Martin's Q division has added bespoke Saddle Leather Helmet Pods in the rear compartment to hold special 'DBS 59' crash helmets, race suits and gloves, and a bespoke 'DBS 59' logo embroidered in the seat will receive a two-piece luggage set which matches the interior, while an Aston Martin Racing Green car cover is also included featuring a white roundel with the car's production number. "When Aston Martin Cambridge expressed a desire to create a limited run of DBS Superleggeras inspired by the DBR1's famous Le Mans victory we knew it had to be something special," said Aston Martin Vice-President and Chief Marketing Officer, Simon Sproule."The soft metallic hue of the Aston Martin Racing Green paintwork is classy and timelessly beautiful; the level of thought and detailing is exceptional. My favorite element on the 'DBS 59' are the seat backs that feature fabric inspired by the DBR1 seat material, but there are countless touches that will intrigue and delight". Aston Martin Like the standard DBS Superleggera, the DBS 59 is powered by a V12 engine that produces 715 hp and 663 lb-ft of torque, paired with an eight-speed automatic transmission. 0-62 mph takes seconds before the car hits a top speed of 211 Aston Martin DBS 59 will be available to order from the Aston Martin Cambridge dealership, which is currently taking orders. Only 24 examples are being produced, each representing one hour of the endurance race the DBR1 competed in nearly 50 years ago. Aston Martin dAt9dMQ.

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