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Les surnoms ont pris une telle place dans l’identitĂ© des Ă©quipes NBA qu’on ne les imagine plus sans. En effet, que serait Houston sans les Rockets ? Ou bien Chicago sans les Bulls ? On revient ensemble sur l’histoire qui a amenĂ© chaque franchise Ă  ĂȘtre surnommĂ©e comme elle l’est aujourd’hui. AprĂšs cet article, vous pouvez dĂ©couvrir si ce n’est pas dĂ©jĂ  fait notre premier volume sur les surnoms des franchises de la confĂ©rence Ouest. Boston Celtics Lors de son entrĂ©e Ă  la ABA en 1946, Boston doit ĂȘtre baptisĂ© d’un surnom. AprĂšs un concours dont vous avez maintenant l’habitude, le propriĂ©taire doit choisir entre Whirlwinds, Olympians, Celtics ou encore Unicorns les licornes. MalgrĂ© les conseils de son staff publicitĂ©, qui lui dit que aucune Ă©quipe avec un nom irlandais n’a gagnĂ© quelque chose Ă  Boston », Walter Brown appelle son Ă©quipe les Celtics de Boston. Il aimait ce cĂŽtĂ© vainqueur des New York Celtics disparue en 1929 dans les annĂ©es 1920. Miami Heat Le surnom du Heat fait rĂ©fĂ©rence aux tempĂ©ratures Ă©levĂ©es de la rĂ©gion floridienne. Quand la franchise obtient le droit d’expansion en 1986, c’est cette appellation qui est choisie au cours d’un name-the-team contest ». Les maillots de Miami sont donc ornĂ©s du Heat’ lors de leur premiĂšre saison en 1988. New York Knicks Il faut savoir que Knicks’ est avant tout le diminutif de Knickerbockers’, un surnom empruntĂ© Ă  l’histoire. En effet, ce terme dĂ©finit les pantalons que portaient les immigrĂ©s nĂ©erlandais lors de leur arrivĂ©e dans le nouveau monde ». Beaucoup d’entre eux se sont implantĂ©s Ă  New York, d’oĂč la rĂ©fĂ©rence qui leur est faite par Ned irish, propriĂ©taire de la franchise en 1946. Charlotte Hornets En 2004, Bob Johnson tranche entre Bobcats, Dragons et Flight pour dĂ©signer le nouveau surnom de sa franchise. Certains le soupçonnent d’avoir choisi Bobcats’ en hommage Ă  
 son prĂ©nom. Cependant, la franchise devient les Hornets de Charlotte en 2014. Le surnom est tirĂ© d’un commandant britannique, qui dĂ©crivait la rĂ©gion de Charlotte comme un nid de frelons rebelles » pendant la Guerre de SĂ©cession, fin du 19e siĂšcle. Washington Wizards Voici une franchise dont les surnoms ont tous Ă©veillĂ© les critiques. A l’origine, les Washington Bullets sont possĂ©dĂ©s par Abe Pollin. Au dĂ©but des annĂ©es 1990, le propriĂ©taire est excĂ©dĂ© par les rapprochements entre Bullets’ et la violence armĂ©e. Son ami, et Premier Ministre d’IsraĂ«l Yitzhak Rabin est assassinĂ© en 1995. C’en est trop pour Pollin, qui passe Ă  l’action deux ans plus tard. Un contest est lancĂ© et le surnom de Wizards’, magiciens en français est plebiscitĂ©. ProblĂšme, le mot Wizard fait partie du vocabulaire connotĂ© au Ku Klux Klan, dont le chef est appelĂ© l’Imperial Wizard »  Des critiques qui s’attĂ©nueront avec l’arrivĂ©e de Michael Jordan en 2001. Detroit Pistons La franchise NBL des Zollner Pistons est basĂ©e Ă  Fort Wayne, dans l’Indiana, jusqu’en 1957. Quand elle dĂ©mĂ©nage Ă  Detroit, le propriĂ©taire Fred Zollner dĂ©cide d’enlever son nom de l’équipe. Il garde le Pistons’ qui colle bien Ă  la ville, baignĂ©e dans l’industrie automobile, qu’on appelle Motor City. Un Piston est un piston utilisĂ© pour la construction de plusieurs machines, dont les voitures. Lire aussi A quoi ressemblait le tout premier logo des franchises actuelles ? Orlando Magic A sa crĂ©ation en 1986, la franchise d’Orlando lance un concours en partenariat avec l’Orlando Sentinel. Le nom qui ressort est celui des Challengers’ mais les dirigeants veulent donner une identitĂ© Ă  l’équipe et font le choix du Magic’. Cela fait Ă©cho Ă  l’attraction touristique principale de la ville qui n’est autre que le parc Disney World. Toronto Raptors La ville canadienne obtient le droit d’expansion en 1994. Soucieux de reprĂ©senter tout le Canada, les dirigeants appellent Ă  un vote national pour les aider Ă  choisir. PopularisĂ© par le film Jurassic Park, sorti un an plus tĂŽt, le surnom de Raptors’ est le favori. Chicago Bulls En 1966, le propriĂ©taire de la franchise est Ă  la recherche d’un surnom. Il a l’idĂ©e d’un nom qui montre que Chicago est la capitale mondiale de la viande et hĂ©site entre Toreadors’ et Matadors’. C’est alors que son fils, Mark, se serait exclamĂ© Dad, that’s a bunch of bull! , ou c’est des conneries tout ça! ». Depuis, on connait mieux la franchise sous le nom de Chicago Bulls. Philadelphie 76ers L’équipe des Nationals de Syracuse dĂ©barque Ă  Philadelphie en 1963. Elle a besoin d’un nouveau nom et le passĂ© de la ville de l’Amour fraternel est sollicitĂ©. Le 4 juillet 1776, un congrĂšs a lieu Ă  Philly et la dĂ©claration d’indĂ©pendance des Etats-Unis est signĂ©e. Jour historique pour le pays. Le surnom de ’76ers’ semble alors ĂȘtre une Ă©vidence. Brooklyn Nets Alors membre de la ABA, les New Jersey Americans se retrouvent Ă  New York en 1968. A l’époque, l’équipe de football amĂ©ricain est surnommĂ©e les Jets’ et celle de Baseball les Mets’. Les propriĂ©taires ayant une immense inspiration ils dĂ©cident de surnommer leurs basketteurs les Nets’. Ils reviennent dans le New Jersey en 1977 avant de s’installer Ă  Brooklyn en 2012. Milwaukee Bucks Le Wisconsin est un Etat connu pour sa grande tradition de chasse. Beaucoup de cerfs y sont traquĂ©s, ce qui amĂšnent les juges d’un name-the-team contest » Ă  changer la dĂ©cision du public. Ce dernier s’était penchĂ© sur Robins’, mais un surnom plus reprĂ©sentatif de la rĂ©gion lui a Ă©tĂ© prĂ©fĂ©rĂ© les Bucks cerfs de Milwaukee. Atlanta Hawks Les Tri-Cities BlackHawks font leur entrĂ©e en NBA lors de la saison 1949-50. Créée en 1946, cette Ă©quipe est fruit de la fusion entre Moline, Davenport et Rock Island. Le surnom BlackHawk’ est une rĂ©fĂ©rence au nom du chef indien de la tribu des Sauk. En 1951, la franchise dĂ©mĂ©nage Ă  Milwaukee puis passe par Saint-Louis avant de finir Ă  Atlanta en 1968. Indiana Pacers Le surnom Pacers’ fait Ă©cho Ă  l’histoire qu’entretient la ville d’Indianapolis avec l’automobile. Une Pacer’ est une voiture qui intervient sur le circuit de l’Indy 500, course rĂ©putĂ©e, et qui impose le rythme lorsque le drapeau rouge est agitĂ©. Ce surnom est choisi par les actionnaires de la franchise en 1967. Cleveland Cavaliers En 1970, un vote est fait entre les cinq finalistes du name-the-team contest » Cavaliers, Foresters, Jays, Presidents et Towers. Le choix est celui qu’on connait, et le premier Ă  l’avoir proposĂ© dĂ©crit les Cavaliers’ comme un groupe d’hommes audacieux et sans peur, qui ont jurĂ© de ne jamais se rendre peu importent leurs chances. » Les Cavs n’ont jamais quittĂ© leur surnom depuis. Pour continuer Les surnoms des franchises de la confĂ©rence Ouest VoilĂ  pour les surnoms des franchises de la confĂ©rence Est. En espĂ©rant que ce point historique ait Ă©toffĂ© votre culture basket ! Aucunepartie de ce site ne peut ĂȘtre dupliquĂ©e, redistribuĂ©e ou manipulĂ©e sous quelque forme que ce soit. En accĂ©dant aux informations de ce site, vous acceptez de respecter la Politique de confidentialitĂ© et les Conditions d'utilisation de Voici toutes les solution Nom de l'Ă©quipe NBA de New-York. CodyCross est un jeu addictif dĂ©veloppĂ© par Fanatee. Êtes-vous Ă  la recherche d'un plaisir sans fin dans cette application de cerveau logique passionnante? Chaque monde a plus de 20 groupes avec 5 puzzles chacun. Certains des mondes sont la planĂšte Terre, sous la mer, les inventions, les saisons, le cirque, les transports et les arts culinaires. Nous partageons toutes les rĂ©ponses pour ce jeu ci-dessous. 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Voyageà New York de 6 jours en mars 2020 avec 2 matchs de NBA. C'était exceptionnel ! Super organisation avec beaucoup de disponibilité de l'équipe Sports US Travel tout en nous laissant trÚs autonomes. J'ai hùte de repartir.
Des noms, des noms ...et des prĂ©nomsMe divertir dans l'Ă©tude des changement de noms des franchises de NBA est un exercice de style qui me tente depuis bien longtemps, Ă  vrai dire. Plus comique et pourtant bien plus pratique que les changements de noms dans la banque ou l'automobile, ce que je nommerai dĂ©sormais pour gain de temps et place l'outnaming est un phĂ©nomĂšne qui a rĂ©guliĂšrement bouleversĂ© les positionnements affectifs dans la connotation affective et ordinaux sur la carte de l'AmĂ©rique, des franchises prĂ©fĂšrĂ©es des supporters et divers publics qui tournent autour du basketball d'outre Atlantique. Ceci est apparu dĂšs les premiers cris d'aprĂšs-naissance du bĂ©bĂ© NBA, issu des entrailles de l'ABL American Basketball League et la NBL National Basketball League, DĂšs l'annĂ©e 1950, suite Ă  des mouvements naturels dans toute Ă©conomie de marchĂ©, de fusion, absorption, ou tout simplement de disparition des franchises faillittes diverses,, de plus en plus de clubs notamment par la sans-pitiĂ© lutte pour la survie via les mĂ©dias pour gagner du terrain, il faut maĂźtriser les mĂ©dia , que se livrent les franchises, on a commencĂ© Ă  assister Ă  un vaste mouvement d'outnaming. Il faut se rappeler les dĂ©buts de l'histoire de l'ABA que Legendedubasket a essayĂ© de retracer dĂšs janvier 2004 dans notammmment histoire des Kentucky Colonels Artis Gilmore ou histoire des Virginia Squires Julius Erving On se rendit vite compte que les propriĂštaires de franchises, se sont bien vite trouvĂ©s acculĂ©s aux diffficultĂ©s Ă©conomiques baisse tendancielle des entrĂ©es en salles, notamment en corrĂ©lation avec les crises locales et systĂšmiques d'une part et fluctuations Ă©conomiques et financiĂšres endettement croissants des clubs pour les raisons de concurrence maintes fois explicitĂ©es dans Legendedubasket. logo des Virginia Squires Ă  gauche, l'outnaming La force du nom et ses symboles latents, l'image, la force des joueurs et leurs rĂ©sultats. Il existe donc diffĂ©rentes raisons qui ont amenĂ©es les franchises Ă  se dĂ©baptiser. Nous n'allons pas nous aventurer Ă  expliquer tous les cas de changements de noms des franchises mais, chemin faisant, en donner quelques unes. Le nom d'un club, c'est d'abord comme dans tout produit, le nom-marque. Il doit ĂȘtre Ă©vocateur et faire rĂ©ver tout en renforçant l'identitĂ©, confortant le supporter dans -ses racines physiques Phoenix Suns-dĂ©sert d'Arizona, -avec un clin d'oeil aux animaux chĂšrs Ă  lAmĂ©rique, d'hier ou d'aujourd'hui, typiques des lieus Dallas Chaparrals, Milwaukee Bucks, Memphis Grizzlies, Carolina Cougars logo en haut Ă  droite, -racines terriennes gĂ©ographiques Minnapolis Lakers, Utah Stars devenus Utah Jazz -racines culturelles Boston Celtics, Detroit Pistons-la ville de la General Motors, anciennement Fort Wayne Pistons Bob Yardley, New Orleans Jazz Pete Maravitch, Memphis Sound ,Washington Capitals ABA. Les Baltimore Bullets Archie Clark, Gus Johnson,Jack Marin Ă©quipe dominante des annĂ©es 60's en NBA, deviendront les Washington Bullets Elvin Hayes, champions NBA 1978. -ses racines historiques Kentucky Colonels-troupes des sudistes du gĂ©nĂ©ral Lee, San Diego Conquistadors, Philadephia 76ers-lieu de DĂ©claration d'IndĂ©pendance amĂ©ricaine signĂ©e par George Washington, ou Indiana Pacers, Spirit of Saint Louis-avion de Charles Lindberg Pour plus e prĂ©cision, ous pouvez voire dans Legendedubasket "marques et joueurs" ou "marques et clubs". La NBA et ses enfants ABA, ABL, NBL, USBL et autres ont toujours, en hommes de marketing, bien compris les rĂŽle et effets d'un bon nom. Cela Ă©tant admis, les dirigeants des structures ont de tout temps, surfĂ© sur ce phĂ©nomĂšne qui fait que, paradoxalement, alors que nous sommes en prĂ©sence d'une personne morale sociĂ©tĂ© par actions, le nom d'une franchise se compose d'un patronyme et d'un prĂ©nom...comme toute personne physique. Au sens propre du terme. Le supporter a un rapport physique et Ă©motionnel avec le nom de son club. Cela est donc bien une donnĂ©e marketing de base incontournable. En ce qui concerne la NBA et ses conseurs, le prĂ©nom est en fait le qualificatif, celui qui sert de diminutif-affectif tel celui que l'on dĂ©cerne Ă  son propre enfant, comme par exemple les Celtics, Les Lakers, les Nets, les Spurs. Ceci en fait, nous fait oublier que bes diminutif sont reliĂ©s Ă  la ville ou se situe les Celtics, les Warriors, les Suns etc... C'est la raison pour laquelle, lors du transfert du siĂšge lĂ©gal qui doit abriter plus ou moins symboliquement, les locaux du siĂšge administratif de la direction, on a toujours mĂ©nagĂ© le diminutif, finalement sacrĂ©, qui capitalise au niveau affectif Ă©normĂ©ment du patrimoine affectif supporters, fans , culturel visiteurs du site internet et touristes, flux de badaux et bien sur marketing et financier de la franchise sponsors et autres pourvoyeurs financiers. Le prĂ©nom-diminutif attire les clients, le nom de la ville attire les sponsors et leur environnemenet de clients et publics pĂ©riphĂ©riques. Le nom de la ville charroye son monde des affaires comme par exemple Boston, vieille ville de l'AmĂ©rique patricienne, qui renferme tout un potentiel de business via les grandes et anciennes entreprises qui y rĂ©sident depuis des temps anciens. Quelques raisons d'outnaming Le premier outnaming symbolique fut celui des Philadephia Warriors, la belle Ă©quipe oĂč Ă©voluait Wilt Chamberlain avec laquelle, en 1961, il marqua 100 points contre les Knicks de New York, et qui devint lors du rachat par un groupe d'hommmes d'affaires de Oakland, les Warriors de San Francisco, Golden State Warriors of San Francisco, champions NBA en 1975. LĂ , dĂ©jĂ  la prĂ©sence en Californie d'une franchise Ă  Oakland, les Oakland Oaks, contraignit les nouveaux propriĂ©taires Ă  changer la deuxiĂšme partie du nom celle de la vile qui symbolise le monde des affaires.. Hormis les changements de mains, le psasage d'un propriĂštaire Ă  un autre, bien souvent les propriĂštaires dĂ©cident de reprendre "leurs billes", retirer leur mise, leur part de capital, pour simplement des raisons stratĂ©giques l'opportunitĂ© du placement de leur actif sur un autre vĂ©hicule Ă©conomique entreprise, financier titre-action, portefeuille de titres, ou matĂ©riel. C'est une action stratĂ©gique du ressort de l'arbitrage simple de n'importe quel autre acteur de marchĂ©. L'objectif de rentabilitĂ© est atteint, et il estime qu'il est entrĂ© dans ses frais et la rĂ©cupĂ©ration de l'investissement est atteinte. la seconde raison, plus Ă©vidente car palpable et concrĂšte est Ă©videmment la situation Ă©conomique critique de la franchise Ce fut le cas des fameux Virginia Squires, Ă©quipe dominatrice durant 3 ans en ABA des annĂ©es et qui Ă  l'arrivĂ©e physique de Julius Erving, et surtout Ă  l'Ă©closion en star du joueur, se vit sous la pression des concurrents avides et poussant Ă  la dĂ©pense, contraints d'augmenter considĂ©rablmenet le salaire de Doctor J photo en haut Ă  droite, mettant par lĂ -mĂȘme en pĂ©ril, les finances du club. La venue, la saison suivante de Richard "Rick" Barry, le futur gendre du commissionner de la NBA Walter Kennedy, autre grand joueur qui a tentĂ© de palier au dĂ©part de Erving, qui, entre temps avait signĂ© aux Atlanta Hawks, anciennement Saint Louis Hawks Bob Pettit, Maurice Stokes. Cette dĂ©cision de transfert fut invalidĂ©e par les tribunaux qui obligĂšrent enfin Erving Ă  signer plus lĂ©galement chez les richissimes New York Nets devenus dans les annĂ©es 90's, New Jersey Nets, pour Ă©viter l'homonymie avec la franchise newyorkaise de NBA, les New York Knicks .Les changements de noms sont survenus aussi en raison des ambitions expansionnistes des autres franchises qui absorbĂšrent d'autres franchises moins puissantes mais financiĂšrement viables pour les renforcer en capital et leur permettre de disposer d'une arme financiĂšre plus puissante ainsi une meilleure assise financiĂšre. Suite Ă  l'absorption par la NBA de quelques Ă©quipes de l' ABA Nets, Houston Rockets ex San Diego Rockets, Spirit of Saint-Louis Maurice Lucas, Marvin Barnes, Phoenix Suns Connie Hawkins, Charlie Scott, San Antonio Spurs George Gervin, de nombreux noms-marques de franchises ont disparus du paysage basketballistique , mais heureusement, elles sont restĂ©es dans les mĂ©moires. La vague d 'outnaming dĂ©bute donc peu aprĂšs le mouvement de difficultĂ©s rencontrĂ©es par les franchises d'ABA, en premier lieu, puis par synchronisation avec les frĂ©quentes crises Ă©conomiques locales ou systĂšmiques , envahissant de plus en plus intensĂ©ment, le monde de la NBA. Les San Diego Conquistadors d'ABA des 70's coachĂ©s par Chamberlain, trop souvent vaincus, ont disparus puis lors de la relance du basket pro Ă  San Diego, changĂ© de prĂ©nom, vu la faiblesse de la notoriĂ©tĂ© ayant une connottaion nĂ©gative pour la marque. Les San Diego Conquitadors sont devenus ainsi les San Dego Clippers dans les annĂ©es 80's Bill Walton..enfant de San Diego., pour rester finalement une Ă©quipe de seconde zone...en NBA photosRemember the ABA, et Bermann Julius Erving Kentucky Colonels Salut, le mois prochain, je vous parlerai de la valse des Logos qui a touchĂ© le monde de l'ABA de plein pied durant la fin des sixties. Photos Juliu ErvingBermann
Retirerson no 6 de maniÚre permanente et auprÚs de toutes les équipes de la NBA permet de nous à New York; 22 h 20 Une golfeuse de 12 ans prendra part à

De Boston a Los Angeles voyage au coeur de la culture De Boston à Los Angeles, en passant par New York, Miami, New Orleans ou Denver, Rémi Reverchon vous emmÚne au coeur des 28 villes qui font le basket américain. Un voyage incroyable et authentique, pour lequel le présentateur vedette de NBA Extra s'entoure d'un casting All-Star Rudy Gobert, Joakim Noah, Nicolas Batum, Nikola Vucevic, Pau Gasol ou encore Terrell Owens vous guideront dans ces villes dont ils portent le maillot tous les soirs. Véritable invitation à l'évasion, ROAD TRIP NBA vous plonge au coeur de la culture US au rythme des BBQ texans, des biÚres de Milwaukee, des tubes de Justin Timberlake et à la découverte de la NASA, des Obama ou encore des magnifiques montagnes du Colorado. Jordan 11 aux pieds et maillot de Kobe sur le dos, Rémi vous attend au volant de sa Chevrolet Camaro... Let's go ! [Lire la suite] out of 5 based on 1 customer rating 1 avis client

DĂšsl’annonce de son dĂ©cĂšs, la NBA a rendu hommage au « plus grand champion de tous les sports d’équipe ». « Bill dĂ©fendait quelque chose de bien plus grand que le PubliĂ© le lundi 25 juillet 2022 Ă  06h28 Michael Jordan, Larry Bird, Magic Johnson... Ces noms ont fait les grandes heures de la NBA dans leurs Ă©quipes respectives, mais ils ont Ă©galement bousculĂ© l'histoire du sport au sein de la Dream Team, la sĂ©lection amĂ©ricaine des Jeux Olympiques de 1992. Six semaines de matchs dominĂ©s sans pareil. C'est une Ă©quipe de basket qui a marquĂ© l'histoire du sport en seulement six semaines d'existence et 14 rencontres officielles jouĂ©es. Il y a 30 ans, la Dream Team, l'Ă©quipe de rĂȘve, s'imposait comme la plus grande Ă©quipe de basket au monde, une rĂ©union des plus grands sportifs de tous les temps. Celle de Michael Jordan, Magic Johnson, Larry Bird, Karl Malone, Patrick Ewing ou encore Charles Barkley. Autrement dit, les meilleurs joueurs de la NBA, le championnat de basket amĂ©ricain. Entre juillet et aoĂ»t 1992, ils participent aux Jeux olympiques de Barcelone, marquent plus de 100 points par match, Ă©liminent tous les adversaires avec a minima 30 points d'avance et gagnent, sans surprendre personne, la mĂ©daille d'or. Pour ceux qui ne l'ont pas connue, France Inter vous raconte sept faits marquants sur cette Ă©quipe de lĂ©gende. Domination sans pareille aux JO de 1992DĂšs l'annonce de sa composition, l'Ă©quipe est prĂ©sentĂ©e partout dĂšs 1991 comme la meilleure jamais assemblĂ©e Michael Jordan double champion NBA est Ă  la tĂȘte de la meilleure Ă©quipe de NBA aux cĂŽtĂ©s de Scottie Pippen double champion NBA aussi, les Chicago Bulls, considĂ©rĂ©e mĂȘme comme la meilleure Ă©quipe de tous les temps. Larry Bird triple champion NBA avec les Celtics et Magic Johnson quintuple champion NBA avec les Lakers, deux des meilleurs joueurs des annĂ©es 80 restent Ă  un haut niveau malgrĂ© l'approche de la fin de carriĂšre et les blessures. Les autres sont individuellement des joueurs parmi les meilleurs des diffĂ©rentes Ă©quipes de NBA, comme Charles Barkley, Patrick Ewing, David Robinson, Clyde Drexler ou encore John Stockton. Michael Jordan, Magic Johnson et Clyde Drexler lors du match contre l'Espagne des JO. Le Tournoi des AmĂ©riques, entre le 27 juin et le 5 juillet 1992, leur donne enfin l'occasion de jouer leur premier match officiel. C'est un rouleau compresseur. Le premier jour, la Dream Team affronte Cuba et met Ă  ses adversaires 79 points d'Ă©cart 136 - 57. En tout, six matchs, zĂ©ro dĂ©faite et des victoires avec comme pire performance seulement 38 points d'avance. Les JO de Barcelone se dĂ©roulent entre le 25 juillet et le 9 aoĂ»t, et 12 Ă©quipes s'affrontent pour gagner la mĂ©daille d'or. Pour son premier match de la compĂ©tition, la Dream Team domine sans surprise l'Angola 116 Ă  48. Elle balaye Ă©galement l'Allemagne, le BrĂ©sil, l'Espagne, Porto Rico et la Lituanie avec plus de 40 points d'avance. Il n'y a que la Croatie qui "Ă©chappe" Ă  ces scores punitifs, lors d'un premier match pendant les Ă©liminatoires 103 Ă  70 et en finale 117 Ă  83. La domination sur toute les Ă©quipes de la Dream Team est telle que la presse et le monde du basket se demande si l'Ă©quipe n'est pas trop forte pour ne pas pĂ©naliser l'intĂ©rĂȘt pour le sport. Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies cookies permettent Ă  nos partenaires de vous proposer des publicitĂ©s et des contenus personnalisĂ©s en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intĂ©rĂȘt. La performance de la Croatie en revanche, qui jouait pour la premiĂšre fois une compĂ©tition internationale depuis son indĂ©pendance en 1991, n'a rien d'Ă©tonnant. La plupart de ses joueurs constituaient dĂ©jĂ  la trĂšs forte Ă©quipe de Yougoslavie. DraĆŸen Petrović, qui Ă©voluait en NBA depuis 1989, aurait pu devenir l'un des grands joueurs du championnat amĂ©ricain s'il n'Ă©tait pas mort dans un accident de voiture en 1993. Tony Kukoč, quant Ă  lui, a rejoint les Chicago Bulls en 1993, est devenu champion de NBA Ă  trois reprises avec Jordan et Pippen et l'un des meilleurs joueurs europĂ©ens de l'histoire. Certains spĂ©cialistes du basket estiment aujourd'hui que si la Yougoslavie n'avait pas Ă©clatĂ©, son Ă©quipe de basket aurait Ă©tĂ© la seule Ă  pouvoir rivaliser quasiment d'Ă©gal Ă  Ă©gal avec la Dream Team. Une seule dĂ©faite dans leur histoireCe n'Ă©tait pas un match officiel, mais une sorte de match amical hors des circuits. La rencontre a eu lieu en juin 1992 Ă  San Diego. Face Ă  Jordan et les autres, une Ă©quipe constituĂ©e pour l'occasion de jeunes joueurs issus du championnat universitaire. Parmi eux, Grant Hill, Chris Webber, Penny Hardaway, et Allan Houston qui feront dans la dizaine d'annĂ©es suivante les belles heures de la NBA. L'objectif rĂŽder une Ă©quipe de lĂ©gendes qui ne jouent jamais ensemble mais les uns contre les autres, pour prĂ©parer les Jeux olympiques qui dĂ©butent quelques semaines plus tard. Les deux Ă©quipes se quittent au bout de 20 minutes seulement, sur une victoire des jeunes 62 Ă  54. Les stars de la NBA, de l'avis de tous les participants, se font largement dominer durant le match, physiquement et stratĂ©giquement, par des universitaires qui se sont sentis pousser des ailes. Les rares images trouvables aujourd'hui sur Internet sont cruelles. Dans une interview Ă  un mĂ©dia amĂ©ricain en 2015, Grant Hill a partagĂ© ce bilan de la rencontre "Houston a rentrĂ© 10 paniers Ă  trois points pendant le match. Ils n'arrivaient Ă  rien avec Webber. Je vous jure que Webber les a tuĂ©s. On a tous eu nos grands moments." On ajoutera Bobby Hurley, avec son appareil dentaire, donnant aux trentenaires Larry Bird et Magic Johnson l'impression d'ĂȘtre d'une lenteur incroyable. Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies cookies permettent Ă  nos partenaires de vous proposer des publicitĂ©s et des contenus personnalisĂ©s en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intĂ©rĂȘt. Michael Jordan a eu l'honnĂȘtetĂ© de reconnaitre la faiblesse des siens le jour mĂȘme Ă  un journaliste du Los Angeles Times "On s'est fait tuer aujourd'hui. Ils nous ont battus et ils ont trĂšs bien jouĂ©. On est tellement peu coordonnĂ©s et tellement en manque de confiance. Aucune fluiditĂ©." Le lendemain, la revanche est jouĂ©e, et le bilan n'est pas le mĂȘme. Le rodage Ă©tait de courte durĂ©e et contrairement au premier match, Jordan a passĂ© plus de temps sur le terrain. "On ne dĂ©passait pas la moitiĂ© du terrain avec la balle", se souvient Grant Hill. Victoire de la Dream Team, avec "environ 100 points d'avance", croit se rappeler Charles Barkley. USA - France, le massacre avant les JO21 juillet 1992. La Dream Team arrive Ă  Monte-Carlo pour un dernier match amical avant les JO. C'est la seule occasion qu'aura l'Ă©quipe de France de se mesurer aux gĂ©ants amĂ©ricains. Les Bleus, quatriĂšme meilleure Ă©quipe europĂ©enne Ă  l'Ă©poque, n'ont pas rĂ©ussi Ă  se qualifier malgrĂ© tous les efforts des solides StĂ©phane Ostrowski, Georgy Adams, FrĂ©dĂ©ric Forte ou encore Hughes Occansey. Les AmĂ©ricains, qui viennent de dominer quant Ă  eux le Tournoi des AmĂ©riques, sont aussi dĂ©tendus sur la plage monĂ©gasque que sur le terrain. Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies cookies permettent Ă  nos partenaires de vous proposer des publicitĂ©s et des contenus personnalisĂ©s en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intĂ©rĂȘt. Dans les gradins, pas grand monde pour soutenir les Français. Des jeunes crient avec ferveur des "allez Jordan" pendant le match. Hugues Occansey avait 25 ans en 1992 et Ă©tait le meilleur marqueur du championnat français. Face aux amĂ©ricains, il ne marque que quatre points en 26 minutes de jeu. AuprĂšs du journal La Nouvelle RĂ©publique, il se souvient d'un beau match de gala "C'est la seule fois de ma carriĂšre oĂč je suis entrĂ© sur un terrain en me disant 'c'est pas grave si on perd'. Ce jour-lĂ , on a tous voulu se faire plaisir." La France s'incline sur le score 111 Ă  71, dominĂ©e en particulier par Michael Jordan et Charles Barkley avec 21 points chacun. PremiĂšre Ă©quipe amĂ©ricaine constituĂ©e de joueurs NBAAvant 1992, la FĂ©dĂ©ration internationale de basket-ball qui organise les compĂ©titions internationales, n'autorise pas les joueurs de NBA Ă  participer aux JO. Une rĂšgle liĂ©e Ă  la domination totale des Etats-Unis sur la discipline lors des six Olympiades entre 1948 et 1968 . L'Ă©quipe amĂ©ricaine est donc constituĂ©e de joueurs universitaires, dont certains ont fini, par la suite, par se retrouver Ă  Ă©voluer dans le championnat professionnel amĂ©ricain. Un certain Michael Jordan, joueur des Tar Heels de l'universitĂ© de Caroline du Nord, quelques semaines avant son entrĂ©e en NBA, a d'ailleurs participĂ© aux JO de Los Angeles en 1984. Contrairement Ă  ce qui pouvait ĂȘtre pensĂ© Ă  l'Ă©poque, quand le basket, comme d'autres sports, Ă©tait au cƓur de la Guerre froide, ni la NBA, ni USA Basketball la fĂ©dĂ©ration nationale ne sont derriĂšre l'Ă©volution de la rĂ©glementation. Ils n'ont pas non plus militĂ© pour, par esprit de revanche, aprĂšs la dĂ©faite de la sĂ©lection amĂ©ricaine en demi-finale contre l'URSS aux JO de SĂ©oul en 1988. En avril 1989, la FĂ©dĂ©ration internationale de basket-ball amateur perd le "amateur" de son nom et vote pour ouvrir les compĂ©titions aux joueurs professionnels, sous l'impulsion du secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de la FIBA d'alors, Borislav Stanković, une des anciennes lĂ©gendes du basket en Yougoslavie l'autre grande nation du basket. Ce dernier trouve illogique que tous les meilleurs joueurs professionnels du monde entier puissent reprĂ©senter leur pays aux JO, sauf les AmĂ©ricains. Le rĂ©sultat de la compĂ©tition en ressort forcĂ©ment faussĂ©. Une fois la rĂšgle abolie, USA Basketball monte donc son Ă©quipe pour les JO de 1992 avec la crĂšme de la crĂšme, coachĂ©e par l'entraineur aux deux titres de champion NBA avec les Detroit Pistons, Chuck Daly. Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies cookies permettent Ă  nos partenaires de vous proposer des publicitĂ©s et des contenus personnalisĂ©s en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intĂ©rĂȘt. Trois de ses joueurs Ă©taient dĂ©jĂ  champions olympiquesAvant 1992, quatre joueurs de la Dream Team avaient dĂ©jĂ  reprĂ©sentĂ© les couleurs des États-Unis lors de JO prĂ©cĂ©dents, lorsqu'ils n'Ă©taient encore que des joueurs du championnat universitaire Michael Jordan, Patrick Ewing, Chris Mullin et David Robinson. En 1988 Ă  SĂ©oul, l'Ă©quipe amĂ©ricaine avec Robinson fait face Ă  plus fort. Elle termine avec la mĂ©daille de bronze, derriĂšre l'URSS championne et la redoutable Ă©quipe de Yougoslavie, mĂ©daille d'argent. Patrick Ewing Ă  gauche, Michael Jordan au milieu et Chris Mullin Ă  droite aprĂšs leur victoire aux JO de 1984. En revanche, en 1984, la chance avait souri Ă  l'Ă©quipe amĂ©ricaine les trois jeunes qui n'avaient que 20 ans, Jordan, Ewing et Mullin dĂ©crochent facilement l'or aux JO de Los Angeles en Ă©crasant l'Espagne en finale sur le score de 96 Ă  65. Certes, ils n'auront jamais Ă  affronter l'URSS qui boycotte la compĂ©tition et la Yougoslavie qui manque de chance face Ă  l'Espagne en demi-finale, mais Ă  l'Ă©poque et avant mĂȘme son entrĂ©e en NBA, on voit dĂ©jĂ  la hargne et le talent de Michael Jordan. Chris Mullin fera une grande carriĂšre au sein des Golden State Warriors, et Patrick Ewing deviendra l'un des dĂ©fenseurs les plus redoutables avec les New York Knicks. Magic Johnson, sĂ©ropositif, n'Ă©tait mĂȘme plus en NBAEarvin "Magic" Johnson a Ă©tĂ© l'un des meilleurs meneurs de l'histoire et l'un des passeurs les plus adroits et les plus inventifs de ce sport. Mais le 7 novembre 1991, aprĂšs presque une dĂ©cennie de domination, le quintuple champion de NBA, figure emblĂ©matique des Lakers, doit mettre un terme Ă  sa carriĂšre. Ce jour-lĂ , il convoque la presse pour faire une annonce "À cause du virus du sida que je viens d'attraper, je dois quitter les Lakers aujourd'hui". Johnson est sĂ©ropositif, il a perdu du poids, se sent fatiguĂ©, mais ne souffre pas de la maladie. À 32 ans et pourtant encore quelques belles annĂ©es avant de prendre sa retraite, le joueur choque un monde habituĂ© Ă  voir disparaĂźtre rapidement ceux qui annoncent Ă  l'Ă©poque ĂȘtre contaminĂ©s. Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies cookies permettent Ă  nos partenaires de vous proposer des publicitĂ©s et des contenus personnalisĂ©s en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intĂ©rĂȘt. Mais le dĂ©part est de courte durĂ©e. Le 9 fĂ©vrier 1992, visiblement en pleine forme et Ă  la demande de ses fans qui ont votĂ© pour, il participe au All-Star Game, le grand match d'exhibition annuel qui voit s'affronter les meilleurs joueurs de l'ouest et de l'est des États-Unis. Pourtant absent des terrains depuis plusieurs mois, Johnson est dĂ©signĂ© meilleur joueur du match. Avant ce match, et avant mĂȘme l'annonce de sa sĂ©ropositivitĂ©, Johnson Ă©tait appelĂ© par le patron de la NBA, David Stern, pour intĂ©grer la nouvelle Ă©quipe des États-Unis qui jouera aux JO. "Si je suis en bonne santĂ©, j'irai", dit dans la presse quelques semaines plus tard celui qui rĂȘve de jouer avec Larry Bird et Michael Jordan comme coĂ©quipiers. C'est lui qui a d'ailleurs ensuite rĂ©ussi Ă  convaincre Bird, qui souffrait du dos et s'apprĂȘtait Ă  prendre sa retraite, et Jordan, pas prĂȘt Ă  se lancer avec n'importe qui, de rejoindre l'Ă©quipe. Avec la mĂ©daille d'or gagnĂ©e, il montre qu'il est encore un grand joueur sur le terrain et qu'on peut accomplir de grande choses mĂȘme en Ă©tant porteur du VIH. Malheureusement, plusieurs joueurs Ă  l'Ă©poque font part de leur dĂ©sapprobation quand il semble parti pour reprendre sa carriĂšre en NBA dĂšs 1992, craignant notamment un risque de contamination en cas de blessure. Il ne reviendra finalement chez les Lakers qu'en 1995, Ă  36 ans, le temps d'une saison. Un seul de ses joueurs n'Ă©tait pas professionnelTous les joueurs sĂ©lectionnĂ©s dans l'Ă©quipe Ă©taient des grands noms de la NBA, Ă  l'exception de Christian Laettner. À 22 ans au moment de sa sĂ©lection dans la Dream Team, il est l'une des stars du NCAA, le championnat universitaire de basket qui sert de tremplin vers la NBA. De 1988 Ă  1992, il joue pour l'universitĂ© de Duke. Sa progression et ses statistiques de jeu le classent parmi les meilleurs joueurs de l'histoire du basket universitaire. En 1991 et 1992, Duke gagne le championnat universitaire, notamment grĂące aux performances de Laettner. Mais c'est lors de la finale rĂ©gionale en mars 1992 contre les Wildcats du Kentucky qu'il entre dans l'histoire. MenĂ© 103 Ă  102 Ă  l'issue d'une prolongation trĂšs serrĂ©e, il ne reste que 2,1 secondes de jeu Ă  Duke pour tenter un tir de derniĂšre minute. Grant Hill future star de la NBA Ă©galement, engage depuis le fond du cours, sous le panier. Il lance la balle directement Ă  Christian Laettner qui se trouve au niveau de la ligne de lancer-franc adverse. Il l'attrape, feinte le dĂ©fenseur et tire ce qui est restĂ© comme "the shot" victoire sur le buzzer. Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies cookies permettent Ă  nos partenaires de vous proposer des publicitĂ©s et des contenus personnalisĂ©s en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intĂ©rĂȘt. C'est ce qui vaut au jeune joueur d'ĂȘtre retenu pour entrer la saison suivante en NBA, et d'ĂȘtre sĂ©lectionnĂ© dans la Dream Team par la direction de l'Ă©quipe nationale qui souhaitait au moins un joueur issu du championnat universitaire dans l'effectif. Deux autres jeunes joueurs avec de meilleures statistiques de jeu Ă©taient dans la course, devenus depuis des lĂ©gendes du basket Shaquille O'Neal et Alonzo Mourning. Sa hargne et sa brutalitĂ© sur le terrain, le fait qu'il soit perçu comme le produit d'une des universitĂ©s de l'Ă©lite blanche du pays alors qu'il venait d'un milieu modeste et sa sĂ©lection dans la Dream Team considĂ©rĂ©e par certains comme volĂ©e, lui valent une rĂ©putation assez nĂ©gative pendant les 13 annĂ©es d'une carriĂšre honorable sans tutoyer les sommets. Il est mĂȘme l'objet d'un documentaire de la chaine sportive ESPN intitulĂ© "Je dĂ©teste Christian Laettner". Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies cookies permettent Ă  nos partenaires de vous proposer des publicitĂ©s et des contenus personnalisĂ©s en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intĂ©rĂȘt. Vous trouvez cet article intĂ©ressant ? Faites-le savoir et partagez-le.

Lesplayoffs de la ligue nord-américaine de basket débutent samedi, aprÚs une saison réguliÚre qui a vu les équipes ayant « empilé » les stars peiner à trouver leurs marques.

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Lorsque l'Ă©quipe a dĂ©mĂ©nagĂ© Ă  Milwaukee en 1951, le surnom a Ă©tĂ© raccourci en Hawks. La franchise a conservĂ© le surnom abrĂ©gĂ© pour les dĂ©mĂ©nagements ultĂ©rieurs Ă  Saint-Louis et enfin Ă  Atlanta en 1968. Celtics de Boston Getty Images Le propriĂ©taire de l'Ă©quipe, Walter Brown, a personnellement choisi les Celtics plutĂŽt que les Whirlwinds, les Olympiens et les Licornes oui, les Licornes comme surnom de l'Ă©quipe de la Basketball Association of America de Boston en 1946. MalgrĂ© les avertissements d'un de ses employĂ©s de publicitĂ©, qui a dit Ă  Brown Aucune Ă©quipe portant un nom irlandais n'a jamais gagnĂ© quelque chose Ă  Boston », Brown aimait la tradition gagnante du surnom; les Celtics de New York Ă©taient une franchise Ă  succĂšs dans les annĂ©es 1920. filets de Brooklyn Abbie Parr/Getty Images Les AmĂ©ricains du New Jersey ont rejoint l'American Basketball Association en 1967 et ont dĂ©mĂ©nagĂ© Ă  New York la saison suivante. L'Ă©quipe a Ă©tĂ© rebaptisĂ©e New York Nets, ce qui rimait commodĂ©ment avec Jets et Mets, deux des autres franchises professionnelles de la Big Apple. Avant la saison 1977-78, l'Ă©quipe est retournĂ©e dans le New Jersey mais a gardĂ© son surnom. En 1994, les Nets auraient envisagĂ© de changer leur surnom en Swamp Dragons pour renforcer leurs efforts de marketing. La franchise a dĂ©mĂ©nagĂ© Ă  Brooklyn en 2012. Charlotte Frelons Getty Images Les trois finalistes du concours du nom de l'Ă©quipe pour la franchise d'expansion de Charlotte en 2004 Ă©taient Bobcats, Dragons et Flight. Le propriĂ©taire Bob Johnson aimait les BOBcats, mais certains joueurs de la ligue Ă©taient moins qu'impressionnĂ©s. "Cela ressemble Ă  une Ă©quipe de softball fĂ©minin pour moi", a dĂ©clarĂ© Steve Kerr aux journalistes Ă  l'Ă©poque. " Je suppose que cela montre qu'il n'y a plus beaucoup de bons surnoms Ă  avoir. " Kerr avait peut-ĂȘtre raison. Les Bobcats sont devenus les Charlotte Hornets en 2014, rĂ©unissant la ville avec le surnom original de sa prĂ©cĂ©dente franchise NBA. D'oĂč viennent les frelons? En 1987, George Shinn et son groupe de propriĂ©taires ont annoncĂ© que Spirit serait le surnom de la future franchise d'expansion de Charlotte. Les fans ont exprimĂ© leur mĂ©contentement, et cela n'a pas aidĂ© que certains fans associent le surnom au Club PTL, une Ă©mission de tĂ©lĂ©vision chrĂ©tienne Ă©vangĂ©lique basĂ©e Ă  Charlotte qui a fait l'objet d'un reportage d'enquĂȘte par le Charlotte Observatrice pour ses activitĂ©s de financement. Shinn a dĂ©cidĂ© de parrainer un concours de nom d'Ă©quipe et a demandĂ© aux fans de voter pour six finalistes. Plus de 9 000 bulletins de vote ont Ă©tĂ© dĂ©posĂ©s et les Hornets ont remportĂ© un glissement de terrain, battant les chevaliers, les cougars, les esprits, les couronnes et les Ă©toiles. Par la suite, Shinn a notĂ© que le surnom avait une certaine signification historique; pendant la guerre d'indĂ©pendance, un commandant britannique aurait qualifiĂ© la zone autour de Charlotte de nid de frelons de la rĂ©bellion ». Chicago Bulls Getty Images Selon le EncyclopĂ©die des Bulls de Chicago, le propriĂ©taire de l'Ă©quipe Richard Klein rĂ©flĂ©chissait Ă  des surnoms pour sa nouvelle franchise en 1966 et voulait un nom qui dĂ©peignait le statut de Chicago en tant que capitale mondiale de la viande. Une autre thĂ©orie est que Klein admirait la force et la tĂ©nacitĂ© des taureaux. Klein envisageait les Matadors et les TorĂ©adors lorsque son jeune fils s'est exclamĂ© Papa, c'est un tas de taureau! » Le reste est une histoire quelque peu douteuse. Les Cavaliers de Cleveland Maddie Meyer/Getty Images Les fans ont votĂ© Cavaliers le surnom de l'Ă©quipe en 1970 dans un sondage menĂ© par le Cleveland Plain-Dealer. Les autres finalistes comprenaient Jays, Foresters, Towers et Presidents. Le surnom du prĂ©sident Ă©tait vraisemblablement une allusion au fait que sept anciens prĂ©sidents amĂ©ricains sont nĂ©s dans l'Ohio, juste derriĂšre la Virginie. Jerry Tomko, qui a suggĂ©rĂ© des cavaliers dans le concours, a Ă©crit Les cavaliers reprĂ©sentent un groupe d'hommes audacieux et intrĂ©pides, dont pacte de vie n'a jamais Ă©tĂ© de se rendre, peu importe les chances. » Le fils de Tomko, Brett, est devenu un joueur de la Ligue majeure lanceur. Les non-conformistes de Dallas Getty Images Une station de radio de Dallas a parrainĂ© un concours de nom de l'Ă©quipe et a recommandĂ© les finalistes au propriĂ©taire de l'Ă©quipe, Donald Carter, qui a finalement choisi Mavericks plutĂŽt que Wranglers et Express. Les 41 fans qui ont suggĂ©rĂ© Mavericks ont chacun remportĂ© une paire de billets pour l'ouverture de la saison et l'un de ces fans, Carla Springer, a remportĂ© un tirage pour les billets de saison. Springer, un Ă©crivain indĂ©pendant, a dĂ©clarĂ© que le surnom "reprĂ©sente le style indĂ©pendant et flamboyant des habitants de Dallas". Nuggets de Denver Streeter Lecka/Getty Images L'Ă©quipe ABA de Denver Ă©tait Ă  l'origine connue sous le nom de Rockets. Lorsque l'Ă©quipe se prĂ©parait Ă  passer en NBA en 1974, elle avait besoin d'un nouveau surnom, car les Rockets Ă©taient dĂ©jĂ  revendiquĂ©s par la franchise de Houston. Les pĂ©pites, une allusion Ă  la tradition miniĂšre de la ville et Ă  la ruĂ©e vers l'or du Colorado Ă  la fin des annĂ©es 1850 et au dĂ©but des annĂ©es 1860, ont Ă©tĂ© choisies via un concours de nom d'Ă©quipe. Pistons de DĂ©troit LĂ©on Halip/Getty Images Les Pistons trouvent leurs racines Ă  Fort Wayne, dans l'Indiana, oĂč ils Ă©taient connus sous le nom de Zollner Pistons. Meilleur logo de tous les temps. Qu'est-ce qu'un piston Zollner? Un piston fabriquĂ© par Fred Zollner, alors propriĂ©taire de l'Ă©quipe, qui a nommĂ© le club d'aprĂšs son entreprise personnelle. Lorsque l'Ă©quipe a dĂ©mĂ©nagĂ© Ă  Detroit en 1957, Zollner a abandonnĂ© son nom mais a conservĂ© les Pistons. Le nom convenait Ă  la Motor City. Guerriers de l'État d'or Getty Images Les Philadelphia Warriors, du nom de l'Ă©quipe des annĂ©es 1920 qui a jouĂ© dans la Ligue amĂ©ricaine de basket-ball, ont remportĂ© le championnat lors de la saison inaugurale 1946-1947 de la Basketball Association of America. Les Warriors ont dĂ©mĂ©nagĂ© de Philadelphie Ă  San Francisco aprĂšs la saison 1961-62 et ont conservĂ© leur surnom. Lorsque l'Ă©quipe a dĂ©mĂ©nagĂ© de l'autre cĂŽtĂ© de la baie Ă  Oakland en 1971, elle a Ă©tĂ© renommĂ©e les Golden State Warriors. Houston Rockets Getty Images Les Houston Rockets s'appelaient Ă  l'origine leur maison Ă  San Diego. Les fusĂ©es ont Ă©tĂ© choisies via un concours de nom d'Ă©quipe et Ă©taient une rĂ©fĂ©rence au thĂšme de la ville, "Une ville en mouvement". Lorsque l'Ă©quipe a dĂ©mĂ©nagĂ© Ă  Houston en 1971, il Ă©tait parfaitement logique de conserver le nom, car Houston abritait un centre spatial de la NASA. Indiana Pacers Getty Images Selon le livre de Michael Leo Donovan sur les surnoms d'Ă©quipe, Des Yankees Ă  Fighting Irish que se cache-t-il derriĂšre le nom de votre Ă©quipe prĂ©fĂ©rĂ©e, le surnom des Pacers a Ă©tĂ© choisi en 1967 par les premiers investisseurs de l'Ă©quipe, dont l'avocat Richard Tinkham. Le surnom est une rĂ©fĂ©rence Ă  la riche histoire du harnais et de la course automobile de l'Indiana. Pacing dĂ©crit l'une des principales allures des courses sous harnais, tandis que les pace cars sont utilisĂ©s pour les courses automobiles, comme l'Indianapolis 500. Clippers de Los Angeles Jayne Kamin-Oncea/Getty Images Lorsque les Buffalo Braves de la NBA ont dĂ©mĂ©nagĂ© Ă  San Diego en 1978, les propriĂ©taires ont voulu renommer l'Ă©quipe avec un nouveau surnom. Ils se sont installĂ©s sur Clippers, un type de navire populaire au 19Ăšme siĂšcle. San Diego avait abritĂ© les Conquistadors/Sails de l'ABA dans les annĂ©es 1970. Donald Sterling a achetĂ© les Clippers au cours de la saison 1981-82 et les a transfĂ©rĂ©s dans sa ville natale de Los Angeles en 1984. Il a perdu tout respect Ă  San Diego mais a gardĂ© le nom des Clippers. les Lakers de Los Angeles Getty Images Combien de lacs naturels y a-t-il Ă  Los Angeles? La rĂ©ponse courte moins de 10 000. Lorsqu'une paire d'investisseurs a dĂ©mĂ©nagĂ© les Detroit Gems de la National Basketball League Ă  Minneapolis avant la saison 1947, ils ont cherchĂ© un nom qui sonnerait vrai avec la nouvelle maison de l'Ă©quipe. Étant donnĂ© que le Minnesota est "le pays des 10 000 lacs", ils se sont installĂ©s sur les Lakers. Lorsque les Lakers ont dĂ©mĂ©nagĂ© Ă  Los Angeles avant la saison 1960, leur surnom a Ă©tĂ© conservĂ©, en partie Ă  cause de la tradition que l'Ă©quipe avait Ă©tablie au Minnesota. Grizzly de Memphis Getty Images Lorsque Vancouver a obtenu une franchise d'expansion en 1994 pour commencer Ă  jouer la saison suivante, les propriĂ©taires de l'Ă©quipe avaient des plans provisoires pour nommer l'Ă©quipe les Mounties. La Gendarmerie royale du Canada et les partisans s'y sont opposĂ©s, alors les officiels de l'Ă©quipe ont repris leur recherche d'un nom. Le journal local a parrainĂ© un concours de nom de l'Ă©quipe, que les responsables du club ont surveillĂ© avant de choisir les grizzlis, une espĂšce indigĂšne de la rĂ©gion, plutĂŽt que les corbeaux. Lorsque l'Ă©quipe a dĂ©mĂ©nagĂ© Ă  Memphis avant la saison 2001-02, FedEx Ă©tait prĂȘt Ă  offrir aux Grizzlies 100 millions de dollars pour renommer l'Ă©quipe l'Express, mais la NBA a rejetĂ© la proposition. chaleur de Miami Getty Images En octobre 1986, les propriĂ©taires de la franchise d'expansion de Miami ont sĂ©lectionnĂ© la soumission Heat de Stephanie Freed parmi plus de 20 000 entrĂ©es, qui comprenaient Ă©galement des requins, des tornades, des plages et des barracudas. Dollars de Milwaukee Maddie Meyer/Getty Images MalgrĂ© la tradition de chasse du Wisconsin, l'entrĂ©e la plus populaire du concours pour nommer la franchise NBA de Milwaukee n'Ă©tait pas Bucks. C'Ă©tait Robin. Les juges ont annulĂ© le public et ont dĂ©cidĂ© d'un nom plus indigĂšne et beaucoup plus fort. Le choix aurait pu ĂȘtre bien pire Skunks Ă©tait parmi les autres entrĂ©es. Loups des bois du Minnesota Getty Images Le groupe de propriĂ©tĂ© de la future franchise du Minnesota a choisi Timberwolves lors d'un concours de nom de l'Ă©quipe en 1986. Le surnom a battu Polars par une marge de 2-1 lors du vote final, qui a eu lieu dans 333 des 842 conseils municipaux de l'État. Tim Pope, qui a Ă©tĂ© l'un des premiers fans Ă  nommer les Timberwolves, a remportĂ© un voyage au NBA All-Star Game. Pope a soumis 10 surnoms en tout, y compris Gun Flints. "Je pensais qu'un nom de deux mots gagnerait", a-t-il dĂ©clarĂ© Ă  un journaliste. L'entrĂ©e la plus populaire du concours Ă©tait Blizzard, mais l'Ă©quipe voulait un surnom qui soit plus unique Ă  son pays d'origine. "Le Minnesota est le seul État des 48 infĂ©rieurs Ă  avoir des meutes de loups des bois en libertĂ©", a dĂ©clarĂ© un responsable de l'Ă©quipe. PĂ©licans de la Nouvelle-OrlĂ©ans Getty Images Peu de temps aprĂšs que Tom Benson ait achetĂ© les New Orleans Hornets en 2012, l'Ă©quipe a annoncĂ© qu'elle allait changer de nom. Selon Marc J. de Yahoo. Lances, ils "considĂ©raient les surnoms Krewe groupes de paradeurs costumĂ©s dans le Mardi Gras annuel carnaval de la Nouvelle-OrlĂ©ans et Brass", mais s'est installĂ© sur les pĂ©licans - aprĂšs le pĂ©lican brun, la Louisiane oiseau d'Ă©tat. Knicks de New York Getty Images Le terme "Knickerbockers" faisait spĂ©cifiquement rĂ©fĂ©rence aux pantalons enroulĂ©s juste en dessous du genou par les colons hollandais du Nouveau Monde au cours des annĂ©es 1600. Beaucoup de ces colons ont trouvĂ© des maisons dans et autour de New York, oĂč un dessin animĂ© du pĂšre Knickerbocker est devenu un symbole important de la ville. En 1845, la premiĂšre Ă©quipe organisĂ©e de baseball a Ă©tĂ© surnommĂ©e les Knickerbocker Nine et le nom a Ă©tĂ© Ă©voquĂ© Ă  nouveau en 1946 lorsque New York a obtenu une franchise dans la Basketball Association of America. Le fondateur de l'Ă©quipe, Ned Irish, aurait pris la dĂ©cision d'appeler l'Ă©quipe les Knickerbockers, soi-disant aprĂšs avoir sorti le nom d'un chapeau. Tonnerre d'Oklahoma City Getty Images Lorsque les Seattle SuperSonics ont dĂ©mĂ©nagĂ© Ă  Oklahoma City aprĂšs la saison 2007-08, les fans ont votĂ© sur des surnoms potentiels Ă  partir d'une liste originale de 64 possibilitĂ©s. Thunder a Ă©tĂ© choisi plutĂŽt que Renegades, Twisters et Barons, et le nom a Ă©tĂ© extrĂȘmement bien reçu. L'Ă©quipe a Ă©tabli des records de vente le premier jour aprĂšs la rĂ©vĂ©lation du surnom. "Il y a juste toutes sortes de bonnes images et pensĂ©es de tonnerre, et l'expĂ©rience de jeu de Thunder", a dĂ©clarĂ© le prĂ©sident de l'Ă©quipe, Clay Bennett, aux journalistes. Le SuperSonics avait Ă©tĂ© nommĂ© pour le projet Supersonic Transport SST, qui avait Ă©tĂ© attribuĂ© Ă  Boeing. L'entreprise possĂšde une grande usine dans la rĂ©gion de Seattle. Magie d'Orlando Justin K. Aller/Getty Images Quand le Sentinelle d'Orlando a parrainĂ© un concours de nom de l'Ă©quipe pour la future franchise d'expansion d'Orlando, Challengers - une allusion Ă  la navette spatiale qui s'est Ă©crasĂ©e en 1986 - Ă©tait la suggestion la plus populaire. Les autres entrĂ©es comprenaient des Floridiens, des Jus, des Orbites, des Astronautes, des Aquamen et des Sentinelles, mais le panel de juges, y compris les responsables de l'Ă©quipe d'Orlando qui ont examinĂ© les suggestions, a dĂ©cidĂ© d'opter pour Magic. Le nom est un clin d'Ɠil Ă©vident Ă  la principale attraction touristique de la ville, Disney World. 76ers de Philadelphie Getty Images Les Syracuse Nationals ont Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©s dans la ville de l'amour fraternel en 1963 et l'Ă©quipe a Ă©tĂ© rebaptisĂ©e les 76ers, une allusion Ă  la signature de la dĂ©claration d'indĂ©pendance Ă  Philadelphie en 1776. Soleils PhĂ©nix Getty Images Le directeur gĂ©nĂ©ral Jerry Colangelo, qui n'avait que 28 ans Ă  l'Ă©poque, a choisi un nom pour sa franchise d'expansion en utilisant un concours de nom d'Ă©quipe en 1968. Colangelo a choisi Suns plutĂŽt que Scorpions, Rattlers et Thunderbirds, parmi les autres suggestions incluses dans les 28 000 entrĂ©es. Un fan chanceux a remportĂ© 1 000 $ et des billets de saison dans le cadre du concours, qui comprenait des entrĂ©es aussi obscures que White Wing Doves, Sun Lovers, Poobahs, Dudes et Cactus Giants. Portland Trail Blazers Getty Images En 1970, Portland a obtenu une franchise d'expansion dans la NBA et les responsables de l'Ă©quipe ont annoncĂ© un concours de nom de l'Ă©quipe. Sur plus de 10 000 entrĂ©es, Pioneers Ă©tait la plus populaire, mais a Ă©tĂ© exclue car le Lewis & Clark College voisin utilisait dĂ©jĂ  le surnom. Une autre entrĂ©e populaire Ă©tait Trail Blazers, dont le logo est censĂ© reprĂ©senter cinq joueurs d'une Ă©quipe affrontant cinq joueurs d'une autre Ă©quipe. Rois de Sacramento Kevork Djansezian/Getty Images La lignĂ©e royale des Kings remonte Ă  la fondation des Rochester Royals de la National Basketball League en 1945. Les Royals ont conservĂ© leur surnom aprĂšs un dĂ©mĂ©nagement Ă  Cincinnati en 1957 et sont devenus les Kansas City-Omaha Kings qui abandonnent bientĂŽt l'Omaha grĂące Ă  un concours de nom de l'Ă©quipe en 1972. Le nom est restĂ© inchangĂ© lorsque la franchise a dĂ©mĂ©nagĂ© en Californie en 1985. San Antonio Spurs Sam Greenwood/Getty Images Un groupe d'investisseurs de San Antonio a achetĂ© les Dallas Chaparrals Ă  l'American Basketball Association en 1973 et a dĂ©cidĂ© d'organiser un concours public pour renommer l'Ă©quipe. Cinq mille entrĂ©es avec plus de 500 noms ont Ă©tĂ© soumises. AprĂšs avoir reconsidĂ©rĂ© leur premiĂšre dĂ©cision d'appeler l'Ă©quipe les AztĂšques plusieurs Ă©quipes utilisaient dĂ©jĂ  ce nom, les juges investisseurs et reprĂ©sentants de la presse locale ont optĂ© pour les Spurs. Ce n'est peut-ĂȘtre qu'une coĂŻncidence si l'un des principaux investisseurs de l'Ă©quipe, Red McCombs, est nĂ© Ă  Spur, au Texas. Raptors de Toronto Getty Images Le groupe de propriĂ©taires de l'Ă©quipe d'expansion potentielle de Toronto a menĂ© des recherches de marketing approfondies dans Canada en 1994 et a organisĂ© un vote Ă  l'Ă©chelle nationale qui a aidĂ© les officiels de l'Ă©quipe Ă  dresser une liste de candidats potentiels surnoms. rapaces, qui parc jurassique aidĂ© Ă  populariser l'annĂ©e prĂ©cĂ©dente, a finalement Ă©tĂ© choisi plutĂŽt que les finalistes Bobcats and Dragons. Jazz de l'Utah Getty Images Non, l'Utah n'est pas connu pour son jazz. L'Ă©quipe est nĂ©e Ă  la Nouvelle-OrlĂ©ans en 1974 et les responsables du club ont dĂ©cidĂ© de garder le nom aprĂšs avoir dĂ©mĂ©nagĂ© Ă  Salt Lake City en 1979. Le surnom de Jazz a Ă©tĂ© choisi Ă  l'origine lors d'un concours de nom d'Ă©quipe, qui a produit sept autres finalistes Dukes, Crescents, Pilots, Cajuns, Blues, Deltas et Knights. Les deltas se seraient plutĂŽt bien traduits Ă  Salt Lake City la compagnie aĂ©rienne du mĂȘme nom y a un hub, tandis que les cajuns auraient peut-ĂȘtre Ă©tĂ© encore pires que Jazz. Les sorciers de Washington Getty Images Au dĂ©but des annĂ©es 1990, le propriĂ©taire des Washington Bullets, Abe Pollin, devenait frustrĂ© par l'association du surnom de son Ă©quipe et de la violence armĂ©e. AprĂšs l'assassinat de l'ami de Pollin, le Premier ministre israĂ©lien Yitzhak Rabin, Pollin a dĂ©cidĂ© d'agir et a annoncĂ© son intention de renommer l'Ă©quipe. Bien que Dan Steinberg de Sports Bog ait Ă©crit un historique trĂšs dĂ©taillĂ© du changement de nom, et a remis en question l'impact de la mort de Rabin sur la dĂ©cision. Un concours de nom de l'Ă©quipe a eu lieu et les fans ont votĂ© sur une liste de finalistes comprenant Wizards, Dragons, Express, Stallions et Sea Dogs. Peu de temps aprĂšs que Wizards ait Ă©tĂ© annoncĂ© comme le nom gagnant avant la saison 1997-98, le prĂ©sident de la section locale de la NAACP s'est plaint que le surnom portait sur les associations du Ku Klux Klan. Les surnoms prĂ©cĂ©dents de la franchise lorsqu'ils Ă©taient encore Ă  Chicago incluent Packers et Zephyrs. Cet article a Ă©tĂ© initialement publiĂ© en 2009.
Ceciest apparu dÚs les premiers cris d'aprÚs-naissance du bébé NBA, issu des entrailles de l'ABL (American Basketball League ) et la NBL (National Basketball League), DÚs l'année 1950, suite à des mouvements naturels dans toute économie de marché, de fusion, absorption, ou tout simplement de disparition des franchises ( faillittes diverses,), de plus en
NBA Jordan, Kobe, LeBron... Les plus gros trades avortĂ©s de l’histoire PubliĂ© le 18 juillet 2022 Ă  12h35 par Pierrick Levallet Il y a quelques jours dĂ©jĂ , Kevin Durant aurait rĂ©clamĂ© son trade. Toutefois, les Brooklyn Nets demanderaient de grosses contreparties de la part des autres franchises pour accepter de libĂ©rer la star de 33 ans. Si aucune ne parvient Ă  satisfaire les exigences de l’équipe de New-York, Kevin Durant pourrait ĂȘtre contraint de rester et de voir son trade ĂȘtre avortĂ©. KD pourrait ainsi connaĂźtre le mĂȘme sort que d’autres lĂ©gendes de la NBA avant 2019, les Brooklyn Nets avaient frappĂ© un Ă©norme coup sur le marchĂ© en s’attachant les services de Kevin Durant et de Kyrie Irving, deux des meilleurs joueurs actuels, la mĂȘme annĂ©e. La franchise de New-York avait pour objectif de construire la meilleure Ă©quipe possible pour aller dĂ©crocher son premier titre NBA de son histoire. Cependant, les choses ne se sont pas vraiment dĂ©roulĂ©es comme prĂ©vu. En trois saisons, les Brooklyn Nets n’ont jamais Ă©tĂ© vĂ©ritablement loin dans les playoffs. Le meilleur rĂ©sultat que l’équipe de Steve Nash a obtenu une demi-finale de confĂ©rence, en 2020-2021. Et cet Ă©tĂ©, les Brooklyn Nets pourraient connaĂźtre des dĂ©parts trĂšs importants. Comme rĂ©vĂ©lĂ© par The Athletic il y a quelques jours, Kevin Durant aurait rĂ©clamĂ© son trade cet Ă©tĂ©. Cependant, la franchise qui veut le rĂ©cupĂ©rer va devoir dĂ©ployer les grands moyens au vu des Ă©normes contreparties que les Nets rĂ©clameraient. D’ailleurs, si aucune Ă©quipe ne parvient Ă  convaincre celle de New-York, Kevin Durant pourrait bien se faire une raison et rester quelques mois de plus Ă  Brooklyn. Si tel est le cas, la star de 33 ans pourrait voir son trade ĂȘtre avortĂ© et ainsi connaĂźtre le mĂȘme sort que d’autres lĂ©gendes de la NBA avant lui. NBA Durant rĂ©clame son trade, il est totalement bloquĂ© — le10sport le10sport July 16, 2022Michael Jordan a failli atterrir chez les RocketsCar en effet, de grands noms auraient pu connaĂźtre une carriĂšre bien diffĂ©rente, Ă  commencer par Michael Jordan. DraftĂ© en troisiĂšme position en 1984 par les Chicago Bulls, le mythique arriĂšre aurait pu ne jamais Ă©crire l’histoire dans l’Illinois. Pour cela, il faut remonter Ă  l’annĂ©e oĂč MJ est arrivĂ© en NBA. À l’époque, la lottery n’avait pas le mĂȘme fonctionnement que l’on connaĂźt aujourd’hui. Les deux pires Ă©quipes de chacune des confĂ©rences, les Houston Rockets et les Portland Trail Blazers en 1984, se dĂ©partageaient Ă  pile ou face pour savoir qui choisirait en premier. Victorieuse de ce lancer de piĂšce, la franchise du Texas avait choisi Hakeem Olajuwon. Les Portland Trail Blazers, qui comptaient dĂ©jĂ  Clyde Drexler chez eux, ont jetĂ© leur dĂ©volu sur Sam Bowie, laissant ainsi Michael Jordan pour les Chicago Bulls. Toutefois, si l’équipe de l’Oregon avait obtenu le premier tirage, elle aurait choisi Ă  coup sĂ»r Hakeem Olajuwon. De ce fait, les Houston Rockets se seraient jetĂ© sur Michael Jordan, laissant ainsi les Chicago Bulls trancher entre Sam Perkins, Charles Barkley ou encore Alvin Robertson. Mais MJ aurait Ă©galement pu atterrir ailleurs si les Bulls n’avaient pas gagnĂ© un match de plus qu’Indiana la saison prĂ©cĂ©dente. La franchise se serait retrouvĂ©e au tirage au sort, et en cas de premier pick, Rod Thorn le manager gĂ©nĂ©ral de l’époque a rĂ©vĂ©lĂ© dans The Last Dance que Michael Jordan n’aurait pas Ă©tĂ© choisi Olajuwon aurait Ă©tĂ© pris en premier par n’importe qui, y compris moi. » L’histoire aurait donc pu ĂȘtre trĂšs Bryant chez les Bulls et LeBron James chez les Sixers ?Kobe Bryant lui aussi aurait pu connaĂźtre un destin bien diffĂ©rent. DraftĂ© en 1996 par les Charlotte Hornets, celui que l’on surnommera Black Mamba par la suite a Ă©tĂ© tradĂ© chez les Los Angeles Lakers dans la foulĂ©e. LĂ -bas, KB24 a raflĂ© cinq titres NBA, Ă©tĂ© Ă©lu deux fois MVP des Finals en 2009 et 2010 et MVP de la saison rĂ©guliĂšre Ă  une reprise en 2008. Toutefois, l’aventure aurait pu ĂȘtre plus courte pour Kobe Bryant chez les Los Angeles Lakers. Aux cĂŽtĂ©s de Shaquille O’Neal, les choses ne se sont pas forcĂ©ment bien dĂ©roulĂ©es. AprĂšs deux Ă©checs, notamment lors des Finals en 2004 face aux Detroit Pistons, un dĂ©part semblait inĂ©vitable pour l’un des deux joueurs. À ce moment lĂ , Kobe Bryant aurait reçu une offre provenant des Chicago Bulls. L’arriĂšre, lui, voulait vraiment quitter Los Angeles. Mais finalement, l’affaire n’a pas eu lieu, Kobe Bryant est restĂ© chez les Los Angeles Lakers, et Shaquille O’Neal s’est envolĂ© du cĂŽtĂ© du Miami Heat. Plus rĂ©cemment, LeBron James aurait pu rejoindre les Philadelphia 76ers il y a quelques annĂ©es. AprĂšs deux Ă©checs face aux Golden State Warriors lors des NBA Finals en 2017 et 2018, le King souhaitait changer d’air. Plusieurs franchises se sont mises Ă  postuler pour s’offrir les services de l’un des meilleurs joueurs de la ligue du moment, dont les Philadelphia 76ers. LĂ -bas, LeBron James aurait pu faire Ă©quipe avec Joel Embiid. Mais finalement, LBJ a prĂ©fĂ©rĂ© rejoindre les Los Angeles Lakers seulement un an avant le dĂ©cĂšs tragique de Kobe Bryant. D'ailleurs, en 2020, LeBron James a dĂ©diĂ© la victoire en playoffs face au Miami Heat au lĂ©gendaire arriĂšre des duo Tony Parker - Jason Kidd chez les Spurs, Curry loin des Warriors ?En 2003, les San Antonio Spurs auraient former un duo exceptionnel. Avec une Ă©quipe composĂ©e de Tony Parker, Manu Ginobili, Tim Duncan et David Robinson, la franchise texane cherchait tout de mĂȘme Ă  se renforcer malgrĂ© son sacre face aux New-Jersey Nets. Jason Kidd, qui sortait de l’une des meilleures saisons de sa carriĂšre, venait de connaĂźtre son premier Ă©chec en finale NBA et avait alors des envies d’ailleurs. Les San Antonio Spurs se sont alors jetĂ©s sur l’occasion et avaient mĂȘme conclu un accord avec le meneur de jeu. Greg Popovich avait une idĂ©e trĂšs claire pour son cinq comme l’a rĂ©vĂ©lĂ© Tony Parker sur la chaĂźne YouTube First Team Je m’en rappelle comme si c’était hier. Pop’ qui m’appelle dans son bureau, qui me dit que des rumeurs vont sortir, on va prendre Jason Kidd. À ce moment lĂ , je lui demande oĂč ils vont me transfĂ©rer. Et il me dit qu’il n’a pas l’intention de me trader, qu’il voulait que je joue avec Jason Kidd, qu’il voulait jouer avec deux meneurs. J’ai failli jouer avec Jason Kidd. » Finalement, Jason Kidd prolongera avec les Nets pour six annĂ©es supplĂ©mentaires et ne rejoindra jamais les San Antonio Spurs. Enfin, Stephen Curry aurait pu ne jamais chez les Golden State Warriors, du moins pas au dĂ©but de sa carriĂšre. En 2009, le meneur de jeu est draftĂ© par sa franchise de toujours. Mais il aurait pu atterrir chez les Phoenix Suns. En effet, l’équipe de l’Arizona pensait avoir trouvĂ© un accord avec les Warriors pour obtenir leur septiĂšme choix de draft et des joueurs en Ă©change d’Amar’e Stoudemire. Mais finalement, le deal n’a pas Ă©tĂ© conclu, et les Golden State Warriors ont choisi Stephen Curry. Le meneur de jeu d’aujourd’hui 34 ans aurait pu ne pas connaĂźtre la mĂȘme carriĂšre, lui qui a dĂ©crochĂ© trois titres NBA, Ă©tĂ© Ă©lu MVP des Finals en 2022 et avoir dĂ©crochĂ© de nombreux records dans la ligue.
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