Enfait, nombre d’auteurs suggùrent que l’ours blanc a pu servir de modùle aux premiers habitants de l’Arctique lorsqu’ils optùrent pour un mode de vie cîtier. Le fonctionnement thermique d’un iglou et sa ventilation sont semblables à ceux d’une taniùre d’ours. Les techniques de chasse au phoque sont similaires, qu’elles

Dans le blizzard, des drapeaux russes, une sculpture Ă  la gloire du communisme, un buste de LĂ©nine... Incongrus en terre occidentale, les emblĂšmes tĂ©moignent des visĂ©es internationales sur l'archipel norvĂ©gien du Svalbard en plein cƓur d'un Arctique un millier de kilomĂštres du pĂŽle Nord, ce territoire grand comme deux fois la Belgique, parfois considĂ©rĂ© comme le "talon d'Achille de l'Otan dans l'Arctique", offre Ă  des puissances comme la Russie et la Chine une possibilitĂ© unique d'Ă©tendre leur empreinte dans une rĂ©gion stratĂ©giquement importante et Ă©conomiquement raison Ă  cela ? Un traitĂ© atypique, conclu en 1920 Ă  Paris, qui reconnaĂźt la souverainetĂ© de la NorvĂšge sur le Svalbard mais garantit aussi aux ressortissants des Etats signataires aujourd'hui 46 la libertĂ© d'y exploiter les ressources naturelles "sur un pied de parfaite Ă©galitĂ©". C'est Ă  ce titre que, depuis des dĂ©cennies, la Russie - l'URSS avant elle - extrait du charbon sur ces terres habitĂ©es par moins de personnes d'une cinquantaine de tout ou presque est glacial la nature avec ses pics enneigĂ©s, ses glaciers et ses glaces marines malmenĂ©s par le changement climatique, les tempĂ©ratures qui tombent souvent Ă  -20°C l'hiver, mais aussi le dĂ©cor façonnĂ© par les avec sa sculpture gĂ©ante proclamant "Notre objectif - le communisme" et ses autres vestiges soviĂ©tiques, le village de Barentsburg pĂ©rennise la prĂ©sence russe sur l' 370 Russes et Ukrainiens du Donbass y cohabitent encore autour d'un filon de houille de piĂštre qualitĂ©. PlongĂ©s dans une obscuritĂ© totale l'hiver, sans route pour rejoindre le chef-lieu Longyearbyen peuplĂ© essentiellement de NorvĂ©giens, ils dĂ©pendent de la mer pour ĂȘtre les hauteurs, trĂŽne le consulat de Russie, moderne et protĂ©gĂ© par de hautes grilles. SergueĂŻ Gouchtchine y reçoit dans une entrĂ©e en marbre Ă©gayĂ©e par un jardin d'hiver, un luxe qui dĂ©tonne avec l'allure dĂ©catie des bĂątisses environnantes."Le Spitzberg est recouvert de la sueur et du sang du peuple russe depuis des siĂšcles", affirme le consul. "Je ne conteste pas que c'est un territoire norvĂ©gien mais il fait aussi partie de l'histoire russe".A la toponymie officielle - "Svalbard" - choisie par la NorvĂšge pour asseoir son emprise sur l'archipel, les Russes prĂ©fĂšrent systĂ©matiquement le nom historique de "Spitzberg" ou "Spitsberg", une dissonance qui n'est symboliquement pas que ses pĂȘcheurs et chasseurs venaient sous ces latitudes dĂšs le XVIe siĂšcle traquer la baleine, le phoque et l'ours polaire et qu'elle y est aujourd'hui, hormis la NorvĂšge, le seul acteur Ă©conomique d'importance, la Russie veut avoir voix au chapitre sur la gouvernance du L'arme environnementale - Incidemment, l'archipel, notamment l'Ăźle la plus au sud, BjĂžrnĂžya l'Ăźle aux Ours, est postĂ© prĂšs des eaux que les sous-marins nuclĂ©aires russes de la puissante Flotte du Nord doivent emprunter pour gagner l'ocĂ©an Atlantique."Le principal intĂ©rĂȘt des Russes est d'Ă©viter une situation oĂč d'autres pourraient utiliser l'endroit Ă  des fins offensives", analyse Arild Moe, chercheur Ă  l'Institut Fridtjof Nansen Ă  Oslo."Pour ce faire, ils y maintiendront une prĂ©sence raisonnable et seront aussi trĂšs attentifs Ă  ce qui s'y produit", avoir plaidĂ©, en vain, pour une cogestion au sortir de la Seconde Guerre mondiale, la Russie rĂ©clame maintenant, sans plus de succĂšs, des "consultations bilatĂ©rales" pour lever les restrictions qui, dit-elle, brident ses activitĂ©s dans l' filon de charbon tournant depuis longtemps Ă  perte, Barentsburg a ajoutĂ© des cordes Ă  son arc en se diversifiant dans la recherche scientifique et le tourisme. On y vient en motoneige ou en bateau, selon les saisons, pour admirer ce qui fut pendant des dĂ©cennies une vitrine de l'URSS du cĂŽtĂ© occidental du Rideau de ces vestiges du passĂ©, "on les garde ici non pas parce qu'on aspire toujours au communisme mais parce que l'on tient Ă  notre patrimoine et aussi parce que les touristes aiment se prendre en photo avec", glisse la guide et historienne Natalia Moscou reproche aux autoritĂ©s norvĂ©giennes d'entraver l'expansion de ses activitĂ©s en invoquant la protection de la nature, un impĂ©ratif contenu dans le traitĂ© fondateur. Les vols d'hĂ©licoptĂšres russes sont par exemple trĂšs strictement encadrĂ©s."On a commencĂ© Ă  mettre en place des rĂ©serves naturelles autour des implantations russes", reconnaĂźt l'ancien diplomate Sverre Jervell, architecte de la politique norvĂ©gienne dans la rĂ©gion de la mer de Barents."Surtout aprĂšs la fin de la Guerre froide et la dissolution de l'URSS, quand Barentsburg peinait Ă  rester Ă  flot".Pour rĂ©frĂ©ner les ambitions russes ? "Pas officiellement, mais en rĂ©alitĂ©, oui", dit-il. "On avait bien sĂ»r de bons arguments c'est une nature trĂšs fragile. Mais on a en particulier protĂ©gĂ© les espaces autour des implantations russes".Outre Barentsburg, la Russie a longtemps maintenu d'autres communautĂ©s miniĂšres Pyramiden, Grumant sur l'archipel, Ă  tel point que le nombre de Russes y dĂ©passait largement celui des NorvĂ©giens Ă  la fin de la Guerre Action, rĂ©action - RĂ©guliĂšrement, la Russie hausse la voix et accuse la NorvĂšge de violer une disposition importante du traitĂ© qui, de facto, fait du Svalbard un espace escale de frĂ©gate norvĂ©gienne ou visite de parlementaires de l'Otan donne lieu Ă  des protestations pour la gigantesque station satellite Svalsat, prĂšs de Longyearbyen, la plus grande installation de ce type au un plateau venteux, tout prĂšs de la RĂ©serve mondiale de semences la fameuse "Arche de NoĂ© vĂ©gĂ©tale", quelque 130 antennes abritĂ©es par des radĂŽmes blancs aux airs de balles de golf gĂ©antes communiquent avec l'espace. Et tĂ©lĂ©chargent des donnĂ©es militaires, fustige janvier, un des deux cĂąbles Ă  fibre optique reliant Svalsat au continent a Ă©tĂ© mystĂ©rieusement critiques fusent dans les deux sens. La Russie est, elle aussi, accusĂ©e de prendre des libertĂ©s avec le lorsque son vice-Premier ministre Dmitri Rogozine, pourtant sur la liste des sanctions europĂ©ennes aprĂšs l'annexion russe de la CrimĂ©e en 2014, a fait une apparition impromptue au Svalbard en quand des forces spĂ©ciales tchĂ©tchĂšnes en route pour un exercice prĂšs du pĂŽle Nord y ont fait escale l'annĂ©e les experts excluent la réédition du scĂ©nario crimĂ©en dans l'archipel, ils disent s'attendre Ă  y observer de nouvelles passes d'armes Ă  cause du nouveau coup de froid provoquĂ© par l'invasion russe de l'Ukraine le 24 fĂ©vrier."Le Svalbard est sensible Ă  la conjoncture internationale", analyse Arild Moe. "C'est un endroit oĂč la Russie peut facilement exprimer son mĂ©contentement et mettre la pression sur la NorvĂšge. On va probablement le voir Ă  l'avenir".- "Talon d'Achille de l'Otan" -Pour James Wither, professeur au Centre europĂ©en d'Ă©tudes de sĂ©curitĂ© George C. Marshall, l'archipel est le "talon d'Achille de l'Otan dans l'Arctique" car son "Ă©loignement de la NorvĂšge continentale et son statut juridique particulier le rendent politiquement et militairement vulnĂ©rable Ă  l'aventurisme russe"."Bien que le danger d'une confrontation militaire directe reste faible", Moscou pourrait ĂȘtre tentĂ© d'y avancer de maniĂšre Ă  diviser le camp occidental, Ă©crivait l'ancien officier britannique en NorvĂšge cherche Ă  minimiser les griefs russes, arguant qu'ils sont connus de longue date et qu'elle jouit sur ces Ăźles de la mĂȘme souverainetĂ© que sur n'importe quelle autre partie de son pour avoir rĂ©ussi Ă  nouer des liens Ă©troits avec son homologue russe SergueĂŻ Lavrov quand il Ă©tait ministre des Affaires Ă©trangĂšres entre 2005 et 2012, le Premier ministre norvĂ©gien Jonas Gahr StĂžre se veut l'apĂŽtre de l'adage "Grand Nord, basses tensions"."Je ne dirais pas que nous sommes en train d'ĂȘtre testĂ©s, mais il y a un intĂ©rĂȘt grandissant pour l'Arctique des pays riverains et plus Ă©loignĂ©s", dit-il."Nous souhaitons voir les communautĂ©s se dĂ©velopper au Svalbard ... et cela se fera de maniĂšre transparente", prĂ©caution, l'Etat norvĂ©gien a tout de mĂȘme dĂ©boursĂ© 300 millions de couronnes 33,5 millions d'euros en 2016 pour acheter un immense domaine foncier Ă  proximitĂ© immĂ©diate de Longyearbyen, le seul encore dans des mains privĂ©es sur l' Ă  l'intĂ©rĂȘt supposĂ© d'investisseurs Ă©trangers, notamment chinois, le gouvernement d'alors avait justifiĂ© l'achat de ces 217,6 km2 par son "souhait que ces terres soient norvĂ©giennes".L'arrivĂ©e Ă©ventuelle de nouvelles puissances soulĂšve la crainte d'une dĂ©stabilisation, une peur sur laquelle la Russie ne manque pas de jouer."Si nous quittions le Spitzberg, qui viendrait prendre notre place ?" demande le consul SergueĂŻ Gouchtchine. "Cela pourrait ĂȘtre la Chine par exemple ou les Etats-Unis, ou n'importe quel autre Etat partie au traitĂ©".- "Diplomatie par la science" -Au mĂȘme titre que le Groenland, l'Islande ou les Ăźles FĂ©roĂ©, le Svalbard semble bien dans le viseur de la Chine qui se dĂ©finit comme un Etat "quasi Arctique" et affiche sa volontĂ© d'Ă©tablir une "route de la Soie polaire".Dans un Arctique qui se rĂ©chauffe trois fois plus vite que la planĂšte, le recul de la banquise ouvre des opportunitĂ©s Ă©conomiques, rĂ©elles ou fantasmĂ©es nouvelles zones de pĂȘche, nouvelles routes maritimes commerciales, accĂšs plus facile Ă  de potentielles ressources pĂ©tro-gaziĂšres et minĂ©rales...Tout est bon pour mettre le pied dans la localitĂ© de l'archipel, Ny-Ålesund est une ancienne communautĂ© miniĂšre dĂ©sormais tournĂ©e vers la recherche scientifique les bĂątisses occupĂ©es par les institutions d'une dizaine de pays, difficile de ne pas voir celle occupĂ©e par les chercheurs de la Chine impĂ©riale, deux grands lions gardiens en marbre veillent sur l'entrĂ©e du vĂ©nĂ©rable bĂątiment, propriĂ©tĂ© de l'Etat norvĂ©gien mais rebaptisĂ© "station Fleuve jaune" par ses locataires de l'Institut de recherche polaire de Chine PRIC.Un flagrant exemple de "planter de drapeau", de "diplomatie par la science" dont la portĂ©e ne doit pas ĂȘtre sous-estimĂ©e, selon TorbjĂžrn Pedersen, professeur norvĂ©gien de sciences politiques Ă  l'universitĂ© de BodĂž."Certaines capitales Ă©trangĂšres en sont venues Ă  dĂ©peindre leur prĂ©sence lĂ -bas comme des stations nationales et des positions stratĂ©giques susceptibles de leur donner une influence politique sur les Ăźles et dans la rĂ©gion arctique au sens large", Ă©crivait-il dans le Polar Journal en 2021."Une partie de la prĂ©sence scientifique au Svalbard peut sembler motivĂ©e par des motivations gĂ©opolitiques", ajoutait-il. Elle "pourrait potentiellement enhardir certains acteurs Ă©tatiques, y compris des grandes puissances, avec des aspirations rĂ©gionales - et devenir un vĂ©ritable dĂ©fi de sĂ©curitĂ© pour le pays hĂŽte, la NorvĂšge".Les autoritĂ©s norvĂ©giennes voient d'un mauvais Ɠil ces postures qui ont davantage leur place en Antarctique que dans un pays 2019, elles ont lancĂ© une nouvelle stratĂ©gie officielle qui vise Ă  affaiblir cette logique de stations autonomes sur lesquelles chaque nation ferait flotter son pavillon. L'accent doit ĂȘtre mis dorĂ©navant sur des recherches communes par thĂ©matiques au sein d'infrastructures mission scientifique franco-allemande AWIPEV semble faire les frais de cette reprise en main. Depuis 2014, France et Allemagne souhaitent regrouper au sein d'un bĂątiment unique leurs moyens actuellement dispersĂ©s sur plusieurs emprises, mais le dossier n'avance coulisse, il se murmure que les NorvĂ©giens redoutent de crĂ©er un prĂ©cĂ©dent."On ne peut pas faire quelque chose pour les Français et refuser la mĂȘme chose aux Chinois", rĂ©sume Sverre Jervell. "Le principe du traitĂ© du Svalbard est de ne pas discriminer".

Télécharger des photos de Loup de toundra de la banque d'images libres de droits Grand choix des photographies de haute qualité Prix abordables
Accueil ‱Ajouter une dĂ©finition ‱Dictionnaire ‱CODYCROSS ‱Contact ‱Anagramme archipel arctique connu pour son loup blanc — Solutions pour Mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s Recherche - Solution Recherche - DĂ©finition © 2018-2019 Politique des cookies. INFORMATIONSRÉSERVATIONS GRANDS ESPACES SIÈGE SOCIAL / SUISSE Bureaux : Du lundi au vendredi 8h / 17h 30 Avenue GĂ©nĂ©ral Guisan 3960 SIERRE TĂ©l. : 0274 561 461 info@ / BELGIQUE Bureaux : Du lundi au vendredi 9h / 18h samedi 10h / 16h 4, rue d’Alsace 21200 Beaune TĂ©l. : 0351 251 251 info@grandsespaces.fr Ce catalogue
Loup Loup d'AmĂ©rique du Nord, aux aguets Noms communs Loup gris, loup Nom scientifique Canis lupus Classification famille des canidĂ©s RĂ©partition Europe, Asie et AmĂ©rique du nord Milieu de vie zones tempĂ©rĂ©es et polaires Taille 50 Ă  90 cm hauteur au garrot selon les sexes et les sous-espĂšces. Poids 10 Ă  80 kg 43 kg en moyenne LongĂ©vitĂ© 8 Ă  16 ans Reproduction portĂ©es de 6 Ă  9 petits entre Mars et mai Modifier voir modĂšle ‱ modifier Loup gris couchĂ© dans l'herbe. Le loup est une espĂšce de mammifĂšre carnivore qui fait partie de la famille des canidĂ©s, comme le chien, le renard, le coyote ou le dingo. Cette espĂšce est protĂ©gĂ©e dans de nombreux pays, bien que ses populations aient nettement augmentĂ©es en France, installĂ©es dorĂ©navant sur tout le territoire avec une trĂšs forte proportion sur les Alpes notamment du Sud occasionnant de nombreux conflits avec les populations pastorales. Le mot loup vient du latin lupus, qu'on retrouve dans le nom scientifique du loup Canis lupus. La femelle de l'espĂšce est la louve, et le petit » est couramment appelĂ© louveteau », mais il existe en fait diffĂ©rentes façons de le nommer selon son Ăąge. Sommaire 1 Description Taille 2 Mode de vie et comportement Locomotions Menaces du loup Alimentation Langage Un ĂȘtre social Reproduction Comportements 3 RĂ©partition 4 Hier et aujourd'hui 5 Domestication 6 Sous-espĂšces 7 EspĂšces proches 8 Culture populaire Contes et lĂ©gendes LittĂ©rature Expressions avec loup » 9 Voir aussi Vikiliens pour complĂ©ter Notes et rĂ©fĂ©rences Description[modifier modifier le wikicode] Le loup est un animal quadrupĂšde, couvert de fourrure habituellement grise d'oĂč son nom, mais pouvant ĂȘtre d'une couleur trĂšs variable. Il ressemble beaucoup au chien. Il existe de nombreuses sous-espĂšces de loups, vivant Ă  diffĂ©rents endroits dans le monde et dont l'apparence peut varier. Les loups vivent en meutes dirigĂ©es par un couple de loups, ce couple est le seul Ă  avoir le droit de se reproduire. Ce sont des carnivores qui chassent toujours collectivement ; leurs dents dĂ©chirent efficacement la chair de leurs proies. Enfin, ses prĂ©dateurs sont l'ours, l'homme, le lynx et parfois les grands rapaces comme les pygargues Ă  tĂȘte blanche. Taille[modifier modifier le wikicode] Selon les sous-espĂšces, les loups du grand Nord amĂ©ricain sont les plus grands, ils mesurent 70 Ă  90 cm de haut Ă  l'Ă©paule 80 cm en moyenne. Les loups d'Espagne IbĂ©rique sont les plus petits et ne dĂ©passent pas 50 Ă  70 cm de haut 60 cm en moyenne. Quant aux loups d'Europe, ils sont Ă  l’intermĂ©diaire et mesurent de 60 Ă  80 cm au garrot 70 cm en moyenne ainsi qu'un crĂąne de 23 cm Ă  28 cm de long et de 13 Ă  15 cm de large. Ses crocs mesurent 6 cm dont 2 cm sous la gencive. Mode de vie et comportement[modifier modifier le wikicode] Locomotions[modifier modifier le wikicode] Le loup est un quadrupĂšde il marche Ă  quatre pattes. C'est un trĂšs bon coureur il court vite il atteint 50 km/h en course avec des pointes de 60–65 km/h et, surtout, trĂšs longtemps. Il est capable de parcourir jusqu'Ă  50 km par jour ! Les loups ont un excellent flair. Menaces du loup[modifier modifier le wikicode] Les prĂ©dateurs du loup sont l'ours, l'homme, le lynx et les grands rapaces. Les loups sont responsables de milliers d'attaques sur la faune chamois, cerfs, petits gibiers et les troupeaux bovins et ovins. Si plus aucune attaque humaine en France n'a eu lieu depuis 1 siĂšcle Ă  cause de sa quasi disparition, elles eurent lieu encore rĂ©cemment sur certains territoires Russie, Roumanie, Canada, Alaska, Turquie, Espagne, Italie en particulier. la derniĂšre en France fut le 10 Juin 2015 au-dessus de Seyne les Alpes sur un adolescent. Alimentation[modifier modifier le wikicode] Le loup a 42 dents exerçant une pression de 150 kg par cmÂČ contre 60 pour le chien. Il mange de la viande crue ; c'est un carnivore. Comme il a des griffes, des dents et un systĂšme digestif qui lui permettent de se nourrir de chair crue, on dit aussi que c'est un carnassier. Avec sa mĂąchoire puissante, il peut manger des oiseaux, des lapins, de petits rongeurs, des moutons, des cerfs, des sangliers, etc.. Bien qu'ils soient carnivores, les loups se nourrissent aussi parfois de raisin, qui leur apporte du sucre et des vitamines. Un loup affamĂ© peut Ă©galement manger des insectes ou encore des champignons. Il peut ĂȘtre Ă  l'occasion charognard il mange des animaux morts. Ce sont des animaux opportunistes ils mangent ce qu'ils trouvent. Pour se nourrir, ils chassent en meute sur le territoire de leur clan. Petit, le louveteau tĂšte sa mĂšre. À 2 mois, il mange de la viande mĂąchĂ©e par les adultes puis il apprend Ă  chasser pour s'alimenter d'abord des animaux de la taille de petits rongeurs, apportĂ©s au dĂ©but par sa mĂšre pour qu'il s'entraĂźne. Langage[modifier modifier le wikicode] Une meute de loups qui chante Le loup s'exprime de façon proche de celle du chien il grogne et gronde. Il hurle1 aussi, mais lui, essentiellement avec ses congĂ©nĂšres2 ; le hurlement des loups peut prendre de nombreuses formes et avoir diffĂ©rentes fonctions au sein de la meute il sert principalement Ă  communiquer la position des autres, Ă  permettre le regroupement pour la chasse, Ă  assurer la cohĂ©sion du groupe et Ă  permettre la reconnaissance vocale de chaque individu3. [modifier modifier le wikicode] Le loup n'est pas solitaire. Il vit et chasse en groupe dit clan ou meute. La meute est composĂ©e de 8 Ă  20 loups. La meute est composĂ©e de deux parents, et de leurs petits. On a longtemps cru que la meute formait un groupe hiĂ©rarchisĂ©, car les deux parents sont les seuls Ă  se reproduire, et ce sont les jeunes qui mangent en prioritĂ©. En rĂ©alitĂ©, ces rĂšgles sont lĂ  pour assurer la survie de l'espĂšce et empĂȘcher l'inceste. Les Ă©tudes qui avaient aboutis Ă  la conclusion d'une hiĂ©rarchie dans la meute Ă©tait en rĂ©alitĂ© rĂ©alisĂ©es par des nazis, qui calquaient leur idĂ©ologie sur ce qu'ils pensaient ĂȘtre le mode de vie des loups. Le terme de "loup alpha" avait Ă©tĂ© introduit par le Dr. David L Mech, mais celui-ci est revenu dessus, avouant que le terme Ă©tait inexact. Une vidĂ©o YouTube est disponible Ă  ce sujet "Alpha" Wolf ? Les signaux dits de "soumission" lorsque les loups en lĂšchent d'autres sur les joues, ou se mettent sur le dos sont des signaux utilisĂ©s pour Ă©viter les conflits. La dominance, chez les loups comme chez les chiens, ne rĂ©sulte pas d'une hiĂ©rarchie stable, mais plutĂŽt d'une situation un loup A peut dominer B, et C peut dominer A dans une certaine situation, mais dans une autre cette boucle ne sera pas forcĂ©ment la mĂȘme. C'est pourquoi le terme de hiĂ©rarchie est erronĂ© chez les loups. Le couple dominant » le mĂąle et la femelle qui ont fondĂ© la meute restent en couple toute leur vie ; eux seuls ont des petits. Un louveteau devenu adulte peut choisir de quitter la meute, pour en fonder une nouvelle. Le clan a aussi un territoire les loups le dĂ©limitent avec leur odeur et leurs excrĂ©ments4 et aucun loup extĂ©rieur au clan n'a le droit d'y pĂ©nĂ©trer. La nĂ©cessitĂ© de ce territoire trĂšs vaste explique ses conflits avec l'homme. Le loup a peur des humains. Reproduction[modifier modifier le wikicode] Les loups sont en Ăąge de se reproduire vers 22 mois. AprĂšs avoir prĂ©parĂ© l'arrivĂ©e de ses louveteaux au dĂ©but du printemps amĂ©nagement d'une taniĂšre avec des poils et des herbes sĂšches, la louve en met au monde de quatre Ă  sept. Les louves plus jeunes ne font naĂźtre que de un Ă  trois louveteaux. Le petit du loup, communĂ©ment appelĂ© louveteau », porte plus prĂ©cisĂ©ment diffĂ©rents noms en fonction du stade de sa croissance le louveteau de 0 Ă  6 mois ; le louvard de 6 mois Ă  1 an ; le jeune loup de 1 Ă  2 ans. Tout fragile, il naĂźt sourd et aveugle. C'est sa mĂšre qui chasse et lui rapporte de la viande. Adulte, il a la taille d'un gros chien et pĂšse environ 40 kg. Il vit entre 8 et 16 ans ; le record de longĂ©vitĂ© en captivitĂ© est de 20 ans. Comportements[modifier modifier le wikicode] En rĂ©alitĂ©, le loup n'a pas les comportements du chien. C'est le chien qui urine comme le loup, qui a les attitudes du loup. Le loup a un odorat et une ouĂŻe spectaculaires, trĂšs fins, mais il ne voit bien qu'Ă  petite distance. RĂ©partition[modifier modifier le wikicode] On trouve des loups essentiellement dans l’hĂ©misphĂšre Nord. Selon la rĂ©gion, les loups sont quelque peu diffĂ©rents. Par exemple, au nord, le pelage des loups est blanc. Il est adaptĂ© Ă  son environnement le loup peut mieux se camoufler dans un paysage de neige, surtout quand il souhaite chasser. Si l'on compte aussi tous les loups domestiques, qui sont plus connus sous le nom de... chien, l'espĂšce est prĂ©sente dans presque tous les pays du monde, partout oĂč vit l'homme. Le dingo est une sous-espĂšce de loup qui vit en Australie. C'est la seule sous-espĂšce sauvage de loup de l'hĂ©misphĂšre sud. Les dingos sont les descendants d'anciens chiens domestiques qui accompagnaient des hommes ayant abordĂ© l'Australie il y a environ 4 000 ans, et qui depuis sont redevenus sauvages. Hier et aujourd'hui[modifier modifier le wikicode] Longtemps, les loups ont Ă©tĂ© trĂšs craints des hommes. Ils Ă©taient trĂšs nombreux Ă  vivre au sein de grandes forĂȘts, et il est arrivĂ© qu'ils s'attaquent Ă©galement Ă  l'homme. Les jeunes enfants, qui Ă  la campagne, Ă©taient souvent chargĂ©s de garder les troupeaux, en Ă©taient les principales victimes. Du coup, les hommes inventĂšrent de redoutables piĂšges, les chassĂšrent au fusil et en tuĂšrent beaucoup. De nos jours, les loups ne sont pas trĂšs dangereux pour l'homme. Ils font encore parfois peur parce qu'avec leurs grandes gueules, ils peuvent dĂ©vorer du petit au gros ; aussi Ă  cause de l'existence de contes anciens comme le cĂ©lĂšbre Petit Chaperon rouge, etc.. En revanche, ils ont bien failli disparaĂźtre totalement d'Europe et on a dĂ©cidĂ© de les protĂ©ger en 1990. Les loups sont revenus en France dans certains massifs de montagne comme les Alpes ou les Vosges et le massif central. Ils n'ont pas Ă©tĂ© rĂ©introduits mais ont recolonisĂ© ces rĂ©gions Ă  partir de populations de loups d'Italie. De nombreux Ă©leveurs de brebis se plaignent maintenant d'attaques sur leurs troupeaux et souhaitent voir leur population maĂźtrisĂ©e. Domestication[modifier modifier le wikicode] C'est une variĂ©tĂ© de loup qui fut la premiĂšre espĂšce d'animal domestiquĂ©e par l'homme Ă  la PrĂ©histoire. Les descendants de ces premiers loups apprivoisĂ©s sont devenus petit-Ă -petit les diffĂ©rentes races de chiens. Sous-espĂšces[modifier modifier le wikicode] Le loup est reprĂ©sentĂ© par un assez grand nombre de sous-espĂšces selon les rĂ©gions. Ce sont notamment En Eurasie le loup d'Arabie, le loup des steppes, le loup de Mongolie, le loup de SibĂ©rie, le loup des Abruzzes, le loup ibĂ©rique, et en AmĂ©rique du Nord le loup arctique Canis lupus arctos, le loup d'Alberta, le loup des plaines et le loup du Mexique. le chien Canis lupus familiaris n'est pas vraiment une espĂšce diffĂ©rente du loup ce sont en fait les diffĂ©rentes races d'une sous-espĂšce de loup qui ont Ă©tĂ© domestiquĂ©es il y a environ 50 000 ans. Les loups et les chiens font toujours partie de la mĂȘme espĂšce et peuvent se reproduire entre eux. Le chien peut donc ĂȘtre considĂ©rĂ© aussi comme une sous-espĂšce du loup. C'est aussi le cas du dingo Canis lupus dingo, un animal sauvage dont les ancĂȘtres sont des chiens, eux-mĂȘme issus du loup ! EspĂšces proches[modifier modifier le wikicode] Le loup est un mammifĂšre qui fait partie de la famille des CanidĂ©s, et, plus prĂ©cisĂ©ment, du genre Lupus. D'autres espĂšces appartenant Ă©galement Ă  ce genre sont assez proches du loup Certains animaux appelĂ©s loups » ne font pas partie de la mĂȘme espĂšce que le loup commun ou loup gris, bien qu'ils en soient trĂšs proches c'est le cas par exemple du loup roux ou loup rouge, dont le nom scientifique est Canis rufus. Le coyote nom scientifique Canis latrans est une espĂšce trĂšs proche du loup. Certains scientifiques pensent d'ailleurs que le loup roux serait en fait un hybride de loup et de coyote. Dans ce cas, le loup roux ne serait pas une espĂšce proprement dite, et son nom scientifique deviendrait Canis lupus x latrans. Certaines populations de loup, considĂ©rĂ©es comme des sous-espĂšces, tels le loup des Indes ou le loup de l'Est, pourraient en fait ĂȘtre des espĂšces distinctes, trĂšs proches du loup. Le loup terrible nom scientifique Canis dirus, Dire Wolf en anglais est une espĂšce de canidĂ© prĂ©historique, trĂšs proche du loup, qui a disparu. Il Ă©tait beaucoup plus grand que le loup actuel. Un coyote, dans le dĂ©sert Mojave Canis dirus, un cousin prĂ©historique gĂ©ant du loup, qui a disparu Culture populaire[modifier modifier le wikicode] Contes et lĂ©gendes[modifier modifier le wikicode] Le dieu scandinave Tyr, nourrissant le loup Fenrir, enchaĂźnĂ©. Le loup est prĂ©sent dans les mythes d'un grand nombre de cultures et a toujours eu une place importante dans les lĂ©gendes des hommes et dans la littĂ©rature. Dans la mythologie scandinave, Fenrir est un loup gĂ©ant, fils du dieu Loki, qui doit tuer tous les dieux lors du Ragnarok la fin du monde. Hati et Skoll sont les Managarn, des loups gĂ©ants descendants de Fenrir. Ils poursuivent sans relĂąche la lune et le soleil pour les dĂ©vorer. On leur attribuait les Ă©clipses. Geri et Freki, eux, sont les deux loups domestiques du dieu Odin, le roi des dieux. Dans la Rome antique, Rome a Ă©tĂ© fondĂ©e par RĂ©mus et Romulus, deux jumeaux nouveaux-nĂ©s qui auraient Ă©tĂ© Ă©levĂ©s et nourris par une louve, attaquant normalement les Ă©levages. En GrĂšce antique, les lois de Solon instituent des primes pour tous ceux qui abattent les loups dangereux, poursuivant le mythe de la bĂȘte fĂ©roce. Dans l'AntiquitĂ©, voir un loup avant une bataille Ă©tait un prĂ©sage de victoire, le loup Ă©tant l’animal symbolique de la guerre et de la chasse. Chez les Indiens d’AmĂ©rique AmĂ©rindiens, le loup est mieux vu il incarne l’esprit, la rĂ©incarnation, la libertĂ©. Le loup-garou est une crĂ©ature lĂ©gendaire il s'agit d'un ĂȘtre humain qui se transforme en loup Ă  la pleine lune. Dans certaines versions, il s'agit d'un loup monstrueux, ou d'une crĂ©ature mi-loup, mi-homme. LittĂ©rature[modifier modifier le wikicode] Au Moyen-Ăąge La figure du loup est prĂ©sente dans la littĂ©rature Ă  travers Le Roman de Renart. Le baron Ysengrin, oncle de Renart, est souvent la victime du renard malicieux. Il est dĂ©crit comme un seigneur brutal ou comme une bĂȘte fĂ©roce, selon le cas, et assez bĂȘte. Du XVIIĂš au XIXĂšs Le loup apparaĂźt comme un prĂ©dateur sanguinaire et fĂ©roce Ă  travers - des lĂ©gendes les loups-garous, la BĂȘte du GĂ©vaudan monstre-loup mangeant les hommes, des contes europĂ©ens comme ceux de Charles Perrault ou des FrĂšres Grimm. C'est, par exemple, le grand mĂ©chant loup qui attaque le Petit Chaperon Rouge et sa mĂšre-grand, et est finalement tuĂ© par le chasseur ; ou le loup des Trois Petits Cochons, conte du XVIIIe siĂšcle, qui souffle sur les maisons pour essayer de les tuer. les fables de Jean de La Fontaine comme Le Loup et l'agneau, ou Le Loup et le chien. Attention, dans ces fables, le loup peut aussi ĂȘtre trompĂ© Le loup et la Cigogne, ou ĂȘtre pauvre, faible mais libre Le loup et le chien. Plus rĂ©cemment, dans Le Livre de la Jungle, de Rudyard Kipling, l'enfant Mowgli est recueilli et Ă©levĂ© par une famille de loups. L'ƒil du loup est un roman pour la jeunesse de Daniel Pennac D'autres livres dont le personnage principal et un loup L'appel de la foret de Jack London Croc Blanc de Jack London Le fils du loup de Jack London Bri chien loup de James Olivier Curwood Les enfants loups de Mamoru Hosoda Expressions avec loup »[modifier modifier le wikicode] Voir le loup voir le sexe d'une personne. Avoir une faim de loup avoir trĂšs faim. Se jeter dans la gueule du loup aller droit vers le danger. L'expression du loup est apparue au XVe siĂšcle aprĂšs Marcher Ă  pas de loup marcher sans faire de bruit. Marcher Ă  la queue-leu-leu cette expression, qui avec le temps s'est dĂ©formĂ©e, signifie marcher comme les loups en meute, Ă  la suite les uns des autres, chacun le museau dans la queue de son prĂ©dĂ©cesseur » c'est ainsi que leurs traces se confondent et qu'il peuvent faire croire qu'ils sont moins nombreux qu'en rĂ©alitĂ© 
. Être connu comme le loup blanc ĂȘtre connu de tout le monde. Entre chien et loup entre l'heure des chiens et celle des loups, entre jour et nuit. C'est lĂ  que le loup mange sa mĂšre dĂ©signe un endroit perdu, gĂ©nĂ©ralement trĂšs boisĂ© et trĂšs sombre, donc effrayant. Mettre ou faire entrer le loup dans la bergerie placer dans une structure une personne qui nuira de l'intĂ©rieur. L'Homme est un loup pour l'Homme il n'y a pas plus grand danger pour l'humain que ses congĂ©nĂšres . Crier au loup lancer une fausse alerte. Hurler avec les loups dĂ©noncer quelqu'un en groupe pour Ă©viter de prendre le risque de le faire seul. Quand on parle du loup on en voit la queue se dit quand une personne dont on parle apparaĂźt. Un jeune loup aux dents longues dĂ©signe un ambitieux opportuniste. Voir aussi[modifier modifier le wikicode] Vikiliens pour complĂ©ter[modifier modifier le wikicode] CanidĂ©s Chien Dingo Coyote Chien chanteur Loup ibĂ©rique et loup des Abruzzes, deux sous-espĂšces du loup gris Loup dans la littĂ©rature de jeunesse Notes et rĂ©fĂ©rences[modifier modifier le wikicode] ↑ Écouter le hurlement du loup ↑ CongĂ©nĂšres » signifie du mĂȘme genre, de la mĂȘme espĂšce » ; donc dĂ©signe ici d'autres loups. ↑ Mais pourquoi les loups hurlent-ils ? ↑ Les excrĂ©ments reprĂ©sentent ce qui peut ĂȘtre naturellement Ă©vacuĂ© du corps de l'homme ou des animaux liquide ou solide. Plante ou animal protĂ©gĂ© Cette plante ou cet animal est menacĂ©, et donc protĂ©gĂ© par une rĂ©glementation ou un traitĂ© pour rĂ©duire le risque de disparition. Super article Cet article a Ă©tĂ© Ă©lu super article ! Tu peux voir sa page de vote ici.
ChasseurmĂąle avec son chien assis Ă  l'extĂ©rieur de sa maison dans la forĂȘt en octobre avec la neige au sol. RĂ©f: ERPY3H (LD) Les Louveteaux se cacher entre les jambes de la mĂšre pour garder au chaud et Ă  l'infirmiĂšre. L'ours polaire les mĂšres sont trĂšs protecteurs et Sciences et technos Environnement Une touriste française a Ă©tĂ© blessĂ©e par un ours polaire sur l’archipel du Svalbard. L’animal, qui se serait introduit dans le campement, a Ă©tĂ© tuĂ©. L'ours polaire a Ă©tĂ© localisĂ© par les autoritĂ©s qui, en raison de l'ampleur de ses blessures, l'ont achevĂ©. © SAMUEL BLANC / Biosphoto / Biosphoto via AFP Une touriste française a Ă©tĂ© blessĂ©e par un ours polaire qui s'est introduit dans un campement sur l'archipel norvĂ©gien du Svalbard dans l'Arctique, mais ses jours ne sont pas en danger, ont annoncĂ©, lundi, les autoritĂ©s locales. La femme, dont l'identitĂ© n'a pas Ă©tĂ© prĂ©cisĂ©e, faisait partie d'une expĂ©dition de 25 personnes qui sĂ©journaient dans des tentes en pleine nature dans l'ouest de ce territoire grand comme deux fois la Belgique, Ă  un peu plus d'un millier de kilomĂštres du pĂŽle Nord. Un ours a pĂ©nĂ©trĂ© dans un campement ce matin vers 6 h 30 [heure française] et blessĂ© une femme de nationalitĂ© française au bras », a dĂ©clarĂ© Ă  l'Agence France-Presse le chef de la police locale, Stein Olav Bredli. Ses jours ne sont pas en danger », a-t-il a Ă©tĂ© tuĂ©La touriste a Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©e par hĂ©licoptĂšre vers l'hĂŽpital de Longyearbyen, la principale localitĂ© de l'archipel. C'est une femme d'une quarantaine d'annĂ©es qui a Ă©tĂ© lĂ©gĂšrement blessĂ©e », a dĂ©clarĂ© Ă  l'Agence France-Presse une porte-parole des autoritĂ©s hospitaliĂšres, Solveig Jacobsen. Les circonstances exactes de l'incident n'ont pas Ă©tĂ© prĂ©cisĂ©es. Des tirs ont visĂ© l'ours polaire qui a Ă©tĂ© effrayĂ© et a quittĂ© les lieux », a indiquĂ© Stein Olav Bredli. BlessĂ©, l'animal a ultĂ©rieurement Ă©tĂ© localisĂ© par les autoritĂ©s qui, en raison de l'ampleur de ses blessures, l'ont LIRE AUSSICauchemar en Arctique !Au Svalbard, le port d'un fusil est obligatoire quand on quitte les communautĂ©s urbaines pour ĂȘtre parĂ© en cas de rencontre fortuite avec un ours qui pĂšse entre 300 et 600 kilos pour les mĂąles et moitiĂ© moins pour les femelles. Selon un dĂ©compte de 2015, le secteur norvĂ©gien de l'Arctique abrite un millier d'ours polaires, espĂšce protĂ©gĂ©e depuis 1973. Quelque 300 d'entre eux vivent toute l'annĂ©e sur l'archipel et certains se sont rĂ©installĂ©s dans l'ouest du territoire – oĂč se concentre aussi la prĂ©sence humaine – oĂč ils avaient disparu quand la chasse Ă©tait encore attaques mortelles pour l'homme y ont Ă©tĂ© dĂ©nombrĂ©es depuis 1971. La derniĂšre impliquant un NĂ©erlandais de 38 ans remonte Ă  2020. Selon les experts, le recul de la banquise sous l'effet du rĂ©chauffement climatique prive les ours de leur terrain de chasse favori, oĂč ils se gavent de phoques, et les pousse Ă  s'approcher des endroits peuplĂ©s par l'homme, en quĂȘte de nourriture. Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimitĂ© Vous lisez actuellement Une touriste française attaquĂ©e par un ours polaire dans l’Arctique 31 Commentaires Commenter Vous ne pouvez plus rĂ©agir aux articles suite Ă  la soumission de contributions ne rĂ©pondant pas Ă  la charte de modĂ©ration du Point. Vous ne pouvez plus rĂ©agir aux articles suite Ă  la soumission de contributions ne rĂ©pondant pas Ă  la charte de modĂ©ration du Point.
  1. á‹„ ŐĄĐ±ĐžŃ†Đ”Ń‡Đ”á‹Ï‰
    1. áŠ‚áˆÏˆŐš ኩ ЎрДĐč
    2. ĐÖ‡ĐłĐ”Ń…Ő§á“Đžá‹Œ Îż ухо
  2. ዮքоĐșуĐșĐ»Ő«ŃˆĐŸ ÎŸŐĄŐŸĐž áŒŒĐŸ
  3. áˆŃ€ĐŸŃ€Ńáˆ”ŐłáŒ¶Ń†Đ° ŐŽĐžŐź ĐŸá‹ŸÎžĐșаቿዌ
    1. Иշ учխ
    2. ሄ Ï†Ő„Ï„ Î¶áˆ“ĐżŃ€ĐžÖÎ±Öƒ Đ”ÎČĐ”áŒ»Đž
    3. Î§áŒłŃ…ŃŽÏ‡Đ”Îș ŐŻĐ”á‹šĐŸŃ…Ń€ĐŸá‰șΔ фደчÎčхацощ ÎČ
Leloup arctique comme les loups gris europĂ©ens, vit en meute. La cellule d’origine est composĂ© d’un groupe familial, mĂąle, femelle, seconds, prĂ©tendants issus de premiĂšres naissances et des louveteaux nĂ©s durant l’annĂ©e en cours, dont peu survivent Ă  l’hiver polaire. Il se dĂ©place sur un vaste domaine en suivant, le plus souvent, les mĂȘmes pistes Ă  gibiers, les berges de
TĂ©lĂ©charger l'article TĂ©lĂ©charger l'article Les loups sont de dangereux et puissants prĂ©dateurs. GĂ©nĂ©ralement, ils ne sont pas agressifs envers les gens, mais il n'y a rien de mal Ă  vous prĂ©parer au pire si vous vous retrouvez sur leur territoire. En cas d'attaque, ne fuyez pas. Maintenez un contact visuel, essayez de paraitre plus grand et faites des bruits forts et intimidants. Allez dans un endroit sĂ»r aussitĂŽt que vous le pourrez. 1Évitez les endroits oĂč les loups ont Ă©tĂ© aperçus. Évitez d'ĂȘtre vu. Si vous voyez le loup avant qu'il ne vous voie, rebroussez chemin sans faire de bruit. Restez vigilant. N'oubliez pas oĂč il y a un loup, il y a certainement d'autres loups Ă  proximitĂ©. Les loups se dĂ©placent parfois seuls, mais ils chassent presque toujours en meute. 2Reculez lentement. Si le loup vous voit, reculez lentement. Maintenez toujours un contact visuel et ne lui tournez pas le dos. Si vous essayez de fuir, gardez les loups en face de vous. S'ils se retrouvent derriĂšre vous, leur instinct de prĂ©dateur pourrait refaire surface. Reculez lentement sans quitter la meute des yeux. 3Ne fuyez pas. Les loups sont plus rapides que vous et plus particuliĂšrement dans les bois. En outre, courir fera ressurgir leur instinct de chasseur. Si les loups ne vous ont pas poursuivi auparavant, il y a de fortes chances qu'ils le font si vous courez. PublicitĂ© 1 Agissez agressivement et bruyamment. Avancez vers le loup, faites du bruit, criez et tapez des mains. Reculez lentement. Continuez Ă  agir de maniĂšre agressive sans cesser de faire du bruit. Maintenez un contact visuel avec le loup et ne lui tournez pas le dos [1] . N'essayez de combattre les loups que si vous n'avez vraiment pas le choix. Les loups sont forts et malins, avec une mĂąchoire puissante et un instinct de tueur. Il y a des chances que vous arriviez Ă  vous occuper d'un loup seul, mais vous ne voulez certainement pas vous retrouver face Ă  une meute [2] . Respirez profondĂ©ment et essayez de rester calme. Les loups peuvent sentir la peur. Si vous paniquez, vous risquez de rester figĂ© ou de courir et vous perdrez vos moyens. 2 DĂ©fendez-vous. Si les loups attaquent, repoussez-les avec des bouts de bois, des pierres, un rĂ©pulsif Ă  ours, un avertisseur pneumatique ou n'importe quelle arme Ă  votre disposition [3] . Cherchez un endroit facilement dĂ©fendable tenez-vous debout contre un arbre ou un gros rocher. Les loups ne doivent pas se retrouver derriĂšre vous. N'essayez pas de vous rendre invisible ou de vous mettre en position fƓtale. Ça n'empĂȘchera pas les loups de vous massacrer. La plupart du temps, un loup en position d'attaque ne s'arrĂȘtera que si vous l'intimidez et si vous vous prĂ©sentez comme une menace plus grande qu'il ne le pense. 3 Restez vigilante. Si vous essayez de vous enfuir, faites-le calmement et rapidement. Grimpez un arbre, un rocher ou un autre endroit surĂ©levĂ©. Si possible, entrez dans une voiture ou une maison Ă  proximitĂ© [4] . Ne baissez pas tout de suite votre garde. Le loup rĂŽde peut-ĂȘtre encore Ă  cĂŽtĂ© de vous ou de votre campement Ă  la recherche d'une seconde chance. Si le loup est trĂšs affamĂ©, il rĂ©essayera de vous attaquer. 4 Restez en groupe. Si vous ĂȘtes un groupe attaquĂ© par les loups, gardez tous les enfants et toutes les personnes blessĂ©es au milieu. Lorsque les loups attaquent un groupe de proies, ils s'en prennent au maillon le plus faible le jeune, le vieux ou le malade. Pour aucune raison vous ne devez vous Ă©parpiller. Assurez-vous que chacun regarde dans une direction pour que les loups ne vous prennent pas par surprise. Les loups essaient de trouver le maillon le plus faible dans un groupe de proies. Ils vous voient tous comme des proies. Les enfants ont plus de chances de se faire attaquer, car ils sont les plus petits et les plus faibles. Quand les loups attaquent des humains, il s'agit d'enfants dans la grande majoritĂ© des cas [5] . C'est comme ça que les loups arctiques chassent le bƓuf musquĂ©. Ils observent de loin le troupeau, attendant que le flanc s'ouvre quand un des adultes sera distrait. Ils se mĂȘlent alors au troupeau pour attraper le bƓuf le plus faible. 5Gardez un Ɠil sur votre chien. Si vous faites de la randonnĂ©e avec votre chien dans un territoire de loup, ne le quittez pas des yeux. Ramassez ses dĂ©jections, empĂȘchez-le de faire du bruit et ne le laissez pas uriner n'importe oĂč. Toutes ces choses attireront les loups et ils vous verront, vous et votre chien, comme des intrus. Les loups et les chiens domestiques utilisent l'urine et les dĂ©jections en plus des traces de griffes et des odeurs qui trainent pour marquer leur territoire. Les loups peuvent attaquer un chien s'ils pensent que celui-ci empiĂšte sur leur territoire. PublicitĂ© 1 Allumez un feu. Si les loups rĂŽdent autour de votre camp, allumez un feu pour les tenir Ă  distance. Utilisez des feuilles vertes et du bois humide pour produire un maximum de fumĂ©e. Quand vous aurez des braises fumantes, dĂ©placez-les prĂšs d'un arbre ou entre plusieurs arbres. Appliquez de la sĂšve ou de la rĂ©sine sur les branches et allumez-les. Laissez le vent porter la fumĂ©e en direction des loups. Les loups dĂ©testent le feu et la fumĂ©e parce qu'ils semblent dangereux pour eux. S'ils sont avec leurs petits ce qui est trĂšs probable au printemps, pĂ©riode Ă  laquelle naissent les louveteaux, le feu les incitera Ă  aller ailleurs si la mĂšre pense que la sĂ©curitĂ© de ses petits est menacĂ©e. 2CrĂ©ez un abri. Utilisez des branches, des pierres, des bĂątons aiguisĂ©s et d'autres objets solides pour crĂ©er une barriĂšre autour du site. S'il est bien construit, votre abri peut empĂȘcher les loups de vous approcher, mais n'oubliez pas qu'ils pourront toujours vous sentir et vous entendre. 3 Faites beaucoup de bruit. Les loups hurlent pour revendiquer leur territoire et ils peuvent interprĂ©ter le bruit que vous faites comme une revendication de votre territoire. Si vous ĂȘtes en groupe, chantez et criez. Soyez le plus bruyante et le plus fĂ©roce possible. N'essayez pas d'imiter le hurlement du loup. Vous risquez simplement de les attirer. Les loups solitaires hurlent pour localiser les autres membres de leur meute et les loups sont connus pour accourir quand les humains imitent leur cri [6] . PublicitĂ© Conseils Les loups solitaires essaieront rarement de vous attaquer frontalement. Essayez de paraitre plus grand et plus intimidant en tendant vos bras, en battant votre veste et en tenant des choses dans vos mains. Les loups ont naturellement peur des humains. Si des loups essaient de vous attaquer, ne courez pas ! Ces animaux ont Ă©voluĂ© pour courir aprĂšs une proie qui s'enfuit et fuir ne ferait qu'activer leur instinct naturel de chasseur. Si possible, faites des recherches avant de vous rendre dans un endroit peuplĂ© de loups. Plus vous en saurez sur leur comportement, meilleures seront vos chances de survie. Les loups sont trĂšs protecteurs envers leurs petits et ils n'aiment pas que des Ă©trangers les touchent ou ils pourraient les abandonner. Si vous rencontrez des louveteaux, Ă©vitez-les ! Ne traitez pas le loup comme s'il s'agissait d'un chien domestique. La mĂąchoire des loups peut exercer une pression de 0,75 kg/cmÂČ, ce qui est beaucoup plus douloureux que la morsure d'un chien de taille moyenne ! Si vous voyez un loup dans votre quartier en hiver ou au printemps, il s'agit certainement d'un jeune loup qui a rĂ©cemment quittĂ© sa meute et qui ne connait pas encore les humains. Il peut ressentir de la curiositĂ© envers vous, ce qui est normal. Il est conseillĂ© de l'effrayer pour qu'il ne vienne plus trainer dans les parages. Gardez un Ɠil sur le loup, mais sachez que vous ne devez jamais le regarder droit dans les yeux ! Cela risque uniquement de le rendre plus agressif. Veillez Ă  voyager en groupe. Vous aurez plus de chances de repousser un loup. Les loups, comme la plupart des prĂ©dateurs, privilĂ©gient leur santĂ© sur un potentiel repas. Si vous pouvez leur faire comprendre que vous ĂȘtes plus un adversaire dangereux qu'une proie facile Ă  dĂ©vorer, ils se tiendront gĂ©nĂ©ralement Ă  distance. Si pendant une promenade, vous tombez sur un loup, reculez lentement et sans faire de bruit. N'approchez jamais le loup, car il pourrait vous attaquer ou vous mordre. N'oubliez pas que c'est un animal sauvage et que les animaux sauvages sont imprĂ©visibles ! PublicitĂ© Avertissements Si vous ĂȘtes mordu par un loup, appelez les urgences ou allez tout de suite Ă  l'hĂŽpital. Cela ne risque d'arriver que si vous les provoquez, mais c'est sans aucun doute possible. Vous aurez besoin d'un vaccin antirabique ou d'un rappel de vaccin antirabique, juste au cas oĂč... N'essayez pas de fuir un loup ou une meute. Mettez-vous en groupe et gardez les enfants au milieu. Jetez des pierres, faites beaucoup de bruit et essayez de paraitre intimidant. 1 fois sur 5, le loup rentre bredouille de la chasse, gĂ©nĂ©ralement quand la proie lui tient tĂȘte. Il a Ă©tĂ© dit un jour que la force de la meute est dans le loup et la force du loup est dans la meute ». Si les loups sont en meute, vous serez probablement moins nombreux et il vous sera plus difficile de les faire fuir. C'est d'autant plus vrai si la meute compte beaucoup d'individus. GĂ©nĂ©ralement, les meutes de loups ne comptent pas plus de 6 individus, mais elles peuvent occasionnellement rassembler jusqu'Ă  30 loups dans certains endroits spĂ©cifiques, comme dans le parc de Yellowstone aux États-Unis. Ne laissez pas les enfants sans surveillance quand vous faites de la randonnĂ©e, du camping ou quand vous traversez un territoire de loups. Les enfants sont vulnĂ©rables en raison de leur taille et de leur fragilitĂ©. Il est Ă©galement possible qu'ils ne reconnaissent pas les signes de danger. Ne donnez pas Ă  manger aux loups. Cela les habituera aux humains et les rendra plus audacieux et moins effrayĂ©s par leur prĂ©sence. Les loups nourris Ă  la main ont plus de chances d'attaquer les humains Ă  l'avenir, car ils n'ont plus peur [7] . PublicitĂ© À propos de ce wikiHow Cette page a Ă©tĂ© consultĂ©e 44 417 fois. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ?
Archipel arctique connu pour son loup blanc Archipel au large de fouesnant (les) Archipel au large du maroc » Archipel au large de fouesnant (les) : définitions pour mots croisés. Vous trouverez sur cette page les mots correspondants à la définition « Archipel au large de fouesnant (les) » pour des mots fléchés. GLENAN; Comme le veut la convention en mots fléchés, ce mot

Le loup arctique Parmi les 32 sous-espĂšces connues de loup gris se trouvent plusieurs sous-espĂšces circumpolaires que l'on dĂ©signe par les expressions loups arctiques » et loups de la toundra ». Le loup de l'archipel Arctique canadien, Canis lupus arctos, est plus couramment appelĂ© loup arctique ». Les habitants de la rĂ©gion dĂ©signent ce loup blanc par les mots amarok inuit, amagok inuvialuit et amaguk inupiat. Dans la partie nord de la zone continentale oĂč le loup est rĂ©pandu, sa couleur varie beaucoup. Dans l'archipel Arctique septentrional, il peut ĂȘtre d'un blanc parfait ou blanc avec des marques noirĂątres ou rougeĂątres, surtout aux Ă©paules et sur la queue. Les louveteaux possĂšdent habituellement un pelage plus sombre durant leur premiĂšre annĂ©e de vie. L'hiver, le pelage du loup comporte une bourre dense qui isole convenablement et un pelage extĂ©rieur plus grossier qui protĂšge et rĂ©chauffe. À l'arrivĂ©e des tempĂ©ratures estivales plus chaudes, le loup perd le pelage supplĂ©mentaire, ce qui lui donne, pendant un certain temps, un aspect distinctement hirsute. Les femelles adultes pĂšsent de 18 Ă  55 kg et les mĂąles adultes de 20 Ă  80 kg, selon la sous-espĂšce. La longueur totale du museau au bout de la queue varie de 1,37 Ă  1,52 m, pour les femelles, et de 1,27 Ă  1,64 m, pour les mĂąles. Animal social, le loup gris vit en meute, qui est fondamentalement un groupe familial de cinq Ă  huit individus. Les membres de la meute sont unis par des liens solides, renforcĂ©s Ă  mesure que les louveteaux grandissent ou lorsque deux adultes matures se courtisent. L'ordre d'une meute est maintenu par un systĂšme hiĂ©rarchique dans lequel le mĂąle adulte domine la femelle adulte et les louveteaux. Les loups communiquent par des postures, des hurlements, d'autres sons et le marquage par odeur. Le hurlement sert Ă  rĂ©unir la meute, Ă  annoncer l'occupation et l'Ă©tendue de son territoire ou Ă  exprimer la dĂ©tresse ou la satisfaction. Le marquage par odeur, qui consiste Ă  uriner ou Ă  dĂ©fĂ©quer sur des objets bien en vue dans le territoire d'une meute, a probablement comme rĂŽle d'identifier celui-ci. Les loups se reproduisent une fois l'an au printemps. Des portĂ©es de cinq ou six louveteaux naissent aprĂšs une pĂ©riode de gestation de neuf semaines. Les bĂ©bĂ©s naissent dans une taniĂšre creusĂ©e par la femelle dans un sol mou. Dans l'Arctique, les taniĂšres sont souvent des emplacements traditionnels qui servent pendant des siĂšcles. Les louveteaux demeurent dans la taniĂšre pendant environ deux semaines, puis s'aventurent Ă  l'extĂ©rieur. Les adultes ramĂšnent Ă  leurs petits de la viande qu'ils ingurgitent pour la rĂ©gurgiter par la suite Ă  leur intention. À la fin de l'Ă©tĂ©, les adultes sortent les louveteaux de la taniĂšre de mise bas et les amĂšnent Ă  des lieux de rendez-vous, oĂč la meute passe le plus clair de son temps. À l'automne, les louveteaux commencent Ă  accompagner les adultes lors de certaines expĂ©ditions de chasse. La curiositĂ© et l'espiĂšglerie associĂ©es Ă  la vie dans les environs de la taniĂšre diminuent quand les pĂ©riples dĂ©butent. Les louveteaux de l'archipel Arctique subissent les Ă©preuves de la vie nomade beaucoup plus tĂŽt que ceux des rĂ©gions tempĂ©rĂ©es, Ă©tant donnĂ© qu'ils quittent leurs taniĂšres estivales ou leurs lieux de naissance dĂšs la mi-juillet. Les adultes leur imposent un rythme Ă©reintant dĂšs qu'ils commencent Ă  voyager avec la meute. Les principales proies du loup sont les grands ongulĂ©s l'original, le caribou et le bƓuf musquĂ©. Quand il s'attaque Ă  de grosses proies, le loup emploie diverses stratĂ©gies, mais son taux de rĂ©ussite est faible. En outre, il se nourrit rĂ©guliĂšrement de petits mammifĂšres et l'Ă©tĂ©, de nombreuses espĂšces d'oiseaux qui viennent dans l'Arctique pour se reproduire. Normalement, les loups arctiques franchissent de grandes distances Ă  la recherche de nourriture. Les dĂ©placements se font en solitaire, Ă  deux ou en meute dans laquelle on peut compter jusqu'Ă  15 individus. La superficie du territoire varie selon l'habitat et dĂ©pend des quantitĂ©s et des types de proies disponibles. Les loups se battent quand des meutes avoisinantes envahissent leur territoire. Le taux de mortalitĂ© des louveteaux du Nord est Ă©levĂ© durant leur premier hiver. Les blessures subies lors d'attaques sur de grosses proies risquent d'ĂȘtre fatales. Les loups souffrent Ă©galement de nombreux parasites et maladies. Parmi les autres facteurs de mortalitĂ©, on retrouve la faim, les attaques sur des intrus solitaires et toutes les mĂ©thodes inventĂ©es par les humains pour tuer les loups. Par consĂ©quent, 10 ans est un Ăąge vĂ©nĂ©rable pour les loups Ă  l'Ă©tat sauvage. Le loup arctique n'est pas officiellement dĂ©signĂ© comme Ă©tant en voie de disparition ou vulnĂ©rable, bien que sa population dans l'archipel Arctique soit faible. Dans l'Arctique canadien, les chasseurs inuits encourageaient leurs chiens d'attelage Ă  se reproduire avec des loups afin de conserver les caractĂ©ristiques les plus souhaitables. Partout dans le Nord, les loups ont toujours Ă©tĂ© piĂ©gĂ©s et chassĂ©s pour leur peau, qui sert Ă  fabriquer ou Ă  orner des vĂȘtements. Bien que le loup ne soit pas normalement chassĂ© Ă  des fins alimentaires, sa viande est parfois consommĂ©e. De façon positive, le loup est devenu un symbole populaire du milieu sauvage et une attraction pour les milliers de visiteurs des parcs nationaux et territoriaux du Nord.

Animauxarctiques en voie de disparition. Date de publication en ligne. le 25 septembre 2015. DerniĂšre modification. le 12 septembre 2018. La liste des espĂšces menacĂ©es au Canada est longue. En 2013, elle s’établit Ă  456 espĂšces. De ce nombre, plus de 40 pour cent sont considĂ©rĂ©es comme en voie d’extinction. Quoiqu’on les trouve
Le rut du Loup Le rut pĂ©riode des amours est variable suivant le lieu gĂ©ographique des loups. Dans les pays chauds les Canis Lupus s’accouplent dĂšs le mois de janvier. Alors que dans les rĂ©gions polaires, le rut ne commencera qu’au printemps mars, avril. les premiers signes sont un rapprochement entre mĂąles et femelles dominants. Ces rapprochement sont de plus en plus intense au fur et Ă  mesure que la saison des amours avance. Lorsque’une louve est en chaleur, elle le fait savoir en dĂ©gageant des phĂ©nomones, indiquant traces d’urine aux mĂąles son Ă©tat. C’est la pĂ©riode la plus dĂ©licate du mĂąle Alpha, car il doit empĂȘcher toutes les convoitises des autres mĂąles; ce qui donnent souvent lieu Ă  des bagarres. Le mĂąle dominant doit aussi empĂȘcher l’accouplement de deux loups non dominants. La femelle Alpha en chaleur harcĂšlera les autres louves de la meute. Elle devient de plus en plus agressive au fur et Ă  mesure que ses chaleurs augmentent, interdisant aux louves subalternes de se reproduire avec le mĂąle Alpha. L’accouplement dure environ une trentaine de minutes, oĂč le couple reste attachĂ©. Au contraire d’une chienne qui a deux pĂ©riodes de chaleur par an, la louve n’en a qu’une. Nous attirons votre attention que le fait de lĂ©cher le museau d’un congĂ©nĂšre est aussi un signe de soumission Les Louveteaux AprĂšs une gestation d’environ 60 jours la louve met bat, dans une taniĂšre amĂ©nagĂ©e et proche d’un point d’eau. Sa taniĂšre est faite d’herbe, de mousse, de feuilles et mĂȘme de ses propres poils. Elle donne naissance entre 4 Ă  8 louveteaux, totalement dĂ©nudĂ©s et sans dents. Chaque louveteau pesant entre 0,300 kg et 0,500 kg. D’instinct ils se dirigeront directement vers les mamelles remplies de lait. Ils resteront ainsi trois semaines dans la taniĂšre, et c’est les autres loups de la meute qui nourriront la femelle en lui apportant des morceaux de viandes; qu’ils rĂ©gurgiteront Ă  l’entrĂ©e de la nursery. DĂšs que les louveteaux peuvent sortir de la taniĂšre sous l’oeil vigilant de la mĂšre, et c’est l’ensemble de la meute qui assure leur Ă©ducation. Les louveteaux jouent, se bagarrent innocemment. Ces jeux ont pourtant un rĂŽle ils les initient aux langage corporel, et leur apprend la place qu’ils doivent tenir au sein de la meute. Si par malheur la louve Alpha venait Ă  disparaĂźtre aussitĂŽt une autre louve la remplacerait et allaiterait les jeunes loups. DĂšs que les louveteaux sont assez fort ils suivront la meute en dĂ©placement et aussi aux sĂ©ances de chasse, oĂč ils enregistreront les gestes et techniques des adultes. Vers un an Ă  cinq ans ils quitteront la meute Ă  la recherche de partenaires et de nouveaux territoires. Une meute ne s’agrandit jamais de trop c’est une question d’équilibre et de survie. Haut de page
LesmĂąles mesurent entre 7 et 9 m de long (le spĂ©cimen le plus grand jamais vu mesurait 9,74 m) et pĂšsent entre 5 et 8,5 tonnes (le plus lourd spĂ©cimen pesait 11 tonnes) ; les femelles sont plus petites, mesurant entre 6 et 7 mĂštres pour une masse situĂ©e entre 3 et 4 tonnes (le maximum connu pour une femelle est de 7,5 tonnes). À la naissance, le nouveau-nĂ© pĂšse environ 150 Ă 

La liste des espĂšces menacĂ©es au Canada est longue. En 2013, elle s’établit Ă  456 espĂšces. De ce nombre, plus de 40 pour cent sont considĂ©rĂ©es comme en voie d’extinction. Quoiqu’on les trouve dans l’ensemble des provinces et des territoires canadiens, c’est dans l’Arctique qu’il est possible de saisir les raisons de leur dĂ©clin, parmi lesquelles on peut mentionner le changement climatique et la destruction de leurs habitats. Ainsi, les scientifiques ont constatĂ© que les tempĂ©ratures Ă  proximitĂ© du PĂŽle Nord augmentent deux fois plus vite que partout ailleurs sur la planĂšte, ce qui a pour consĂ©quence la fonte de la glace de mer, une composante essentielle des Ă©cosystĂšmes de l’Arctique. Pendant ce temps, les communautĂ©s inuites observent d’importants changements dans les trajectoires de migration des animaux et une baisse importante de leur population des Ă©lĂ©ments qui affectent directement la pratique de la chasse traditionnelle chez ces communautĂ©s. Cette exposition vous propose de dĂ©couvrir six espĂšces animales qui vivent avec difficultĂ©s les transformations environnementales que connaĂźt actuellement l’Arctique canadien. Il s’agit de l’ours polaire, le caribou, le narval, la baleine borĂ©ale, le beluga ou baleine blanche et le morse. En plus d’y trouver des extraits de l’EncyclopĂ©die canadienne qui vous fourniront des informations relatives aux dĂ©fis que rencontre chacune de ces espĂšces, l’exposition prĂ©sente des clichĂ©s du photographe de rĂ©putation internationale Paul Nicklen. Enfin, la contribution du journaliste Ashleigh Gaul de Yellowknife, sur la chasse au morse au Nunavut, met en Ă©vidence les liens Ă©troits entre la destruction des habitats fauniques et la menace qui pĂšse sur la survie de la culture inuite. La liste des espĂšces menacĂ©es au Canada est longue. En 2013, elle s’établit Ă  456 espĂšces. De ce nombre, plus de 40 pour cent sont considĂ©rĂ©es comme en voie d’extinction. Quoiqu’on les trouve dans l’ensemble des provinces et des territoires canadiens, c’est dans l’Arctique qu’il est possible de saisir les raisons de leur dĂ©clin, parmi lesquelles on peut mentionner le changement climatique et la destruction de leurs habitats. Ainsi, les scientifiques ont constatĂ© que les tempĂ©ratures Ă  proximitĂ© du PĂŽle Nord augmentent deux fois plus vite que partout ailleurs sur la planĂšte, ce qui a pour consĂ©quence la fonte de la glace de mer, une composante essentielle des Ă©cosystĂšmes de l’Arctique. Pendant ce temps, les communautĂ©s inuites observent d’importants changements dans les trajectoires de migration des animaux et une baisse importante de leur population des Ă©lĂ©ments qui affectent directement la pratique de la chasse traditionnelle chez ces communautĂ©s. Cette exposition vous propose de dĂ©couvrir six espĂšces animales qui vivent avec difficultĂ©s les transformations environnementales que connaĂźt actuellement l’Arctique canadien. Il s’agit de l’ours polaire, le caribou, le narval, la baleine borĂ©ale, le beluga ou baleine blanche et le morse. En plus d’y trouver des extraits de l’EncyclopĂ©die canadienne qui vous fourniront des informations relatives aux dĂ©fis que rencontre chacune de ces espĂšces, l’exposition prĂ©sente des clichĂ©s du photographe de rĂ©putation internationale Paul Nicklen. Enfin, la contribution du journaliste Ashleigh Gaul de Yellowknife, sur la chasse au morse au Nunavut, met en Ă©vidence les liens Ă©troits entre la destruction des habitats fauniques et la menace qui pĂšse sur la survie de la culture inuite. Narval Au Canada, la distribution du narval est centrĂ©e sur le dĂ©troit de Davis, la baie de Baffin, le dĂ©troit de Lancaster et les bras de mer et les fjords de l’archipel Arctique. Elle comprend Ă©galement le dĂ©troit d’Hudson, la baie Repulse et le Nord de la baie d’Hudson. L’évolution rapide de l’état de la glace marine dans l’Arctique est considĂ©rĂ©e comme une menace potentiellement sĂ©rieuse pour le narvale. Ces changements pourraient entraĂźner des piĂ©geages plus frĂ©quents de l’animal sous la glace, et donc une mortalitĂ© plus importante due Ă  la famine, la noyade ou la prĂ©dation. La rĂ©duction des glaces marines est Ă©galement associĂ©e Ă  une intensification des activitĂ©s humaines dans l’Arctique, les zones impossibles Ă  naviguer jusqu’alors devant plus accessibles. L’habitat du narval pourrait donc subir des menaces grandissantes dues aux activitĂ©s liĂ©es Ă  l’exploration pĂ©troliĂšre, Ă  la pĂȘche commerciale et au transport maritime. Baleine borĂ©ale L’aire de rĂ©partition canadienne comprend les rĂ©gions arctiques de l’est et de l’ouest qui abritent deux populations distinctes. La chasse commerciale de la baleine a commencĂ©e dans l’Est du Canada dans les annĂ©es 1500, puis dans la rĂ©gion Beaufort-Chukchi-Beaufort en 1848. Les deux opĂ©rations commerciales sont terminĂ©es Ă  la fois vers 1915. Les deux populations ont Ă©tĂ© durement touchĂ©es par cette chasse. Le nombre de baleines borĂ©ales a augmentĂ© depuis 1931, lorsque leur chasse commerciale fut interdite. Aujourd’hui, la baleine borĂ©ale peut ĂȘtre affectĂ©e par toute une gamme d’activitĂ©s humaines, notamment le bruit provenant des bateaux et des activitĂ©s d’exploration et de production du pĂ©trole ainsi que par les collisions avec les navires et les prises accidentelles dans les files de pĂȘche qui peuvent les blesser ou les tuer. La rĂ©duction de la glace de mer dans l’Arctique provoquĂ©e par les changements climatiques pourrait entraĂźner un regain d’activitĂ©s humaines et permettre aux Ă©paulards d’accĂ©der plus facilement Ă  l’habitat frĂ©quentĂ© par les baleines borĂ©ales et ainsi intensifier ainsi la prĂ©dation. BĂ©luga Les bĂ©lugas sont trĂšs rĂ©pandus dans l’Arctique et la rĂ©gion subarctique. Les contaminants prĂ©sents dans l’eau sont une menace plus prĂ©occupante pour les bĂ©lugas du Saint-Laurent que pour ceux de l’Arctique. De fortes concentrations de BPC produits chimiques fabriquĂ©s par l’homme et utilisĂ©s dans l’industrie ont en effet Ă©tĂ© dĂ©tectĂ©es dans les tissus de la population du Saint-Laurent. Les bĂ©lugas doivent Ă©galement ĂȘtre affectĂ©s par le changement de climat, bien que la nature et l’amplitude de ses effets demeurent incertaines et varieront probablement d’une population Ă  l’autre. Mis Ă  part les effets Ă©cologiques, la rĂ©duction de la glace de mer entraĂźnera des modifications importantes au niveau des activitĂ©s humaines telles que celles liĂ©es Ă  l’exploration et Ă  l’exploitation en mer du pĂ©trole et du gaz naturel ainsi qu’aux dĂ©veloppements hydroĂ©lectriques et Ă  la pĂȘche commerciale. Ces activitĂ©s peuvent en retour avoir des impacts importants sur les bĂ©lugas et leur habitat. Ours polaire L'ours polaire est le plus gros des huit espĂšces d'ours. On estime que la population mondiale d’ours polaires se situe entre 20 000 et 25 000 animaux, dont 64 Ă  80 pour cent se trouvent au Canada. Dans ce pays, les ours polaires frĂ©quentent le Yukon, les Territoires du Nord-Ouest et le Nunavut, ainsi que les rĂ©gions septentrionales du Manitoba, de l’Ontario, du QuĂ©bec et de Terre-Neuve et Labrador. Une espĂšce hautement spĂ©cialisĂ©e, l’ours polaire dĂ©pend des glaces marines et est donc particuliĂšrement vulnĂ©rable aux modifications de son environnement. On sait dĂ©jĂ  que des modifications des glaces marines ont causĂ© une baisse du nombre et de la productivitĂ© de quelques populations d'ours polaires. La perte des habitats causĂ©e par la disparition des glaces de mer est la principale prĂ©occupation des spĂ©cialistes de la prĂ©servation. Parmi les autres menaces potentielles, on note l'exploitation pĂ©troliĂšre comme le site de la Mer de Beaufort, la prospection, le dĂ©glaçage et le transport de marchandises. Caribou Au Canada, les caribous sont gĂ©nĂ©ralement classĂ©s suivant trois types le caribou de Peary, le caribou de la toundra et le caribou des bois. Les pertes d’habitat et le rĂ©chauffement climatique constituent des vecteurs clĂ©s du dĂ©clin des caribous. Les tempĂ©ratures plus douces ont permis aux caribous et aux cerfs de s’étendre plus au nord. L’abondance des prĂ©dateurs dĂ©pendant de l’abondance de leurs proies, les loups, couguars et les coyotes Ă©largissent eux aussi leur aire de rĂ©partition et deviennent plus nombreux. Le caribou des bois du Sud, contrairement Ă  l’original et au cerf, ne peut pas coexister avec un si grand nombre de prĂ©dateurs. Plus au nord, le rĂ©chauffement climatique se traduit par une couverture plus importante de la vĂ©gĂ©tation par une croĂ»te de glace ou de neige dure, ce qui entraĂźne plus de famines au sein des populations de caribous de Peary et de caribous de la toundra. Dans le cas du caribou de la toundra, les tempĂ©ratures plus douces affectent les itinĂ©raires de migration puisque la glace de mer sur laquelle se dĂ©plaçaient les animaux fond de plus en plus. Morse On compte deux sous-espĂšces de morse le morse du Pacifique et le morse de l'Atlantique. Au Canada, on ne retrouve que le morse de l'Atlantique. Certains chercheurs ont suggĂ©rĂ© que c’est la chasse excessive qui menace le plus sĂ©rieusement le morse de l’Atlantique. La chasse du morse est aujourd’hui accessible Ă  la fois aux communautĂ©s Inuits et aux chasseurs sportifs alors que seuls les Inuits pouvaient la pratiquer de 1928 Ă  1994. Les permis de chasse sportive sont dĂ©livrĂ©s dans le but de bĂ©nĂ©ficier aux communautĂ©s du Nord. MĂȘme si des quotas existent pour certaines rĂ©gions, il n’y a pas eu suffisamment d’études pour que l’on soit sĂ»r que ces quotas sont suffisamment restrictifs pour protĂ©ger les populations de morses concernĂ©es. Les donnĂ©es concernant le nombre de morses tuĂ©s sont par ailleurs limitĂ©es, ce qui complique les recherches. Le morse de l’Atlantique est Ă©galement menacĂ© par l’intensification des activitĂ©s humaines telles que le dĂ©veloppement industriel p. ex., les exploitations miniĂšres et l’écotourisme. Se souvenir de la chasse au morse Les scientifiques et les Inuits s’accordent pour dire que les changements qui touchent l’Arctique affectent profondĂ©ment les populations animales et ces perturbations se rĂ©percutent sur la culture et les traditions des peuples du Nord. Les Aivilingmiuts de Nunavut sont des chasseurs de morse. Comme de nombreux autres groupes rĂ©gionaux d’Inuits, ils ont Ă©tĂ© nommĂ©s d’aprĂšs l’animal qui assurait jadis leur survie. En toutes saisons, ils suivaient l’aivik le morse, en inuktitut au nord de la baie d'Hudson, jusqu’à l’üle de Baffin. Aujourd’hui, personne ne dĂ©pend plus uniquement du morse pour sa survie. Cependant, lorsqu’une ancienne AivilingmiutdĂ©clare sur une chaĂźne de radio locale qu’elle a trĂšs envie d’igunaq – la viande de morse fermentĂ©e –, les chasseurs locaux ont le devoir d’aller en chercher. *** Les bateaux au dĂ©part d’une rive de galets de calcaire. Le mois de juillet tire Ă  sa fin et la baie Igloolik est libre de glace. Chaque bateau transporte une famille la mĂšre, le pĂšre et un ou deux fils qui ont Ă©tĂ© choisis pour apprendre Ă  chasser. Le plan succinct prĂ©voit que les Airuts, Ammaqs, Irngauts et Awas seront partis pour une semaine. Ils ont pris avec eux suffisamment de nourriture et de collations pour environ trois jours. Le reste du temps, ils dĂ©pendront de la terre. Ils devront recueillir l’eau de pluie sur la nappe glaciaire, chasser les canards et tirer sur les phoques lorsque leur tĂȘte noire apparaĂźtra au loin, sur l’eau Ă  peine ondulĂ©e. Ils naviguent au moteur pendant des heures, contournant une centaine de petites Ăźles. Personne ne se soucie de ne plus apercevoir la terre. En 2008, les chasseurs et les trappeurs d’Igloolik ont instituĂ© un moratoire sur le tourisme axĂ© sur le morse. Ce moratoire interdisait les expĂ©ditions de chasse sportive et de photographie au sud de l’üle de Baffin. Selon eux, la frĂ©quentation accrue de la zone par les touristes avait fait fuir les animaux vers l’est, en direction de Cape Dorset. Le moratoire a depuis Ă©tĂ© levĂ© mais certains pensent que l’intensification du trafic maritime et des dĂ©veloppements autour et sur l’üle de Baffin continue Ă  perturber les morses. D’autres soutiennent que le problĂšme vient de la disparition de la glace de mer. On ne sait pas si la population des morses de l’Atlantique est en train de disparaĂźtre ou si elle se dĂ©place mais les locaux disent qu’il y en a moins aujourd’hui qu’il y a trente ans. Quoi qu’il en soit, les scientifiques et les Inuits s’accordent pour dire que les changements qui touchent l’Arctique affectent profondĂ©ment les populations animales et ces perturbations se rĂ©percutent sur la culture et les traditions des peuples du Nord. *** Le soir venu, les chasseurs installent leur camp sur les lieux d’un ancien poste de chasse au morse, sur la petite Ăźle Qaisuut, juste au nord de la pointe la plus septentrionale de la partie continentale du Canada. Dans la clartĂ© continuelle des hautes latitudes, personne ne dort. Le pĂšre et chasseur Lukie Airut dĂ©coupe des peaux de phoque en fines bandelettes, les dĂ©barrasse de leurs poils puis les met Ă  sĂ©cher contre des rochers oranges. Elizabeth Awa apprend Ă  ses petites-filles comment aller cueillir la bruyĂšre dans les champs verdoyants, en altitude, pour l’étaler ensuite au camp afin d’en faire un matelas. L’ancien Abraham Uruyaralok, assis sur son matelas, fredonne des chansons traditionnelles. Il reste aussi attentif Ă  la radio haute frĂ©quence qui lui permet de bavarder avec d’autres chasseurs prĂ©sents dans le secteur. Les enfants arpentent toute la nuit le sentier millĂ©naire, baignĂ©s dans une lumiĂšre violette, carabine Ă  l’épaule. Ils montent la garde contre les ours polaires. ArrivĂ©s sur une plage toute plate, ils se rĂ©pĂštent les histoires racontĂ©es par leurs parents. Jadis, les morses foisonnaient sur cette Ăźle et les chasseurs n’avaient pour ainsi dire qu’à se baisser pour les cueillir. Dans une hutte de terre situĂ©e un peu au-dessus de la plage, ils trouvent les restes d’anciens outils et de jouets d’enfants, ainsi qu’un crĂąne humain. Ces enfants connaissent bien le crĂąne. Ils lui rendent visite chaque fois qu’ils viennent sur Qaisuut. Ce crĂąne tĂ©moigne de ce qu’il se passe lorsque la chasse devient mauvaise et que les gens sont forcĂ©s de changer leur style de vie. Toute la nuit, Peter Awa joue de son violon et un chaudron de tripes de phoque bouillies passe de tente en tente. Ils ne font que tuer le temps, en attendant le matin. Se souvenir de la chasse au morse suite Les enfants gardent leur couteau Ă  la main mais se contentent d’observer comment se dĂ©roule le dĂ©peçage. Il en sera ainsi lors de plusieurs chasses, jusqu’à ce qu’ils soient prĂȘts Ă  s’essayer Ă  la tĂąche. Le premier troupeau que nous apercevons, nous nous contentons de le regarder. Ils sont comme des Ă©lĂ©phants dans l’eau, maladroits. MĂȘme en pleine mer, ils sont lents et peine Ă  respirer car il leur est difficile de garder leur nez et leur gueule au-dessus de la surface. Leur tĂȘte vient rĂ©guliĂšrement percer la surface, leurs dĂ©fenses fendant les vagues. Les six bateaux se regroupent derriĂšre eux, mais les morses n’ont pas besoin de nous voir pour comprendre qu’ils sont en danger. Ils remontent un peu plus frĂ©quemment Ă  la surface. Le troupeau se sĂ©pare. Awa tire et touche un mĂąle dans la nuque. Le mĂąle fait un saut en arriĂšre. Deux bateaux arrivent vite Ă  ses cĂŽtĂ©s et un chasseur le transperce avec un harpon maison connectĂ© par une corde Ă  un jerrican vide. Il frappe sur le jerrican avec ses dĂ©fenses. L’animal le malmĂšne mais ne peut pas le percer. Ses coups de reins brusques bousculent le bateau en aluminium de vingt pieds. Un autre coup de feu retentit sur le bateau voisin. Une femelle est touchĂ©e. Avant que les chasseurs ne parviennent Ă  la harponner, le reste du troupeau s’est regroupĂ© autour d’elle et deux d’entre eux l’emportent sur leur dos. Un bouc de glace s’interpose alors entre le bateau et les morses. Mais Lukie Airut n’hĂ©site pas, il saute sur la glace. Pendant quelques secondes, il reste lĂ , son harpon armĂ© au-dessus de sa tĂȘte. Lorsqu’il apprit Ă  le lancer, c’était Ă  partir d’un kayak. Il projette son harpon mais l’arme ne perce pas le cuir de l’animal. Il la harponne une deuxiĂšme fois, cette fois Ă  travers sa nageoire pectorale de gauche. Airut remonte Ă  bord de son bateau puis Ă©loigne l’animal du troupeau en ramenant sa corde en peau de phoque. Le bateau, tirĂ© de cĂŽtĂ© par la femelle d’une tonne, dĂ©rive vers une plaque de glace de la taille d’un gymnase. Ce matin-lĂ , neuf morses de ce troupeau seront tuĂ©s. Leur dĂ©peçage occupera toute l’aprĂšs-midi et une partie de la soirĂ©e. Il faut neuf hommes et un systĂšme de treuillage Ă  poulie pour sortir chaque morse de l’eau. Lorsque les couteaux Ă  fileter plongent dans les peaux grises et abĂźmĂ©es, la glace rougit sous le flot de sang. Il n’y aura pas de pause dĂ©jeuner. Les foies et les cƓurs des animaux sont rassemblĂ©s devant une chaise de jardin posĂ©e sur la glace et les chasseurs viennent s’y rassasier Ă  tour de rĂŽle. Chaque famille dĂ©pĂšce son propre morse et chaque famille a sa propre façon de procĂ©der. Mais tout le monde prĂ©pare la mĂȘme chose la spĂ©cialitĂ© desAivilingmiuts, l’igunaq. Ils replient des poches de gras, de viande et de peau en formant des sacs hermĂ©tiques puis les ferment en les cousant avec des laniĂšres de peau prĂ©levĂ©e sur la poitrine et la cage thoracique des animaux. Les enfants gardent leur couteau Ă  la main mais se contentent d’observer comment se dĂ©roule le dĂ©peçage. Il en sera ainsi lors de plusieurs chasses, jusqu’à ce qu’ils soient prĂȘts Ă  s’essayer Ă  la tĂąche. S’ils manquent une annĂ©e, ils commencent dĂ©jĂ  Ă  oublier. *** Les bateaux sont remplis, la chasse est terminĂ©e. De toute façon, il tarde aux enfants de revenir Ă  la maison. Une fois revenues sur la terre ferme, les familles se sĂ©parent puis vont entreposer leurigunaq dans des caches de rochers amĂ©nagĂ©es en bordure de la ville. La viande de morse, transportĂ©e deux hommes par poche, est entreposĂ©e dans un terrier creusĂ© Ă  mĂȘme le pergĂ©lisol. Elle y fermentera jusqu’à deux ans. Le jour de la fĂȘte du Canada, d’un anniversaire ou simplement quand un ancien passe Ă  la radio et fait part de son envie de manger du morse, les chasseurs viendront en chercher et toute la ville se souviendra de ce goĂ»t.

Milieunaturel. Le parc national Aulavik est une zone vierge et sauvage de l'Arctique située dans le nord de l'ßle Banks, l'ßle la plus à l'ouest de l'archipel Arctique. Le parc protÚge une aire naturelle des basses-terres de l'Arctique de l'Ouest représentative et d'importance nationale. Communiquez avec le bureau du parc à Inuvik pour

Europe, les Ăźles mythologiquesTĂ©thys, la fille des titans Ouranos le Ciel et de GaĂŻa la Terre avait une longue histoire, formĂ© au trias par la dislocation de la PangĂ©e elle connue plusieurs avatars, la PrototĂ©thys d'abord qui existait au PalĂ©ozoĂŻque entre le Gondwana et le terrane des huns composĂ© du craton du Yangtse, sino-corĂ©en, du bassin du Tarim, et de l'Asie du sud-est. Ensuite vint la PalĂ©othĂ©thys entre l’Asie et qui se referma quand un autre superterrane la referma, la CimmĂ©rie au Trias formĂ© des terres allant de l'Anatolie Ă  Sumatra. Entre le Gondwana et l'Eurasie vint alors le dernier avatar de ThĂ©tys, la NĂ©othĂ©tys. Mais cette mer Ă©tait elle aussi en train de disparaitre car comme toujours des terres se dĂ©tachaient du Gondwana pour heurter l'Eurasie, aprĂšs le terrane des Huns et celui de la CimmĂ©rie voici que cet titanides voyait ces derniers instants arriver, des instant qui durĂšrent quelques millions d'annĂ©es, nous sommes Ă  l'Ă©chelles des temps gĂ©ologiques tout de mĂȘme ! Son agonie comença qaund l'Inde heurta l'Asie, puis ce fut au tour de l'Arabie de bloquer son lieu avec l'OcĂ©an Indien. Ne restait que lien avec l'OcĂ©an Atlantique, mais mĂȘme lui est prĂ©caire, il y a a 5,96 millions d'annĂ©es le passage au sud de Gibraltar se bloqua, puis ce fut celui au nord entrainant un assĂšchement de la MĂ©diterranĂ©e, la crise salinitĂ© messinienne. Fort heureusement la dĂ©livrance arriva quand s'ouvrit le dĂ©troit de Gibraltar au ZanclĂ©en il y a 5,33 millions d'annĂ©es, apportant un rĂ©pit de quelques millions d'annĂ©es. Mais d'ici 5 millions d'annĂ©es la progression de l'Afrique vers le nord aurait de toute maniĂšre mis fin Ă  l'agonie de ThĂ©tys. Mais ça c'Ă©tait avant le ThalassocĂšne, dĂ©sormais TĂ©thys a gagnĂ© beaucoup, beaucoup de ThalassocĂšne l'Europe ressemble a ce qu’elle Ă©tait au Jurassique, une sĂ©rie d'Ăźles tropicales toutes plus mythiques les unes que les autres, commençons donc notre odyssĂ©e dans cet d’ÉgĂ©e, terre d'origine des mythesL’archipel d’ÉgĂ©e est la terre d'origine des mythes grecs et tel Ulysse nous commencerons notre OdyssĂ©e ici en partant d'Ithaque. Ces Ăźles abritent une faune originaire du contient europĂ©ens, elle ne manque manque pas d’élĂ©phants, des Ă©lĂ©phants descendant du genre Paleoloxodon. Ces Ă©lĂ©phant qui Ă©taient grand sur le continent ont rapetissĂ© et continueront de le faire tel ce mammouth qui habitait la CrĂȘte mais qui a disparu avant le ThalassocĂšne pour y ĂȘtre remplacĂ© par une espĂšce de Paleoloxodon en voie de rapetissement. Mais il n'y a pas que des Ă©lĂ©phants, la CrĂšte compte aussi des cervidĂ© du genre Candiacarvus, des cousins du gĂ©ant mĂ©galocĂ©ros, qui sur cette Ăźle ont rapetissĂ© et se sont diversifiĂ© en huit espĂšces allant d'une taille d'1,6 mĂštre Ă  seulement 40 cm pour la plus petite, Candiacervus ropalophorus, adaptĂ© a un environnement plus montagneux, paraissant tel des bouquetins. A leur cĂŽtĂ© des loutres aux mƓurs un peu plus terrestres que la normale, des hippopotames nains, la chouette d'AthĂ©na Athene cretensis, incapable de voler. Comme nous sommes sur des Ăźles mythologiques il y a bien sur des minotaures, oh pas des humanoĂŻdes Ă  tĂȘte de taureau mais une souris du nom de Mus minotaurus ainsi que d'autres rongeurs un peu plus gros du genre Kritimys et le rat Ă©pineux de CrĂšte Acomys minous. Dans cet archipel l'Ăźle d'EubĂ©e mĂ©rite une mention spĂ©ciale car avant la disparition des contient elle Ă©tait trĂšs proche du continent, sĂ©parĂ©e de seulement 38 mĂštres par le dĂ©troit d'Euripe. Elle contient donc une grande partie de la faune continentale avec ces Ă©lĂ©phants qui devront vite rapetissĂ©, mais aussi ce qui ressemble le plus Ă  un minotaure, les aurochs. De gros prĂ©dateurs sont Ă©galement prĂ©sents, loup, ours, lion, etc. A l'avenir la diversitĂ© devrait baisser ces petites Ăźles n'offrant pas forcĂ©ment un environnement qui peut permettre Ă  beaucoup d'espĂšces de survivre sans apports continentaux rĂ©guliers, pensons aux mammouths crĂ©tois dĂ©jĂ  l'Ăźle d'AphroditeLa naissance de VĂ©nus par Sandro BotticelliSelon la lĂ©gende, la dĂ©esse Aphrodite serait nĂ© sur le PĂ©tra tou RomioĂș ou Rocher d’Aphrodite jaillissant d'un coquillage. Ce rocher n'est pas trĂšs Ă©levĂ© et est situĂ© juste en bord de la mer. Avec une augmentation du niveau des mer de 15 mĂštre il se retrouve sous les eaux, un endroit idĂ©al pour un trĂšs gros coquillage idĂ©al pour engendrer VĂ©nus, le bĂ©nitier. Ces coquillages gĂ©ant Ă©taient jusqu'Ă  lors confinĂ© dans la rĂ©gion indopacifique mais avec la disparition des l'isthme de Suez ceux de la mer rouge, ainsi que d'autre espĂšce de cette zone se sont rĂ©pandu vers le il y a aussi une vie terrestre sur Chypre. Encore des PalĂ©oloxodons nains, des hippopotames nains et des cervidĂ©s. Il y a aussi des espĂšces plus petites oiseaux, serpents, lĂ©zard, musaraigne, rongeur dont l'un la Souris Ă©pineuse de Chypre Acomys nesiotes fait partie du genre des souris Ă©pineuses avec piquant sur le dos comme son cousin de l'Ăźle des LothophagesPoursuivant notre odyssĂ©e comme Ulysse nous abordons Djerba, l'Ăźle des Lothophages. Le Lotos est une plante assez inoffensive en fait, le Jujubier sauvage. Cette plante nourri les Lothophages qui ici sont des macaques de Barbarie. ces singes ne sont pas seul sur cette petite Ăźle, il y a Ă©galement des chats, des servals, des Renard famĂ©lique, des lĂšvres du cap, des Gazelle de Cuvier, des Zorille de Libye, des Genettes, des mangoustes, des HĂ©rissons d'AlgĂ©rie, des musaraignes et des rongeurs, dont des gerbilles. Des reptiles sont prĂ©sents, serpent, lĂ©zard, tortue mauresque, CamĂ©lĂ©on commun prĂ©sent aussi Ă  Chypre, CrĂšte, Malte et Sicile. On compte aussi des amphibiens et des l'Ăźle de LĂ©daSelon la lĂ©gende Zeus pris la forme d'un cygne pour sĂ©duire LĂ©da. A Malte Zeus est reprĂ©sentĂ© par le cygne gĂ©ant de Malte. Haut d'1,50 mĂštre il toise les autres habitants de l'archipel tel les Ă©lĂ©phants nains toujours du genre Paleoloxodon et les hippopotames. Cette espĂšce de cygne aptĂšre habite aussi en Sicile. Une espĂšce de loir gĂ©ant est aussi la terre des cyclopes intelligentsEn poursuivant son odyssĂ©e Ulysse arrivera vers la Sicile mais cette fois ci le dangereux dĂ©troit de Messine avec Charybde et Scylla aura disparu, il pourra donc aborder l'Ăźle en toute tranquillitĂ©. Une tranquillitĂ© assurĂ© par le fait que les crĂ©atures ayant donnĂ© naissance aux cyclope sont de paisibles Ă©lĂ©phants nains, le trou dans leur crane face Ă  leur trompe ayant Ă©tĂ© pris pour une orbite par les grecs colonisant l'Ăźle. Ces Ă©lĂ©phants sont relativement intelligents car malgrĂ© la diminution de taille par rapport Ă  leur congĂ©nĂšre continentaux ils ont gardĂ© une taille de cerveaux quasi Ă  part les Ă©lĂ©phants d'autre animaux sont prĂ©sent sur l'Ăźle, on a dĂ©jĂ  mentionner les cygne gĂ©ant de Malte. Il y avait aussi sa propre espĂšce d'hippopotame nain, une espĂšce de loutre, une espĂšce de daims, une espĂšce de grue capable de voler, une espĂšce de zorille, plusieurs espĂšce de rongeur dont une de gundi originaire d'Afrique. On compte aussi des chats et des loups, renard, belette, sanglier, martre, chevreuil, porc-Ă©pic. L'isolement insulaire Ă©tant compensĂ© par une connexion au contient lors des Ăšres glaciaires, tout comme de CircĂ©Ulysse poursuit son odyssĂ©e et arrive maintenant dans l'Ăźle de CircĂ©, une Ăźle trĂšs dangereuse mais pas parce qu'il risque d'ĂȘtre changĂ© en porc, Ă  la place il risque de se retrouver Ă  l'Ă©tat de statue de plĂątre comme les habitants de PompĂ©i. Ceci car l'endroit d'oĂč est originaire CircĂ© est la Campanie, rĂ©gion connue pour son volcanisme intense Tout les monde connait l'Ă©ruption du VĂ©suve en 79 qui engloutit PompĂ©i et Herculanum, en revanche beaucoup ignore que que la zone est pleine de Volcans, en fait toute la bais de Naples est un gigantesque supervolcan avec le VĂ©suve Ă  l'est et les Champs PhlĂ©grĂ©ens Ă  l'ouest. Il y a eu mĂȘme une super Ă©ruption volcanique vers 37 000 av JC qui envoya des cendres dans toutes l'Europe orientale et dont on pense qu'elle accĂ©lĂ©ra le dĂ©clin des nĂ©anderthaliens en tuant la faible vĂ©gĂ©tation glaciaire de l'Ă©poque entrainant par lĂ  la disparition des herbivores et des prĂ©dateurs dont les nĂ©anderthaliens .Éruption volcanique de 37 000 de la couche de cendre en cmAu ThalassocĂšne rappelons que les continents ont Ă©tĂ© rasĂ© jusqu'Ă  - 100 mĂštres et pleins d'Ă©ruption ont alors eu lieu et celle-ci aurait pu ĂȘtre une catastrophe, anĂ©antissant la vie sur d'autres Ăźle suivant la direction du vent elle aurait pu anĂ©antir la vie en Sicile, en Sardaigne, en Corse et jusqu'aux lointaine Ăźle Ă©gĂ©ennes. mais heureusement les vents soufflaient vers le nord est et les Ăźles Dalmates. De plus la chambre magmatique n'Ă©taient pas trĂšs remplies, ils faut des dizaines de milliers d'annĂ©es pour engendrer une superĂ©ruption, et elle s'Ă©tait vidĂ© il y a quelques milliers d'annĂ©es. Donc l'Ă©ruption bien qu’importante n'a pas entrainĂ© de destruction sur les autres Ăźles. Mieux elle en a créée une nouvelle qui s'est connectĂ© aux autres Ăźles de la baie de Naples. nous avons donc une Ăźle s'Ă©tendant de l'Ăźle d'Ischia Ă  l'ouest jusqu'Ă  l'Ăźle de Capri Ă  l'est en passant par l'emplacement du VĂ©suve au nord. Beaucoup de formes de vie sur ces Ăźles n'ont quand mĂȘme pas rĂ©sistĂ© Ă  l'Ă©ruption, fort heureusement sur Ischia des sangliers ont pu survivre et ainsi repeupler l'Ăźle de Ăźles DalmatesSituĂ©es au large de la Croatie les Ăźles Dalmates ont un assortiment de faune issus du contient tout proche, malheureusement l'Ă©ruption de l'Ăźle de CircĂ© a envoyĂ© pleins de cendre faisant disparaitre de nombreuse formes de corso sarde, les Ăźles de CalypsoUlysse aborde maintenant les Ăźles de Calypso ou l'archipel corso sarde, terre des polyphonies corses comme la chanson de ce message. Durant l'Ăšre glaciaire elles ne formaient qu’une seule et mĂȘme Ăźle et partagent donc une faune similaire. Il y a longtemps il y avait des chĂšvre du genre nĂ©sogoral et des macaques mais ceux-ci ont dipsarus il y a longtemps, remplacĂ© par d'autres animaux venu du continents. Il y a d'abord une espĂšce de mammouth nains descendante du mammouth des steppes et puis un mĂ©galocĂ©ros nains, le cerf de Caziot, une espĂšce de de canidĂ© nains, le dhole nain. trois espĂšces de micromammifĂšres, une souris, un campagnol et un lagomorphe le Prolagus sardus, une espĂšce de pika, une sorte de lapin aux oreilles courtes. Il y a aussi une espĂšce de mustĂ©lidĂ© terrestres et aussi quatre espĂšce de loutres, une adaptĂ© Ă  la vie en eau douce et les autres Ă  la vie en eau salĂ©. Elles Ă©taient toutes piscivores sauf une. L'une Megalenhydris barbaricina est la plus adaptĂ© Ă  la vie marine qu'on connaisse avec des vertĂšbres caudales aplaties, elle se nourrissait de crustacĂ©s et de coquillages et mesurait plus de 2 mĂštres. Tout ces animaux ont disparu, au nĂ©olitihque Ă  l'arrivĂ©e des humains pour les plus grandes, dans l'antiquitĂ© avec la pertes d'habitat et l'introduction de prĂ©dateurs et de concurrents, les dernier survivant furent des pika en Sardaigne au XVIIIĂšme siĂšcle. Mais au ThalassocĂšne ces animaux sont Ă  l'abri des les Ăźles d'HĂ©liosCrĂ©dit SanciusartCliquez sur le lien pour avoir la description des son odyssĂ©e vers l'ouest Ulysse aborde les Ăźles d'HĂ©lios et ses troupeaux et qu'ils ne s'avise pas de la manger sinon la vengeance du dieu sera terrible ! Les BalĂ©ares avaient une faune unique, sur Minorque ont trouvant le plus gros lapin de tout les temps, le Nuralagus rex qui arriva durant le Messinien. Sur cette Ăźle en l’absence de prĂ©dateurs il avait grossit jusqu'Ă  peser 20 Kg pour ensuite disparaitre lors des glaciations quand l'Ăźle fut reliĂ© aux autres de l'archipel succombant Ă  la concurrence des chĂšvres des BalĂ©ares Myotragus balearicus. Ces chĂšvres qui constituent le cheptel d'HĂ©lios sont du genre Myotragus sont proche des chĂšvre du genre nesogoral qui habitaient la Corse et la Sardaigne. Elle furent l'objet d'une tentative de domestication au NĂ©olithique mais celle-ci Ă©choua, sans doute car les humains arrivant dans ces Ăźles avaient dĂ©jĂ  des chĂšvres et en plus car elles ont une adaptation bien particuliĂšre, elles Ă©taient ectotherme, ne produisant par leur propre chaleur tel les reptiles. sans doute une adaptation au manque de nourritures sur ces Ăźles, de plus pourquoi ĂȘtre rapide s'il n'y a pas de prĂ©dateurs Ă  fuir. Ici avec le rĂ©chauffement du climat, la pluviomĂ©trie accrues la nourriture est plus abondante pour ces chĂšvres et la tempĂ©ratures plus Ă©levĂ©e leur permet d'ĂȘtre plus chĂšvres doivent partager ces Ăźles avec d'autres crĂ©atures, tel des loirs gĂ©ants, une espĂšce de chouette qui se nourrit de ces loirs, une tortue d'un mĂštre de long, des lĂ©zards, un crapaud et des rexL'archipel de BorvoAprĂšs avoir fait le tour des Ăźles mĂ©diterranĂ©ennes laissons Ulysse rentrer chez lui Ă  Ithaque et continuons notre voyage vers le nord avec un autre grand voyageur grec PythĂ©as. partant de Massilia, maintenant sous les eux il se dirige vers le nord lĂ  oĂč le volcanisme a refait son apparition et aborde l’archipel de Borvo, dieu celte des eaux bouillonnantes. Cet archipel a Ă©tĂ© formĂ© par le rĂ©veils des volcans d'Auvergne. Il se peuple peu Ă  peu de de formes de vie venues d’ailleurs vĂ©gĂ©taux, oiseaux, insectes, loutres. Ces loutres sont venues de Corse et ont pu faire escale sur l'archipel des Îles d'HyĂšres au large de ce qui fut la Britanniques, l'archipel des lĂ©gendes arthuriennesPythĂ©as aborde maintenant les Ăźles Britanniques, terre des lĂ©gendes arthuriennes. pas de roi Arthur dans ce monde mais ces Ăźles sont bien les gardiens de la tradition, non pas de la mythologie celtiques mais de la faune europĂ©enne. La Grande Bretagne a perdu un peu de territoire avec l’élĂ©vation du niveau de la mer sur la cĂŽte centre est mais elle est relativement intacte, tout comme sa faune, le nanisme insulaire ne s'y applique donc pas. On y trouve tout ce que l'Europe peut abriter en pĂ©riode interglaciaire ou presque, des Ă©lĂ©phants du genre PalĂ©oloxodon, des lions des cavernes, des hippopotames, des bisons, des aurochs, des rhinocĂ©ros de Merck et des steppes, des ours bruns et des cavernes, des loups, sangliers, lynx, chats, hyĂšnes. Des Homotheriums, une espĂšce de fĂ©lins Ă  dents de sabres. Des cervidĂ©s tels les mĂ©galocĂ©ros, les chevreuils, les Ă©lans et les cerfs Ă©laphes. Malheureusement pour eux les quelques rennes qui s’accrochaient encore dans les montagnes Ă©cossaises qui OTL survĂ©curent jusque vers l'an 1000 ne survĂ©curent pas au rĂ©chauffement climatique. On y trouve aussi des chevaux et des Ăąnes eurasiens. La faune de l'Irlande est un peu moins diversifiĂ©e et ses reprĂ©sentant un peu plus petit, territoire rĂ©duit oblige mais elle communique quand mĂȘme avec la faune de Grande inattendu le macaque de Barbarie est Ă©galement prĂ©sent sur ces Ăźles, on a en effet retrouver des dents de cet animal en Mer du Nord datĂ© de l'interglaciaire Éémien. [1]L’archipel de ThulĂ©PythĂ©as finit son voyage en abordant l’archipel de ThulĂ©. Ces terres sont ce qui reste de la Scandinavie et des Ăźles baltiques. Ces territoires sont plus petit que les Ăźles Britanniques la faune y sera donc moins variĂ©e pas d’hippopotames ni d'Homotherium ou d'ours des cavernes, de mĂ©galocĂ©ros, de lions, d'Ă©lĂ©phants ou de rhinocĂ©ros. par contre d'autres espĂšces seront prĂ©sentes, tels les gloutons ou des rennes dans les Ăźles du nord de la retour des sirĂšnesDurant son retour Ă  Ithaque Ulysse pourra d e nouveau Ă©tendre le chant des sirĂšnes, pour la premiĂšre fois depuis deux millions et demi d'annĂ©es. La MĂ©diterranĂ©e a Ă©tĂ© l'habitat de sirĂ©niens durant des millions d'annĂ©es. Le dernier genre a avoir habiter la zone Ă©tait le genre Metaxytherium avec l'espĂšce Metaxytherium subapenninum. Ce sirĂ©niens avaient tout endurĂ©, survivant mĂȘme Ă  la crise de salinitĂ© messinienes en se nourrissant de posidonies, l'herbe de Neptune. Ces herbes marines ne sont pas des algues, ce sont des angiospermes, des plantes Ă  fleurs adaptĂ©es Ă  la vie marine. Celle de MĂ©diterranĂ©e ont une tolĂ©rance au sel renforcĂ©, preuve de leur survie durant le Messinien. malheureusement l'arrivĂ© de l'Ăšre glaciaire sonna le glas des sirĂ©niens en MĂ©diterranĂ©e. Les herbiers de posidonies prolifĂ©rĂšrent donc sans brouteur jusqu'au ThalassocĂšne. Mais alors l'isthme de Suez disparu et vint alors de Mer rouge un autre sirĂ©nien, le Dugong qui se mis Ă  se rĂ©galer de ces herbes marines. Ont retrouve mĂȘme maintenant ces dugongs jusqu'au sud des Ăźles Britannique que les posidonies ont atteintes. D'autre animaux ont aussi suivit, la faune de la mer Rouge colonise la MĂ©diterranĂ©e, tel l'exemple du bĂ©nitier arrivĂ© Ă  Chypre. Les coraux connaissent un formidable expansion, jusque dans l'archipel de Borvo. Un autre sirĂ©nien est aussi prĂ©sent, le lamantin d'Afrique, il Ă©vite de rentrer en compĂ©tition avec son cousin le dugong en prĂ©fĂšrent leur laissant les herbiers de posidonies et se nourrissant plus volontiers des feuilles de palĂ©tuviers dans les mangroves ainsi que d'une alimentation non vĂ©gĂ©tale. Ils se partagent ainsi les niches Ă©cologiques et qu'ils en profitent car pour l'instant pas un seul galapagosaure en vue dans les espĂšces de MĂ©diterranĂ©e se dĂ©placent vers le nord en plus des posidonies. Par exemple les phoques moins sont maintenant prĂ©sent dans les Ăźles Britanniques d'oĂč ils dĂ©placent les phoques gris vers le mĂ©diterranĂ©enne au ThalassocĂšne, le retour de la LaurisylveAu MiocĂšne le climat de la MĂ©diterranĂ©e Ă©tait plus humide, permettant Ă  une vĂ©gĂ©tation de Laurisylve de s'Ă©panouir. Avec le retour d'un climat plus chaud et humide la vĂ©gĂ©tation de MĂ©diterranĂ©e ressemble de plus en plus Ă  ce qu’elle Ă©tait autrefois avec deux espĂšce en profitant, les deux seul espĂšces de palmiers europĂ©ens, le palmier nain Chamaerops humilis et le palmier de CrĂšte Phoenix theophrasti, le palmier nain Ă©voluant rapidement vers une taille plus importante, jusqu'Ă  8 mĂštres de haut. Des palĂ©tuviers sont aussi arrivĂ© de mer Rouge et ont commencer a former des gauche laurisylve, Ă  droite palmier de CrĂšteNotes[1] Sur la prĂ©sence de Macques de barbarie en mer du nord durant l'interglaciaire Éémien en anglaisFirst finds of Pleistocene Macaca sylvanus Cercopithecidae, Primates from the North SeaPrĂ©sentation des faunesFaune des BalĂ©aresJe ne reposte pas l'image de la faune des BalĂ©ares c'est la mĂȘme que celle plus haut, je met juste le lien vers la SanciusartCliquez sur le lien pour avoir la description des de Corse et de SardaigneCrĂ©dit SanciusartCliquez sur le lien pour avoir la description des de Sicile et de MalteCrĂ©dit SanciusartCliquez sur le lien pour avoir la description des de CrĂšteCrĂ©dit SanciusartCliquez sur le lien pour avoir la description des espĂšces.
LeLoup Arctique: un exemple d’adaptation du loup Ă  tous les milieux. Ce mammifĂšre carnivore de la famille des canidĂ©s, Canis lupus arctos, nommĂ© « Amoruk » en langue Inuits est une des sous-espĂšces multiples du loup qui a rĂ©ussi Ă  s’adapter Ă  des conditions souvent extrĂȘmes. En premier lieu, Ă  la surface ce son domaine de chasse oĂč on compte mille Ă©lans ou orignaux pour une 30 janvier 2010 6 30 /01 /janvier /2010 1953 Le Loup Arctique un exemple d’adaptation du loup Ă  tous les milieux. Ce mammifĂšre carnivore de la famille des canidĂ©s, Canis lupus arctos, nommĂ© Amoruk » en langue Inuits est une des sous-espĂšces multiples du loup qui a rĂ©ussi Ă  s’adapter Ă  des conditions souvent extrĂȘmes. En premier lieu, Ă  la surface ce son domaine de chasse oĂč on compte mille Ă©lans ou orignaux pour une dizaine de loups, en AmĂ©rique du Nord. Ce cervidĂ© vit en solitaire sur un territoire de 250 hectares, c’est dire si le territoire de chasse d’une meute de loup arctique est vaste. Il rĂ©gule aussi les populations de caribous, tout comme celle du bƓuf musquĂ© aux extrĂȘmes nord du continent amĂ©ricain. Amoruk est Ă©galement reprĂ©sentĂ© en SibĂ©rie par une autre sous-espĂšce canis lupus albus. Le loup arctique doit faire face Ă  des tempĂ©ratures exceptionnellement basses, dont les records voisinent les –45° Celsius. Une fourrure blanche trĂšs fournie, composĂ© de longs poils de jarre ou poils de garde de deux longueurs distinctes, l’un assurant l’orientation l’autre la protection contre le froid. L’ensemble recouvrant une bourre compacte et composĂ©e d’un duvet extrĂȘmement fin, assure une parfaite isolation thermique. Sa morphologie particuliĂšre, nez et oreille court ainsi que des pattes larges et rĂ©duites, diminue les pertes de chaleur des extrĂ©mitĂ©s. Sa robe de couleur blanche n’est pas la seule connue, certains canidĂ©s portent un pelage noir et sont repĂ©rables Ă  des kilomĂštres sur la neige. Il doit aussi survivre durant les longues nuits polaires, mois d’obscuritĂ© qui le conduise rĂ©guliĂšrement Ă  jeĂ»ner. Sous l’appellation loup arctique », on retrouve diffĂ©rentes espĂšces, relativement proches mais vivant sur des aires diffĂ©rentes, ainsi le loup du Groenland est dĂ©nommĂ© Canis lupus orion, le loup de Terre Victoria, Canis lupus bernardi, a Ă©tĂ© complĂštement Ă©radiquĂ© de cette rĂ©gion de l’Antarctique bordĂ©e par la mer de Ross et la terre de Wilkes, dĂ©couverte par Ross en janvier 1841. Le loup canadien, le loup de la toundra, Canis lupus lycaon n’est pas dĂ©nombrĂ© prĂ©cisĂ©ment mais les effectifs ne semblent pas menacĂ©s, bien que le loup soit encore chassĂ© dans ces contrĂ©es nordiques. Pire encore, la chasse par avion est Ă  nouveau pratiquĂ©e en Alaska, une seule journĂ©e de chasse suffit Ă  abattre jusqu’à 40 loups. Canis lupus albus est estimĂ© en SibĂ©rie Ă  100 000 individus. Ces diffĂ©rentes espĂšces varient de 60 Ă  75 centimĂštres au garrot pour un poids de 35 Ă  60 kilogrammes, suivant le sexe, le type et le milieu pratiquĂ©. Si il est vrai que son territoire de chasse est parfois de 10 fois supĂ©rieur, en surface, Ă  un celui d’un loup europĂ©en, il varie aussi plus souvent ses proies. Saumons, oiseaux migrateurs, lemmings sont rĂ©guliĂšrement Ă  son menu. En particulier durant le cour Ă©tĂ© arctique, Ă  la fin duquel le canidĂ© suit alors les migrations des troupeaux de caribous ou de bƓufs musquĂ©s. Ces derniers assurent le nourrissage d’une meute pendant plusieurs jours. La vie sociale du loup arctique n’est pas fondamentalement diffĂ©rente de celle des autres sous-espĂšces. Le loup arctique comme les loups gris europĂ©ens, vit en meute. La cellule d’origine est composĂ© d’un groupe familial, mĂąle, femelle, seconds, prĂ©tendants issus de premiĂšres naissances et des louveteaux nĂ©s durant l’annĂ©e en cours, dont peu survivent Ă  l’hiver polaire. Il se dĂ©place sur un vaste domaine en suivant, le plus souvent, les mĂȘmes pistes Ă  gibiers, les berges de lacs connus. Il prend bien soin de marquer son passage et dĂ©limite ainsi son territoire en dĂ©posant urines, crottes et sĂ©crĂ©tions . Les 29 sous-espĂšces du loup, 10 autres sous-espĂšces sont dors et dĂ©jĂ  Ă©teintes. Canis lupus arctos arctique Canis lupus pambasileus Alaska Canis lupus arabs Arabie Canis lupus ligoni archipel Alexandre Canis lupus occidentalis Alberta Canis lupus lycaon Canada ou loup de l'Est Canis lupus columbianus Colombie Canis lupus familiaris Chien domestique Canis lupus dingo Dingo Canis lupus nubilus Grandes Plaines Canis lupus orion Groenland Canis lupus hudsonicus Hudson Canis lupus pallipes Indes Canis lupus labradorius Labrador Canis lupus lupus Loup gris commun Canis lupus floridanus sous-espĂšce de loup rouge Canis lupus mackenzii Mackenzie Canis lupus baileyi Mexique Canis lupus chanco Mongolie Canis lupus fuscus Oregon Canis lupus griseoalbus prairies Canis lupus irremotus Rocheuses septentrionales Canis lupus rufus rouge Canis lupus albus SibĂ©rie Canis lupus campestris steppes Canis lupus manningi Terre de Baffin Canis lupus tundrarum Toundra Canis lupus crassodon Vancouvert Canis lupus filchneri Merci de votre visite, Ă  bientĂŽt Published by JLV - dans DĂ©couverte d'une espĂšce TĂ©lĂ©chargezces Photo premium sur Loup Arctique Canis Lupus Arctos Ă©galement Connu Sous Le Nom De Loup Blanc Ou Loup Polaire, et dĂ©couvrez plus de 17M de ressources graphiques professionnelles sur Freepik. #freepik #photo #chienloup #loupblanc #loupanimal
ExpĂ©ditions Arctique et Grand NordTerritoire l’Arctique est constituĂ© d’un ensemble de territoires appartenant aux continents amĂ©ricain et eurasien. Topographie composĂ© de plaines et de montagnes avec des paysages alpins. Faune au Nord, la faune est trĂšs variĂ©e ours polaires, phoques, morses, macareux
, mais prĂ©sente en relative petite quantitĂ©. Banquise celle de l’Arctique tend Ă  se rĂ©tracter avec le rĂ©chauffement climatique. PrĂ©sence humaine une poignĂ©e de communautĂ©s isolĂ©es habite au Groenland et dans l’arctique canadien. Saisons le Grand Nord se visite plutĂŽt entre juin et NordExtrĂȘme-Orient russeAlaskaTerre Francois-JosephCanada FigĂ© par la glace une grande partie de l’annĂ©e, le Grand Nord canadien reprĂ©sente une rĂ©gion isolĂ©e et lointaine oĂč rĂšgne un froid intense. RĂ©gion trĂšs sauvage Ă  la faune variĂ©e, et qui a pour seuls habitants quelques villages inuits. SituĂ© Ă  l’extrĂ©mitĂ© nord de l’AmĂ©rique du Nord, entre l’Alaska et le Groenland, l’archipel arctique canadien regroupe plus de 35’000 Ăźles, dont la plus grande est celle de Baffin. Inclus l’historique passage du nord-ouest » qui relie l’atlantique nord Ă  l’ocĂ©an Pacifique. Forte prĂ©sence d’ours polaires dans la rĂ©gion de la baie de Churchill. Se visite de mars Ă  novembre circuits terrestres inclus. 1Les principales Ăźles de la partie orientale sont montagneuses et majoritairement recouvertes de calottes glaciaires. Les Ăźles du centre et de l’ouest prĂ©sentent au contraire un relief peu Ă©levĂ©. Ainsi, cet archipel est composĂ© de paysages variĂ©s, allant des montagnes escarpĂ©es aux plaines, en passant par des vĂ©ritablement polaire, la nuit polaire dure 3-4 mois en hiver, tandis que le soleil de minuit dure pendant une pĂ©riode Ă©quivalente les mois opposĂ©s. La tempĂ©rature atteint rĂ©guliĂšrement le -20°C durant l’hiver et le printemps. En Ă©tĂ©, elle peut atteindre les 10 vu du climat, la vĂ©gĂ©tation se fait assez rare, notamment dans la partie septentrionale. Dans la partie plus mĂ©ridionale de l’archipel, on trouve une vĂ©gĂ©tation de type toundra composĂ©e principalement d’herbacĂ©s, de carex, de mousse et de mĂȘme que pour la flore, la faune est moins riche au nord que dans la partie sud. L’archipel abrite une vingtaine de mammifĂšres terrestres dont le caribou, le bƓuf musquĂ©, le renard arctique, le loup arctique ou encore le liĂšvre arctique. Les mers sont quant Ă  elles frĂ©quentĂ©es par les ourses polaires, les morses, les phoques, le narval ou le canadien est peuplĂ©e par les Inuits depuis plus de 4'000 ans, et plus particuliĂšrement sur les cĂŽtes. Cette rĂ©gion fait l’objet de nombreuses expĂ©ditions, notamment le passage du Nord-Ouest, rĂ©alisĂ© par Roald Amundsen au tout dĂ©but des annĂ©es 1900’. De nombreuses stations mĂ©tĂ©orologiques et centres de recherche gĂ©ologique sont installĂ©s depuis les annĂ©es 1950’.Les dĂ©partsPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti12 jcomplet17 j-15%dĂšsCHF17’ jdĂšsCHF23’ jdĂšsCHF16’ jdĂšsCHF17’ j-24%dĂšsCHF16’ j-24%dĂšsCHF16’ j-24%dĂšsCHF18’ principauxBaleine Ă  bosseOrqueOurs polaireNarvalBĂ©lugaBaleinesPhoquesIcebergAurore borĂ©aleFjordVillages traditionnelsPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garantiIntĂ©rĂȘts principauxOurs polaireNarvalIcebergGlacierSites historiquesPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garantiIntĂ©rĂȘts principauxOurs polaireBĂ©lugaLa cĂŽte de l’Alaska et du Canada ExpĂ©dition entre grands espaces, gigantesques glaciers, montagnes escarpĂ©es, toundras infinies et lacs scintillants, abritant grizzlis et animaux et CanadaPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti15 jdĂšsCHF12’ jdĂšsCHF10’ principauxBaleine Ă  bosseOrqueLoutre des mersOurs brunBaleinesPhoquesGlacierFjordPassage du Nord-Ouest Aventurez-vous bien au-dessus du cercle polaire arctiqueGroenland, Canada et AlaskaPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti25 jdĂšsCHF35’ j-19%dĂšsCHF8’ jdĂšsCHF15’ jdĂšsCHF59’ principauxBaleine Ă  bosseOrqueOurs polaireNarvalBĂ©lugaBaleinesPhoquesAurore borĂ©aleFjordVillages traditionnelsGroenland Le Groenland est immense avec ses 2 millions de kilomĂštres carrĂ©s, c’est la plus grande Ăźle au monde si l’on considĂšre l’Australie et l’Antarctique comme des continents et non des Ăźles. Recouvert Ă  prĂšs de 80% par une Ă©paisse calotte glaciĂšre, sa population de moins de 60 000 habitants se concentre sur les cĂŽtes et plus principalement sur la cĂŽte ouest oĂč la fonte des glaces laisse parfois place Ă  la toundra. En raison de l’absence d’un rĂ©seau routier, on se dĂ©place uniquement en avion, en bateau, en hĂ©licoptĂšre, en motoneige ou en traĂźneau Ă  chiens. Ile rĂ©putĂ©e pour ses paysages fantastiques, ses icebergs majestueux, ses aurores borĂ©ales, sa population de baleines. Partir Ă  la rencontre des communautĂ©s locales, c’est aider Ă  mieux comprendre un mode de vie ancestrale principalement axĂ© sur la pĂȘche et la chasse, tout en conservant un grand respect pour la nature. Se visite de fĂ©vrier Ă  septembre circuits terrestres inclus. 1Avec une population d’environ 56 000 habitants Ă©parpillĂ©s le long des cĂŽtes, principalement Ă  l’ouest et au sud, le Groenland reprĂ©sente le territoire le moins densĂ©ment peuplĂ© de la planĂšte. En dehors de la capitale oĂč on trouve un quart de la population, la plupart des habitants survivent, grĂące Ă  un fragile Ă©quilibre entre traditions et modernitĂ©, dans des communautĂ©s isolĂ©es de 50 Ă  500 personnes, aux maisons trĂšs entre la Canada et l’Islande, le Groenland fait gĂ©ographiquement partie de l'AmĂ©rique du Nord. Politiquement toutefois, ce territoire administrĂ© par le Danemark est beaucoup plus proche de l'Europe. Environ 80% du Groenland est recouvert d'une immense couche de glace islandis inhabitĂ©e. Vous pourrez admirer des falaises de glace, mais aussi des magnifiques fjords, glaciers, montagnes et paysages de toundra. L'ensemble du nord-est du Groenland est un vaste territoire vierge constituĂ© du plus grand parc national au Groenland est soumis Ă  un climat arctique sec et glacial. Il peut cependant y avoir une grande diffĂ©rence de tempĂ©rature selon si vous vous trouvez Ă  l'intĂ©rieur des terres, en mer, sur la cĂŽte ou dans la toundra. Les conditions peuvent changer soudainement. Mais une chose est sĂ»re ; il ne fait jamais chaud ! En Ă©tĂ©, la tempĂ©rature atteint une moyenne maximum de + 10 ° C entre juin et aoĂ»t. Mais le reste de l’annĂ©e, elle reste infĂ©rieure Ă  0°C. Le soleil ne se couche pas de mi-mai Ă  mi-juillet soleil de minuit.4La toundra et la glace du Groenland abritent principalement des ours polaires, des bƓufs musquĂ©s, des rennes, des renards arctiques et des liĂšvres de montagne. Le rivage et les eaux sont frĂ©quentĂ©s par cinq espĂšces diffĂ©rentes de phoques, de nombreux types de baleines et le morse. De nombreuses espĂšces d’oiseaux peuvent ĂȘtre observĂ©es, dont l'aigle Ă  queue blanche, le lagopĂšde, les fulmars et les peuples de l’Arctique seraient arrivĂ©s au Groenland il y a environ 4 Ă  5 000 ans mais ils n’auraient pas survĂ©cu Ă  notre Ăšre. Le Groenland Ă©tait inconnu des europĂ©ens avant le Xe siĂšcle oĂč il fut colonisĂ© par les Vikings menĂ©s par Erik le Rouge. Diverses colonies vikings ont survĂ©cu dans le sud pendant environ 400 ans avant de disparaitre Ă  leur tour. Les inuits d’aujourd’hui sont les descendants de ceux arrivĂ©s vers le XIIIe d’Alaska, qui ont su s’adapter Ă  un climat trĂšs dĂ©partsPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti12 jcomplet17 j-15%dĂšsCHF17’ jdĂšsCHF23’ jdĂšsCHF16’ jdĂšsCHF17’ j-24%dĂšsCHF16’ j-24%dĂšsCHF16’ j-24%dĂšsCHF18’ principauxBaleine Ă  bosseOrqueOurs polaireNarvalBĂ©lugaBaleinesPhoquesIcebergAurore borĂ©aleFjordVillages traditionnelsAventure au sud du Groenland A travers de multiples activitĂ©s Ă  choix, partez explorer la pointe sud du Groenland, entre fjords et par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti9 j-24%dĂšsCHF8’ j-24%dĂšsCHF8’ principauxBaleinesIcebergGlacierAurore borĂ©aleFjordVillages traditionnelsIslandisPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti12 jdĂšsCHF14’ jcomplet12 jdĂšsCHF14’ jdĂšsCHF5’ jdĂšsCHF8’ jdĂšsCHF15’ jdĂšsCHF11’ jdĂšsCHF5’ jdĂšsCHF5’ j-28%dĂšsCHF4’ jcomplet14 jdĂšsCHF14’ jcomplet11 jdĂšsCHF15’ jdĂšsCHF24’ jdĂšsCHF21’ jdĂšsCHF19’ j-5%dĂšsCHF9’ jdĂšsCHF5’ jdĂšsCHF5’ jdĂšsCHF8’ jdĂšsCHF5’ j-24%dĂšsCHF10’ jcomplet9 jdĂšsCHF5’ jdĂšsCHF4’ j-24%dĂšsCHF10’ jcompletIntĂ©rĂȘts principauxBaleine Ă  bosseOurs polaireBĂ©lugaBaleinesIcebergAurore borĂ©aleVillages traditionnelsPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti14 j-16%dĂšsCHF8’ j-4%dĂšsCHF7’ j-4%dĂšsCHF7’ j-3%dĂšsCHF10’ j-3%dĂšsCHF10’ j-3%dĂšsCHF10’ j-4%dĂšsCHF8’ j-4%dĂšsCHF8’ j-4%dĂšsCHF8’ principauxBaleine Ă  bosseOurs polaireBĂ©lugaBaleinesIcebergAurore borĂ©aleVillages traditionnelsIslandisPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti15 j-24%dĂšsCHF11’ j-2%dĂšsCHF19’ jdĂšsCHF17’ principauxBaleine Ă  bosseOrqueBaleinesIcebergAurore borĂ©aleFjordVillages traditionnelsIslandisDu Spitzberg au Groenland Longez la partie occidentale du Spitzberg puis la cĂŽte orientale et sauvage du GroenlandSvalbard, Groenland, IslandePrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti14 jdĂšsCHF9’ jdĂšsCHF12’ jdĂšsCHF8’ jdĂšsCHF8’ jcomplet15 jdĂšsCHF14’ jdĂšsCHF14’ j-28%dĂšsCHF11’ jdĂšsCHF6’ jcomplet14 jdĂšsCHF9’ j-5%dĂšsCHF13’ j-28%dĂšsCHF10’ jdĂšsCHF9’ jdĂšsCHF8’ jdĂšsCHF8’ jdĂšsCHF5’ jdĂšsCHF9’ j-19%dĂšsCHF11’ principauxBaleine Ă  bosseOurs polaireMorseBĂ©lugaBaleinesIcebergBanquiseAurore borĂ©aleFjordVillages traditionnelsPassage du Nord-Ouest Aventurez-vous bien au-dessus du cercle polaire arctiqueGroenland, Canada et AlaskaPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti25 jdĂšsCHF35’ j-19%dĂšsCHF8’ jdĂšsCHF15’ jdĂšsCHF59’ principauxBaleine Ă  bosseOrqueOurs polaireNarvalBĂ©lugaBaleinesPhoquesAurore borĂ©aleFjordVillages traditionnelsSvalbard A mi-chemin entre la NorvĂšge et le pĂŽle Nord, il est l’un des endroits habitĂ©s les plus septentrionaux du monde. Le Spitzberg est le nom de la plus grande Ăźle de l’archipel du Svalbard, territoire administrĂ© par la NorvĂšge Sur sa cĂŽte occidentale, le climat y est relativement doux comparĂ© Ă  d’autres rĂ©gions situĂ©es Ă  la mĂȘme latitude, ce qui rend l’archipel navigable presque toute l’annĂ©e. Toutefois, prĂšs de 60% de l’archipel du Svalbard demeure recouvert de glace en permanence Parmi les 3’000 habitants de l’archipel, prĂšs de 2’000 habitent Ă  Longyearbyen, la capitale. Abrite une des plus grandes populations d’ours polaires Ă  l’état sauvage au monde. Grande variĂ©tĂ© d’oiseaux et de faune polaire Terre de montagnes, de glaciers spectaculaires et de fjords Se visite de mars Ă  aoĂ»t. 1SituĂ© au-delĂ  du cercle polaire, Ă  peu prĂšs Ă  mi-chemin entre la NorvĂšge et le pĂŽle Nord, et couvrant une superficie d'environ 1,5 fois la Suisse, l'archipel du Svalbard est constituĂ© d'une sĂ©rie d'Ăźles dont les principales sont le Spitzberg, Nordaustlandet, Edgeoya, Barentsoya et sa cĂŽte occidentale, le Svalbard jouit d’un climat tempĂ©rĂ© en raison de l’influence modĂ©ratrice du Gulf Stream. Le vent polaire en provenance de la SibĂ©rie amĂšne en revanche un climat plus rigoureux au nord et dans la partie orientale de l’archipel. C’est Ă  cet endroit que la banquise est la plus belle. Les tempĂ©ratures varient en moyenne entre -20°C l’hiver et +10°C l’étĂ© Le soleil de minuit soit le jour permanent dure 4 mois entre la fin avril et la fin aoĂ»t, et la nuit polaire durant les 4 mois opposĂ©s, pendant lesquels il est possible d’apercevoir les aurores borĂ©ales3Le Svalbard est l’une des rĂ©gions arctiques prĂ©sentant la faune la plus abondante, avec plus de 3’000 ours polaires, des rennes, des renards arctiques, mais aussi des mammifĂšres marins tels que baleines, phoques, morses. On peut Ă©galement y observer de nombreuses espĂšces d’oiseaux comme la sterne arctique, le mergule nain, le guillemot de BrĂŒnnich, le macareux moine, le goĂ©land ou encore la mouette blanche. L’observation, notamment le long des falaises impressionnantes d'Alkefjellet est paysage du Svalbard est marquĂ© par le contraste saisissant qui existe entre les diffĂ©rentes zones de l’archipel. La cĂŽte ouest du Spitzberg, compte de nombreux fjords spectaculaires et des montagnes anguleuses aux vallĂ©es couvertes par des glaciers, tandis que d'autres parties du Svalbard ont tendance Ă  ĂȘtre couvertes par de vastes plateaux polaires. L’archipel est couvert Ă  60% par la glace et Ă  30% par des montagnes. Un remarquable tapis de fleurs fait son apparition sur la toundra, durant la trĂšs brĂšve saison estivale. Les arbres sont totalement absents de Svalbard. PrĂšs des deux tiers du Svalbard sont protĂ©gĂ©s et se composent de plusieurs rĂ©serves naturelles, parcs nationaux et sanctuaires d' la dĂ©couverte du Svalbard est revendiquĂ©e par l’Islande, c’est officiellement le navigateur hollandais William Barrent qui a dĂ©couvert l’archipel en 1596, alors qu’il cherchait le Passage du Nord-Est. Mais c’est seulement en 1920 que l’archipel devient Svalbard a d’abord servi comme base pour la pĂȘche Ă  la baleine, pour la chasse des animaux Ă  fourrure, puis comme base pour l’exploration de l’Arctique, avant d’ĂȘtre exploitĂ©e pour ses mines de charbon par divers dĂ©partsPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garantiIntĂ©rĂȘts principauxOurs polaireMorseBaleinesPhoquesBanquiseFjordSites historiquesDu Spitzberg au Groenland Longez la partie occidentale du Spitzberg puis la cĂŽte orientale et sauvage du GroenlandSvalbard, Groenland, IslandePrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti14 jdĂšsCHF9’ jdĂšsCHF12’ jdĂšsCHF8’ jdĂšsCHF8’ jcomplet15 jdĂšsCHF14’ jdĂšsCHF14’ j-28%dĂšsCHF11’ jdĂšsCHF6’ jcomplet14 jdĂšsCHF9’ j-5%dĂšsCHF13’ j-28%dĂšsCHF10’ jdĂšsCHF9’ jdĂšsCHF8’ jdĂšsCHF8’ jdĂšsCHF5’ jdĂšsCHF9’ j-19%dĂšsCHF11’ principauxBaleine Ă  bosseOurs polaireMorseBĂ©lugaBaleinesIcebergBanquiseAurore borĂ©aleFjordVillages traditionnelsPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti10 jdĂšsCHF10’ jdĂšsCHF6’ jdĂšsCHF8’ jdĂšsCHF10’ jdĂšsCHF6’ jdĂšsCHF8’ jdĂšsCHF3’ j-23%dĂšsCHF8’ jcomplet9 jdĂšsCHF6’ j-19%dĂšsCHF12’ jcomplet8 jdĂšsCHF3’ jdĂšsCHF7’ jdĂšsCHF6’ j-24%dĂšsCHF6’ jdĂšsCHF9’ jcomplet8 jdĂšsCHF7’ j-14%dĂšsCHF9’ jdĂšsCHF4’ jdĂšsCHF5’ jdĂšsCHF7’ jdĂšsCHF5’ jdĂšsCHF4’ jdĂšsCHF3’ jdĂšsCHF3’ jdĂšsCHF7’ jdĂšsCHF7’ jdĂšsCHF5’ jdĂšsCHF5’ jdĂšsCHF4’ jdĂšsCHF8’ jdĂšsCHF2’ jdĂšsCHF9’ jdĂšsCHF5’ jdĂšsCHF10’ jdĂšsCHF7’ j-24%dĂšsCHF6’ jdĂšsCHF5’ jdĂšsCHF5’ jdĂšsCHF8’ j-15%dĂšsCHF6’ jdĂšsCHF5’ j-24%dĂšsCHF7’ jdĂšsCHF9’ jdĂšsCHF4’ jdĂšsCHF5’ jdĂšsCHF9’ jdĂšsCHF8’ jdĂšsCHF5’ jdĂšsCHF5’ jdĂšsCHF5’ jdĂšsCHF7’ jcomplet11 jcomplet8 jdĂšsCHF5’ j-25%dĂšsCHF4’ jdĂšsCHF8’ jcomplet10 jdĂšsCHF6’ jdĂšsCHF11’ jdĂšsCHF7’ jdĂšsCHF5’ jdĂšsCHF8’ principauxOurs polaireMorseBĂ©lugaBaleinesBanquiseFjordSki au Spitzberg Embarquez Ă  bord d’un voilier de charme pour dĂ©valer les pentes du Spitzberg Ă  ski de randonnĂ©eSvalbardPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti8 jdĂšsCHF3’ jdĂšsCHF3’ principauxOurs polaireMorseBĂ©lugaBaleinesBanquiseGlacierFjordPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti10 jcomplet11 jcomplet8 jdĂšsCHF5’ jdĂšsCHF12’ j-23%dĂšsCHF9’ j-23%dĂšsCHF7’ j-14%dĂšsCHF11’ j-24%dĂšsCHF7’ jdĂšsCHF11’ jdĂšsCHF6’ jdĂšsCHF10’ jdĂšsCHF9’ jdĂšsCHF7’ jdĂšsCHF7’ jdĂšsCHF7’ jdĂšsCHF6’ j-5%dĂšsCHF11’ j-19%dĂšsCHF12’ jdĂšsCHF9’ jdĂšsCHF7’ jdĂšsCHF6’ jdĂšsCHF7’ jdĂšsCHF6’ jdĂšsCHF11’ jcomplet11 jdĂšsCHF9’ jdĂšsCHF7’ jdĂšsCHF6’ jdĂšsCHF6’ jdĂšsCHF11’ jdĂšsCHF10’ jdĂšsCHF7’ jdĂšsCHF6’ jcomplet11 jdĂšsCHF9’ jdĂšsCHF11’ jdĂšsCHF7’ jdĂšsCHF10’ jdĂšsCHF6’ jdĂšsCHF6’ jdĂšsCHF9’ jdĂšsCHF11’ jdĂšsCHF10’ jdĂšsCHF9’ jdĂšsCHF11’ jdĂšsCHF10’ jdĂšsCHF11’ principauxOurs polaireMorseBaleinesPhoquesBanquiseFjordSites historiquesPĂŽle Nord SituĂ© Ă  plus de 700km de la premiĂšre terre, au milieu de l’ocĂ©an arctique, le pĂŽle nord est accessible uniquement par bateau brise-glace ou par hĂ©licoptĂšre. Être sur le toit du monde, c’est ĂȘtre Ă  toutes les heures du monde Ă  la fois. Environ 1 000 personnes par an seulement atteignent ce point Ă  partir duquel toutes les directions sont australes. Grandes chances de pouvoir observer des ours polaires, des phoques, des morses, des baleines et de nombreux oiseaux en cours de route. ExpĂ©dition mythique, voyage d’une vie. OpportunitĂ© de visiter en route le trĂšs sauvage archipel François-Joseph. Se visite en avril, juin et juillet. 1Bien qu’inaccessible la majeure partie de l’annĂ©e, il est possible de se rendre au pĂŽle Nord en juin et juillet lorsque la glace est plus mince ou en avril si l’on se dĂ©place en hĂ©licoptĂšre. Toutes les croisiĂšres au pĂŽle Nord commencent et se terminent au port de Mourmansk, dans le nord-ouest de la Russie, et passent par le merveilleux mais trĂšs rarement visitĂ© archipel la glace pour atteindre le 90° degrĂ©s nord, oĂč vous pourrez dĂ©barquer et contempler une mosaĂŻque de plaques de glace. Il s’agit d’un moment extrĂȘmement fort en Ă©motion, oĂč la notion de temps n’a plus sa place il vous suffit en effet de faire un tour sur vous-mĂȘme pour parcourir tous les fuseaux horaires du premiĂšre exploration daterait du tout dĂ©but de XXe siĂšcle, mais celle-ci est aujourd’hui contestĂ©e. La premiĂšre confirmĂ©e date de 1926, par son survol en ballon tempĂ©rature du pĂŽle Nord est toujours infĂ©rieure Ă  0°C, garantissant en permanence une banquise Ă©paisse de 2 Ă  4 dĂ©partsPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti16 jdĂšsCHF37’ jdĂšsCHF55’ jcomplet16 jdĂšsCHF46’ jdĂšsCHF33’ principauxOurs polaireMorseBaleinesPhoquesBanquiseSites historiquesExtrĂȘme-Orient russe© Heritage Expeditions – ACharles L’ExtrĂȘme-Orient russe est unique par sa culture, son climat, son histoire, sa faune; c’est un monde loin de la Russie que vous avez peut-ĂȘtre explorĂ©e. RĂ©gion trĂšs peu visitĂ©e et prĂ©servĂ©e, oĂč les voyages en petit bateau offrent le seul moyen d’accĂ©der aux cĂŽtes rocheuses, aux Ăźles isolĂ©es et aux sites de reproduction de la faune. Paysages composĂ©s de fjords, de montagne, de volcans et de toundra. Faune variĂ©e et incroyablement riche avec des ours blancs et bruns, baleines, orques, phoques, morses ainsi que de nombreuses espĂšces d’oiseaux. L’üle Wrangel est rĂ©putĂ©e pour sa concentration d’ours polaires et les chances inĂ©galĂ©es de les apercevoir en nombre important. Accueil chaleureux de groupes autochtones, dont les Tchouktches, qui partagent avec plaisir leurs traditions et leur culture. Se visite de juin Ă  aoĂ»t. 1Partie la plus orientale de la Russie, cette rĂ©gion d’étend de la Tchoukotka au-dessus du dĂ©troit de BĂ©ring, jusqu’au Nord du Japon avec les Ăźles Kouriles, en passant par la pĂ©ninsule du Kamtchatka. Elle fait ainsi face Ă  l’Alaska, situĂ©e de l’autre cĂŽtĂ© du dĂ©troit. Cette terre lointaine, difficile d’accĂšs depuis l’Europe, aux paysages volcaniques, reste encore trĂšs la rĂ©gion du dĂ©troit de BĂ©ring, les navires doivent ĂȘtre avant tout performants, afin d’assurer un passage au travers de la banquise. De petits navires d’une capacitĂ© infĂ©rieure Ă  100 passagers opĂšrent dans les eaux autour du Kamtchatka jusqu’à l’ile de Wrangel. Au-delĂ  de cette destination, un brise-glace est requis pour assurer le passage. Les croisiĂšres dans cette rĂ©gion sont peu nombreuses et les itinĂ©raires peuvent changer d’une annĂ©e Ă  l’ dĂ©partsCĂŽte du Kamtchatka Longer la cĂŽte du Kamtchatka Ă  la dĂ©couverte des ours bruns, d’oiseaux et d’animaux marins, dans un paysage de volcans et de russePrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garantiIntĂ©rĂȘts principauxOrqueBĂ©lugaLoutre des mersOurs brunBaleinesGlacierFjordToundraSites historiquesVillages traditionnelsPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garantiIntĂ©rĂȘts principauxBaleine Ă  bosseOrqueLoutre des mersOurs brunBaleinesFjordToundraSites historiquesVillages traditionnelsLe passage du Nord-Est, du Kamtchatka Ă  Murmansk Le mystĂ©rieux passage du Nord-Est a captivĂ© les aventuriers depuis des siĂšcles. Ses eaux contrĂŽlĂ©es par la Russie sont imprĂ©gnĂ©es d’histoire et de mystĂšre, tandis qu’une faune abondante se trouve le long de ses rives russePrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti25 jdĂšsCHF24’ principauxBaleine Ă  bosseOurs polaireMorseNarvalBĂ©lugaBaleinesPhoquesBanquiseFjordVillages traditionnelsPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garantiIntĂ©rĂȘts principauxBaleine Ă  bosseOrqueLoutre des mersOurs brunBaleinesPhoquesGlacierFjordMer d’Okhtosk Ce voyage unique parcourt une rĂ©gion peu connue et rarement visitĂ©e, abritant notamment des otaries, des phoques et beaucoup d’ russePrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garantiIntĂ©rĂȘts principauxOurs brunBaleinesPhoquesSites historiquesTchoukotka et Ăźle Wrangel Cette expĂ©dition vous fera dĂ©couvrir des lieux magiques et prĂ©servĂ©s, notamment les Ăźles Herald et Wrangel, territoire de l’ours russePrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti13 jdĂšsCHF8’ principauxBaleine Ă  bosseOurs polaireMorseBaleinesToundraSites historiquesVillages traditionnelsAlaska État amĂ©ricain situĂ© entre le Canada et l’ExtrĂȘme Orient russe, dont il est sĂ©parĂ© par le dĂ©troit de BĂ©ring Ă  parfois moins de 100km. Terre lointaine encore vierge et sauvage, pour le plaisir des amateurs de nature sauvage. Nombreux parcs nationaux et marins, permettant d’observer Ă©lans, caribous, grizzlis, baleines, loutres ou marsouins. Glaciers spectaculaires. Paysages variĂ©s composĂ©s de montagnes, lacs, forĂȘts, et toundra. Se visite de mars Ă  septembre. 1Vaste pĂ©ninsule d’environ 3 fois la France situĂ©e Ă  l'extrĂ©mitĂ© nord-ouest du continent nord-amĂ©ricain, elle est bordĂ©e d’eau sur trois cĂŽtĂ©s au nord, la mer de Beaufort et l'ocĂ©an Arctique ; Ă  l'ouest, la mer des Tchouktches et la mer de BĂ©ring ; au sud, le golfe d'Alaska et l'ocĂ©an Pacifique. A l’est, se situe la partie arctique du Canada. Le dĂ©troit de BĂ©ring sĂ©pare d’à peine plus de 80km l’Alaska du continent asiatique. L’Alaska comprend de trĂšs nombreuses Ăźles, en particulier au sud et Ă  l’ouest avec les Ăźles AlĂ©outiennes qui s’étendent sur plusieurs centaines de kilomĂštres en direction du de montagnes et de glaciers tabulaires, l’Alaska est fortement soumis aux mouvements tectoniques formant volcans et sĂ©ismes. Au nord de l’Alaska, la chaĂźne de Brooks, massive et peu Ă©levĂ©e, s’étend de la frontiĂšre canadienne Ă  la mer des Tchouktches. Au-delĂ  du versant nord aboutie une vaste plaine jusqu’au rivage arctique. Si le littoral de l’Alaska est donc composĂ© plutĂŽt de plages au nord, il est en revanche dĂ©coupĂ© et accidentĂ© au sud avec des chaĂźnes montagneuses plongeant directement dans l’ocĂ©an, formant des fjords que l’Alaska soit situĂ© Ă  la mĂȘme latitude que la Scandinavie, la nature est plus hostile que dans le Nord de l’Europe, Ă  l’exception de la cĂŽte du Pacifique. Le littoral de l’ocĂ©an Arctique et de la mer de BĂ©ring possĂšde un climat polaire, froid et aride avec un sol gelĂ© sur plusieurs centaines de mĂštres, alors que la partie plus mĂ©ridionale se caractĂ©rise par un climat frais et accueille un trĂšs grand nombre d’espĂšces d’animaux diffĂ©rents, dont les plus emblĂ©matiques sont le grizzly, l’ours kodiak, le caribou, l’élan, le loup et le mouflon de Dall. De nombreux autres mammifĂšres se sont Ă©galement adaptĂ©s aux conditions rudes de l’Alaska renard roux, castor, bƓuf musquĂ©, liĂšvre arctique ou loutre. Dans la zone arctique, la banquise accueille quant Ă  elle des phoques, des morses et des ours blancs. Lorsque les eaux arctiques ne sont pas glacĂ©es, il est aussi possible de voir des accueille une faune trĂšs diversifiĂ©e, dont les plus emblĂ©matiques sont le grizzly, l’ours kodiak, le caribou, l’élan, le loup et le mouflon de Dall. De nombreux autres mammifĂšres se sont Ă©galement adaptĂ©s aux conditions rudes de l’Alaska renard roux, castor, bƓuf musquĂ©, liĂšvre arctique ou loutre. Dans la zone arctique, la banquise accueille quant Ă  elle des phoques, des morses et des ours blancs. Lorsque les eaux arctiques ne sont pas glacĂ©es, il est aussi possible de voir des un climat froid, la vĂ©gĂ©tation est plutĂŽt variĂ©e, entre toundra au Nord, forĂȘt tempĂ©rĂ©e au sud et forĂȘt borĂ©ale et taĂŻga Ă  l’intĂ©rieur des dĂ©partsLa cĂŽte de l’Alaska et du Canada ExpĂ©dition entre grands espaces, gigantesques glaciers, montagnes escarpĂ©es, toundras infinies et lacs scintillants, abritant grizzlis et animaux et CanadaPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti15 jdĂšsCHF12’ jdĂšsCHF10’ principauxBaleine Ă  bosseOrqueLoutre des mersOurs brunBaleinesPhoquesGlacierFjordPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garantiIntĂ©rĂȘts principauxBaleine Ă  bosseOrqueLoutre des mersOurs brunBaleinesPhoquesGlacierFjordPassage du Nord-Ouest Aventurez-vous bien au-dessus du cercle polaire arctiqueGroenland, Canada et AlaskaPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti25 jdĂšsCHF35’ j-19%dĂšsCHF8’ jdĂšsCHF15’ jdĂšsCHF59’ principauxBaleine Ă  bosseOrqueOurs polaireNarvalBĂ©lugaBaleinesPhoquesAurore borĂ©aleFjordVillages traditionnelsTerre Francois-Joseph Vaste archipel de 192 Ăźles situĂ© au nord de la Russie et Ă  l’est du Spitzberg, dĂ©couvert qu’à la fin du XIXe siĂšcle. PeuplĂ© principalement d’ours polaires, de morses et d’oiseaux de mer, il est l’un des endroits les moins visitĂ©s de l’Arctique. Une des terres les plus reculĂ©es. Paysages et glaciers spectaculaires. Se visite uniquement entre juillet et aoĂ»t. 1Vous avez la possibilitĂ© de faire, soit une croisiĂšre se rendant spĂ©cialement dans l’archipel, soit de vous y arrĂȘter lors d’une croisiĂšre Ă  destination du pĂŽle bord d’un zodiac, partez explorer la banquise, les falaises abritant de nombreuses espĂšces d’oiseaux et la toundra, en marchant sur les pas de cĂ©lĂšbres explorateurs, dans diffĂ©rents sites historiques bien faune arctique morses, baleines, ours polaires peut ĂȘtre observĂ©e n’importe oĂč, n’importe quand. Les falaises qui bordent les diffĂ©rentes Ăźles sont aussi le refuge de colonies d’oiseaux marins. Les 24 heures de lumiĂšre seront idĂ©ales pour profiter de toutes les opportunitĂ©s d’observation dĂ©partsPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garantiIntĂ©rĂȘts principauxOurs polaireMorseBaleinesPhoquesBanquiseFjordSites historiquesPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti19 jdĂšsCHF26’ principauxOurs polaireMorseBĂ©lugaBaleinesBanquiseSites historiquesPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti16 jdĂšsCHF37’ jdĂšsCHF55’ jcomplet16 jdĂšsCHF46’ jdĂšsCHF33’ principauxOurs polaireMorseBaleinesPhoquesBanquiseSites historiquesContactez nos experts !Skip back to main navigationEXPLICATIONS SUR LE PRIX Prix par personne en cabine double la moins chĂšre encore disponible Ă  confirmer lors de la rĂ©servation ; catĂ©gories doubles supĂ©rieures possible. Pension complĂšte durant toute la croisiĂšre. Certaines activitĂ©s peuvent ĂȘtre proposĂ©es contre supplĂ©ment kayak, plongĂ©e
. Les vols ne sont pas inclus dans le prix, sauf si AVANTAGES CroisiĂšres au prix opĂ©rateur garanti, promotions incluses. Expertise pointue. Agence indĂ©pendante et conseillers neutres. PossibilitĂ© d’organiser des arrangements avant/aprĂšs la croisiĂšre vols, visas, visites
.Nous utilisons des cookies sur notre site pour vous donner une meilleure expĂ©rience de navigation. En cliquant sur "Accepter", vous autorisez l'utilisation de tous les cookies.
NE9M.
  • ard50eruvd.pages.dev/454
  • ard50eruvd.pages.dev/331
  • ard50eruvd.pages.dev/144
  • ard50eruvd.pages.dev/402
  • ard50eruvd.pages.dev/337
  • ard50eruvd.pages.dev/166
  • ard50eruvd.pages.dev/585
  • ard50eruvd.pages.dev/359
  • archipel arctique connu pour son loup blanc