LesmĂąles mesurent entre 7 et 9 m de long (le spĂ©cimen le plus grand jamais vu mesurait 9,74 m) et pĂšsent entre 5 et 8,5 tonnes (le plus lourd spĂ©cimen pesait 11 tonnes) ; les femelles sont plus petites, mesurant entre 6 et 7 mĂštres pour une masse situĂ©e entre 3 et 4 tonnes (le maximum connu pour une femelle est de 7,5 tonnes). Ă la naissance, le nouveau-nĂ© pĂšse environ 150 Ă
La liste des espĂšces menacĂ©es au Canada est longue. En 2013, elle sâĂ©tablit Ă 456 espĂšces. De ce nombre, plus de 40 pour cent sont considĂ©rĂ©es comme en voie dâextinction. Quoiquâon les trouve dans lâensemble des provinces et des territoires canadiens, câest dans lâArctique quâil est possible de saisir les raisons de leur dĂ©clin, parmi lesquelles on peut mentionner le changement climatique et la destruction de leurs habitats. Ainsi, les scientifiques ont constatĂ© que les tempĂ©ratures Ă proximitĂ© du PĂŽle Nord augmentent deux fois plus vite que partout ailleurs sur la planĂšte, ce qui a pour consĂ©quence la fonte de la glace de mer, une composante essentielle des Ă©cosystĂšmes de lâArctique. Pendant ce temps, les communautĂ©s inuites observent dâimportants changements dans les trajectoires de migration des animaux et une baisse importante de leur population des Ă©lĂ©ments qui affectent directement la pratique de la chasse traditionnelle chez ces communautĂ©s. Cette exposition vous propose de dĂ©couvrir six espĂšces animales qui vivent avec difficultĂ©s les transformations environnementales que connaĂźt actuellement lâArctique canadien. Il sâagit de lâours polaire, le caribou, le narval, la baleine borĂ©ale, le beluga ou baleine blanche et le morse. En plus dây trouver des extraits de lâEncyclopĂ©die canadienne qui vous fourniront des informations relatives aux dĂ©fis que rencontre chacune de ces espĂšces, lâexposition prĂ©sente des clichĂ©s du photographe de rĂ©putation internationale Paul Nicklen. Enfin, la contribution du journaliste Ashleigh Gaul de Yellowknife, sur la chasse au morse au Nunavut, met en Ă©vidence les liens Ă©troits entre la destruction des habitats fauniques et la menace qui pĂšse sur la survie de la culture inuite. La liste des espĂšces menacĂ©es au Canada est longue. En 2013, elle sâĂ©tablit Ă 456 espĂšces. De ce nombre, plus de 40 pour cent sont considĂ©rĂ©es comme en voie dâextinction. Quoiquâon les trouve dans lâensemble des provinces et des territoires canadiens, câest dans lâArctique quâil est possible de saisir les raisons de leur dĂ©clin, parmi lesquelles on peut mentionner le changement climatique et la destruction de leurs habitats. Ainsi, les scientifiques ont constatĂ© que les tempĂ©ratures Ă proximitĂ© du PĂŽle Nord augmentent deux fois plus vite que partout ailleurs sur la planĂšte, ce qui a pour consĂ©quence la fonte de la glace de mer, une composante essentielle des Ă©cosystĂšmes de lâArctique. Pendant ce temps, les communautĂ©s inuites observent dâimportants changements dans les trajectoires de migration des animaux et une baisse importante de leur population des Ă©lĂ©ments qui affectent directement la pratique de la chasse traditionnelle chez ces communautĂ©s. Cette exposition vous propose de dĂ©couvrir six espĂšces animales qui vivent avec difficultĂ©s les transformations environnementales que connaĂźt actuellement lâArctique canadien. Il sâagit de lâours polaire, le caribou, le narval, la baleine borĂ©ale, le beluga ou baleine blanche et le morse. En plus dây trouver des extraits de lâEncyclopĂ©die canadienne qui vous fourniront des informations relatives aux dĂ©fis que rencontre chacune de ces espĂšces, lâexposition prĂ©sente des clichĂ©s du photographe de rĂ©putation internationale Paul Nicklen. Enfin, la contribution du journaliste Ashleigh Gaul de Yellowknife, sur la chasse au morse au Nunavut, met en Ă©vidence les liens Ă©troits entre la destruction des habitats fauniques et la menace qui pĂšse sur la survie de la culture inuite. Narval Au Canada, la distribution du narval est centrĂ©e sur le dĂ©troit de Davis, la baie de Baffin, le dĂ©troit de Lancaster et les bras de mer et les fjords de lâarchipel Arctique. Elle comprend Ă©galement le dĂ©troit dâHudson, la baie Repulse et le Nord de la baie dâHudson. LâĂ©volution rapide de lâĂ©tat de la glace marine dans lâArctique est considĂ©rĂ©e comme une menace potentiellement sĂ©rieuse pour le narvale. Ces changements pourraient entraĂźner des piĂ©geages plus frĂ©quents de lâanimal sous la glace, et donc une mortalitĂ© plus importante due Ă la famine, la noyade ou la prĂ©dation. La rĂ©duction des glaces marines est Ă©galement associĂ©e Ă une intensification des activitĂ©s humaines dans lâArctique, les zones impossibles Ă naviguer jusquâalors devant plus accessibles. Lâhabitat du narval pourrait donc subir des menaces grandissantes dues aux activitĂ©s liĂ©es Ă lâexploration pĂ©troliĂšre, Ă la pĂȘche commerciale et au transport maritime. Baleine borĂ©ale Lâaire de rĂ©partition canadienne comprend les rĂ©gions arctiques de lâest et de lâouest qui abritent deux populations distinctes. La chasse commerciale de la baleine a commencĂ©e dans lâEst du Canada dans les annĂ©es 1500, puis dans la rĂ©gion Beaufort-Chukchi-Beaufort en 1848. Les deux opĂ©rations commerciales sont terminĂ©es Ă la fois vers 1915. Les deux populations ont Ă©tĂ© durement touchĂ©es par cette chasse. Le nombre de baleines borĂ©ales a augmentĂ© depuis 1931, lorsque leur chasse commerciale fut interdite. Aujourdâhui, la baleine borĂ©ale peut ĂȘtre affectĂ©e par toute une gamme dâactivitĂ©s humaines, notamment le bruit provenant des bateaux et des activitĂ©s dâexploration et de production du pĂ©trole ainsi que par les collisions avec les navires et les prises accidentelles dans les files de pĂȘche qui peuvent les blesser ou les tuer. La rĂ©duction de la glace de mer dans lâArctique provoquĂ©e par les changements climatiques pourrait entraĂźner un regain dâactivitĂ©s humaines et permettre aux Ă©paulards dâaccĂ©der plus facilement Ă lâhabitat frĂ©quentĂ© par les baleines borĂ©ales et ainsi intensifier ainsi la prĂ©dation. BĂ©luga Les bĂ©lugas sont trĂšs rĂ©pandus dans lâArctique et la rĂ©gion subarctique. Les contaminants prĂ©sents dans lâeau sont une menace plus prĂ©occupante pour les bĂ©lugas du Saint-Laurent que pour ceux de lâArctique. De fortes concentrations de BPC produits chimiques fabriquĂ©s par lâhomme et utilisĂ©s dans lâindustrie ont en effet Ă©tĂ© dĂ©tectĂ©es dans les tissus de la population du Saint-Laurent. Les bĂ©lugas doivent Ă©galement ĂȘtre affectĂ©s par le changement de climat, bien que la nature et lâamplitude de ses effets demeurent incertaines et varieront probablement dâune population Ă lâautre. Mis Ă part les effets Ă©cologiques, la rĂ©duction de la glace de mer entraĂźnera des modifications importantes au niveau des activitĂ©s humaines telles que celles liĂ©es Ă lâexploration et Ă lâexploitation en mer du pĂ©trole et du gaz naturel ainsi quâaux dĂ©veloppements hydroĂ©lectriques et Ă la pĂȘche commerciale. Ces activitĂ©s peuvent en retour avoir des impacts importants sur les bĂ©lugas et leur habitat. Ours polaire L'ours polaire est le plus gros des huit espĂšces d'ours. On estime que la population mondiale dâours polaires se situe entre 20 000 et 25 000 animaux, dont 64 Ă 80 pour cent se trouvent au Canada. Dans ce pays, les ours polaires frĂ©quentent le Yukon, les Territoires du Nord-Ouest et le Nunavut, ainsi que les rĂ©gions septentrionales du Manitoba, de lâOntario, du QuĂ©bec et de Terre-Neuve et Labrador. Une espĂšce hautement spĂ©cialisĂ©e, lâours polaire dĂ©pend des glaces marines et est donc particuliĂšrement vulnĂ©rable aux modifications de son environnement. On sait dĂ©jĂ que des modifications des glaces marines ont causĂ© une baisse du nombre et de la productivitĂ© de quelques populations d'ours polaires. La perte des habitats causĂ©e par la disparition des glaces de mer est la principale prĂ©occupation des spĂ©cialistes de la prĂ©servation. Parmi les autres menaces potentielles, on note l'exploitation pĂ©troliĂšre comme le site de la Mer de Beaufort, la prospection, le dĂ©glaçage et le transport de marchandises. Caribou Au Canada, les caribous sont gĂ©nĂ©ralement classĂ©s suivant trois types le caribou de Peary, le caribou de la toundra et le caribou des bois. Les pertes dâhabitat et le rĂ©chauffement climatique constituent des vecteurs clĂ©s du dĂ©clin des caribous. Les tempĂ©ratures plus douces ont permis aux caribous et aux cerfs de sâĂ©tendre plus au nord. Lâabondance des prĂ©dateurs dĂ©pendant de lâabondance de leurs proies, les loups, couguars et les coyotes Ă©largissent eux aussi leur aire de rĂ©partition et deviennent plus nombreux. Le caribou des bois du Sud, contrairement Ă lâoriginal et au cerf, ne peut pas coexister avec un si grand nombre de prĂ©dateurs. Plus au nord, le rĂ©chauffement climatique se traduit par une couverture plus importante de la vĂ©gĂ©tation par une croĂ»te de glace ou de neige dure, ce qui entraĂźne plus de famines au sein des populations de caribous de Peary et de caribous de la toundra. Dans le cas du caribou de la toundra, les tempĂ©ratures plus douces affectent les itinĂ©raires de migration puisque la glace de mer sur laquelle se dĂ©plaçaient les animaux fond de plus en plus. Morse On compte deux sous-espĂšces de morse le morse du Pacifique et le morse de l'Atlantique. Au Canada, on ne retrouve que le morse de l'Atlantique. Certains chercheurs ont suggĂ©rĂ© que câest la chasse excessive qui menace le plus sĂ©rieusement le morse de lâAtlantique. La chasse du morse est aujourdâhui accessible Ă la fois aux communautĂ©s Inuits et aux chasseurs sportifs alors que seuls les Inuits pouvaient la pratiquer de 1928 Ă 1994. Les permis de chasse sportive sont dĂ©livrĂ©s dans le but de bĂ©nĂ©ficier aux communautĂ©s du Nord. MĂȘme si des quotas existent pour certaines rĂ©gions, il nây a pas eu suffisamment dâĂ©tudes pour que lâon soit sĂ»r que ces quotas sont suffisamment restrictifs pour protĂ©ger les populations de morses concernĂ©es. Les donnĂ©es concernant le nombre de morses tuĂ©s sont par ailleurs limitĂ©es, ce qui complique les recherches. Le morse de lâAtlantique est Ă©galement menacĂ© par lâintensification des activitĂ©s humaines telles que le dĂ©veloppement industriel p. ex., les exploitations miniĂšres et lâĂ©cotourisme. Se souvenir de la chasse au morse Les scientifiques et les Inuits sâaccordent pour dire que les changements qui touchent lâArctique affectent profondĂ©ment les populations animales et ces perturbations se rĂ©percutent sur la culture et les traditions des peuples du Nord. Les Aivilingmiuts de Nunavut sont des chasseurs de morse. Comme de nombreux autres groupes rĂ©gionaux dâInuits, ils ont Ă©tĂ© nommĂ©s dâaprĂšs lâanimal qui assurait jadis leur survie. En toutes saisons, ils suivaient lâaivik le morse, en inuktitut au nord de la baie d'Hudson, jusquâĂ lâĂźle de Baffin. Aujourdâhui, personne ne dĂ©pend plus uniquement du morse pour sa survie. Cependant, lorsquâune ancienne AivilingmiutdĂ©clare sur une chaĂźne de radio locale quâelle a trĂšs envie dâigunaq â la viande de morse fermentĂ©e â, les chasseurs locaux ont le devoir dâaller en chercher. *** Les bateaux au dĂ©part dâune rive de galets de calcaire. Le mois de juillet tire Ă sa fin et la baie Igloolik est libre de glace. Chaque bateau transporte une famille la mĂšre, le pĂšre et un ou deux fils qui ont Ă©tĂ© choisis pour apprendre Ă chasser. Le plan succinct prĂ©voit que les Airuts, Ammaqs, Irngauts et Awas seront partis pour une semaine. Ils ont pris avec eux suffisamment de nourriture et de collations pour environ trois jours. Le reste du temps, ils dĂ©pendront de la terre. Ils devront recueillir lâeau de pluie sur la nappe glaciaire, chasser les canards et tirer sur les phoques lorsque leur tĂȘte noire apparaĂźtra au loin, sur lâeau Ă peine ondulĂ©e. Ils naviguent au moteur pendant des heures, contournant une centaine de petites Ăźles. Personne ne se soucie de ne plus apercevoir la terre. En 2008, les chasseurs et les trappeurs dâIgloolik ont instituĂ© un moratoire sur le tourisme axĂ© sur le morse. Ce moratoire interdisait les expĂ©ditions de chasse sportive et de photographie au sud de lâĂźle de Baffin. Selon eux, la frĂ©quentation accrue de la zone par les touristes avait fait fuir les animaux vers lâest, en direction de Cape Dorset. Le moratoire a depuis Ă©tĂ© levĂ© mais certains pensent que lâintensification du trafic maritime et des dĂ©veloppements autour et sur lâĂźle de Baffin continue Ă perturber les morses. Dâautres soutiennent que le problĂšme vient de la disparition de la glace de mer. On ne sait pas si la population des morses de lâAtlantique est en train de disparaĂźtre ou si elle se dĂ©place mais les locaux disent quâil y en a moins aujourdâhui quâil y a trente ans. Quoi quâil en soit, les scientifiques et les Inuits sâaccordent pour dire que les changements qui touchent lâArctique affectent profondĂ©ment les populations animales et ces perturbations se rĂ©percutent sur la culture et les traditions des peuples du Nord. *** Le soir venu, les chasseurs installent leur camp sur les lieux dâun ancien poste de chasse au morse, sur la petite Ăźle Qaisuut, juste au nord de la pointe la plus septentrionale de la partie continentale du Canada. Dans la clartĂ© continuelle des hautes latitudes, personne ne dort. Le pĂšre et chasseur Lukie Airut dĂ©coupe des peaux de phoque en fines bandelettes, les dĂ©barrasse de leurs poils puis les met Ă sĂ©cher contre des rochers oranges. Elizabeth Awa apprend Ă ses petites-filles comment aller cueillir la bruyĂšre dans les champs verdoyants, en altitude, pour lâĂ©taler ensuite au camp afin dâen faire un matelas. Lâancien Abraham Uruyaralok, assis sur son matelas, fredonne des chansons traditionnelles. Il reste aussi attentif Ă la radio haute frĂ©quence qui lui permet de bavarder avec dâautres chasseurs prĂ©sents dans le secteur. Les enfants arpentent toute la nuit le sentier millĂ©naire, baignĂ©s dans une lumiĂšre violette, carabine Ă lâĂ©paule. Ils montent la garde contre les ours polaires. ArrivĂ©s sur une plage toute plate, ils se rĂ©pĂštent les histoires racontĂ©es par leurs parents. Jadis, les morses foisonnaient sur cette Ăźle et les chasseurs nâavaient pour ainsi dire quâĂ se baisser pour les cueillir. Dans une hutte de terre situĂ©e un peu au-dessus de la plage, ils trouvent les restes dâanciens outils et de jouets dâenfants, ainsi quâun crĂąne humain. Ces enfants connaissent bien le crĂąne. Ils lui rendent visite chaque fois quâils viennent sur Qaisuut. Ce crĂąne tĂ©moigne de ce quâil se passe lorsque la chasse devient mauvaise et que les gens sont forcĂ©s de changer leur style de vie. Toute la nuit, Peter Awa joue de son violon et un chaudron de tripes de phoque bouillies passe de tente en tente. Ils ne font que tuer le temps, en attendant le matin. Se souvenir de la chasse au morse suite Les enfants gardent leur couteau Ă la main mais se contentent dâobserver comment se dĂ©roule le dĂ©peçage. Il en sera ainsi lors de plusieurs chasses, jusquâĂ ce quâils soient prĂȘts Ă sâessayer Ă la tĂąche. Le premier troupeau que nous apercevons, nous nous contentons de le regarder. Ils sont comme des Ă©lĂ©phants dans lâeau, maladroits. MĂȘme en pleine mer, ils sont lents et peine Ă respirer car il leur est difficile de garder leur nez et leur gueule au-dessus de la surface. Leur tĂȘte vient rĂ©guliĂšrement percer la surface, leurs dĂ©fenses fendant les vagues. Les six bateaux se regroupent derriĂšre eux, mais les morses nâont pas besoin de nous voir pour comprendre quâils sont en danger. Ils remontent un peu plus frĂ©quemment Ă la surface. Le troupeau se sĂ©pare. Awa tire et touche un mĂąle dans la nuque. Le mĂąle fait un saut en arriĂšre. Deux bateaux arrivent vite Ă ses cĂŽtĂ©s et un chasseur le transperce avec un harpon maison connectĂ© par une corde Ă un jerrican vide. Il frappe sur le jerrican avec ses dĂ©fenses. Lâanimal le malmĂšne mais ne peut pas le percer. Ses coups de reins brusques bousculent le bateau en aluminium de vingt pieds. Un autre coup de feu retentit sur le bateau voisin. Une femelle est touchĂ©e. Avant que les chasseurs ne parviennent Ă la harponner, le reste du troupeau sâest regroupĂ© autour dâelle et deux dâentre eux lâemportent sur leur dos. Un bouc de glace sâinterpose alors entre le bateau et les morses. Mais Lukie Airut nâhĂ©site pas, il saute sur la glace. Pendant quelques secondes, il reste lĂ , son harpon armĂ© au-dessus de sa tĂȘte. Lorsquâil apprit Ă le lancer, câĂ©tait Ă partir dâun kayak. Il projette son harpon mais lâarme ne perce pas le cuir de lâanimal. Il la harponne une deuxiĂšme fois, cette fois Ă travers sa nageoire pectorale de gauche. Airut remonte Ă bord de son bateau puis Ă©loigne lâanimal du troupeau en ramenant sa corde en peau de phoque. Le bateau, tirĂ© de cĂŽtĂ© par la femelle dâune tonne, dĂ©rive vers une plaque de glace de la taille dâun gymnase. Ce matin-lĂ , neuf morses de ce troupeau seront tuĂ©s. Leur dĂ©peçage occupera toute lâaprĂšs-midi et une partie de la soirĂ©e. Il faut neuf hommes et un systĂšme de treuillage Ă poulie pour sortir chaque morse de lâeau. Lorsque les couteaux Ă fileter plongent dans les peaux grises et abĂźmĂ©es, la glace rougit sous le flot de sang. Il nây aura pas de pause dĂ©jeuner. Les foies et les cĆurs des animaux sont rassemblĂ©s devant une chaise de jardin posĂ©e sur la glace et les chasseurs viennent sây rassasier Ă tour de rĂŽle. Chaque famille dĂ©pĂšce son propre morse et chaque famille a sa propre façon de procĂ©der. Mais tout le monde prĂ©pare la mĂȘme chose la spĂ©cialitĂ© desAivilingmiuts, lâigunaq. Ils replient des poches de gras, de viande et de peau en formant des sacs hermĂ©tiques puis les ferment en les cousant avec des laniĂšres de peau prĂ©levĂ©e sur la poitrine et la cage thoracique des animaux. Les enfants gardent leur couteau Ă la main mais se contentent dâobserver comment se dĂ©roule le dĂ©peçage. Il en sera ainsi lors de plusieurs chasses, jusquâĂ ce quâils soient prĂȘts Ă sâessayer Ă la tĂąche. Sâils manquent une annĂ©e, ils commencent dĂ©jĂ Ă oublier. *** Les bateaux sont remplis, la chasse est terminĂ©e. De toute façon, il tarde aux enfants de revenir Ă la maison. Une fois revenues sur la terre ferme, les familles se sĂ©parent puis vont entreposer leurigunaq dans des caches de rochers amĂ©nagĂ©es en bordure de la ville. La viande de morse, transportĂ©e deux hommes par poche, est entreposĂ©e dans un terrier creusĂ© Ă mĂȘme le pergĂ©lisol. Elle y fermentera jusquâĂ deux ans. Le jour de la fĂȘte du Canada, dâun anniversaire ou simplement quand un ancien passe Ă la radio et fait part de son envie de manger du morse, les chasseurs viendront en chercher et toute la ville se souviendra de ce goĂ»t.
Milieunaturel. Le parc national Aulavik est une zone vierge et sauvage de l'Arctique située dans le nord de l'ßle Banks, l'ßle la plus à l'ouest de l'archipel Arctique. Le parc protÚge une aire naturelle des basses-terres de l'Arctique de l'Ouest représentative et d'importance nationale. Communiquez avec le bureau du parc à Inuvik pour
Europe, les Ăźles mythologiquesTĂ©thys, la fille des titans Ouranos le Ciel et de GaĂŻa la Terre avait une longue histoire, formĂ© au trias par la dislocation de la PangĂ©e elle connue plusieurs avatars, la PrototĂ©thys d'abord qui existait au PalĂ©ozoĂŻque entre le Gondwana et le terrane des huns composĂ© du craton du Yangtse, sino-corĂ©en, du bassin du Tarim, et de l'Asie du sud-est. Ensuite vint la PalĂ©othĂ©thys entre lâAsie et qui se referma quand un autre superterrane la referma, la CimmĂ©rie au Trias formĂ© des terres allant de l'Anatolie Ă Sumatra. Entre le Gondwana et l'Eurasie vint alors le dernier avatar de ThĂ©tys, la NĂ©othĂ©tys. Mais cette mer Ă©tait elle aussi en train de disparaitre car comme toujours des terres se dĂ©tachaient du Gondwana pour heurter l'Eurasie, aprĂšs le terrane des Huns et celui de la CimmĂ©rie voici que cet titanides voyait ces derniers instants arriver, des instant qui durĂšrent quelques millions d'annĂ©es, nous sommes Ă l'Ă©chelles des temps gĂ©ologiques tout de mĂȘme ! Son agonie comença qaund l'Inde heurta l'Asie, puis ce fut au tour de l'Arabie de bloquer son lieu avec l'OcĂ©an Indien. Ne restait que lien avec l'OcĂ©an Atlantique, mais mĂȘme lui est prĂ©caire, il y a a 5,96 millions d'annĂ©es le passage au sud de Gibraltar se bloqua, puis ce fut celui au nord entrainant un assĂšchement de la MĂ©diterranĂ©e, la crise salinitĂ© messinienne. Fort heureusement la dĂ©livrance arriva quand s'ouvrit le dĂ©troit de Gibraltar au ZanclĂ©en il y a 5,33 millions d'annĂ©es, apportant un rĂ©pit de quelques millions d'annĂ©es. Mais d'ici 5 millions d'annĂ©es la progression de l'Afrique vers le nord aurait de toute maniĂšre mis fin Ă l'agonie de ThĂ©tys. Mais ça c'Ă©tait avant le ThalassocĂšne, dĂ©sormais TĂ©thys a gagnĂ© beaucoup, beaucoup de ThalassocĂšne l'Europe ressemble a ce quâelle Ă©tait au Jurassique, une sĂ©rie d'Ăźles tropicales toutes plus mythiques les unes que les autres, commençons donc notre odyssĂ©e dans cet dâĂgĂ©e, terre d'origine des mythesLâarchipel dâĂgĂ©e est la terre d'origine des mythes grecs et tel Ulysse nous commencerons notre OdyssĂ©e ici en partant d'Ithaque. Ces Ăźles abritent une faune originaire du contient europĂ©ens, elle ne manque manque pas dâĂ©lĂ©phants, des Ă©lĂ©phants descendant du genre Paleoloxodon. Ces Ă©lĂ©phant qui Ă©taient grand sur le continent ont rapetissĂ© et continueront de le faire tel ce mammouth qui habitait la CrĂȘte mais qui a disparu avant le ThalassocĂšne pour y ĂȘtre remplacĂ© par une espĂšce de Paleoloxodon en voie de rapetissement. Mais il n'y a pas que des Ă©lĂ©phants, la CrĂšte compte aussi des cervidĂ© du genre Candiacarvus, des cousins du gĂ©ant mĂ©galocĂ©ros, qui sur cette Ăźle ont rapetissĂ© et se sont diversifiĂ© en huit espĂšces allant d'une taille d'1,6 mĂštre Ă seulement 40 cm pour la plus petite, Candiacervus ropalophorus, adaptĂ© a un environnement plus montagneux, paraissant tel des bouquetins. A leur cĂŽtĂ© des loutres aux mĆurs un peu plus terrestres que la normale, des hippopotames nains, la chouette d'AthĂ©na Athene cretensis, incapable de voler. Comme nous sommes sur des Ăźles mythologiques il y a bien sur des minotaures, oh pas des humanoĂŻdes Ă tĂȘte de taureau mais une souris du nom de Mus minotaurus ainsi que d'autres rongeurs un peu plus gros du genre Kritimys et le rat Ă©pineux de CrĂšte Acomys minous. Dans cet archipel l'Ăźle d'EubĂ©e mĂ©rite une mention spĂ©ciale car avant la disparition des contient elle Ă©tait trĂšs proche du continent, sĂ©parĂ©e de seulement 38 mĂštres par le dĂ©troit d'Euripe. Elle contient donc une grande partie de la faune continentale avec ces Ă©lĂ©phants qui devront vite rapetissĂ©, mais aussi ce qui ressemble le plus Ă un minotaure, les aurochs. De gros prĂ©dateurs sont Ă©galement prĂ©sents, loup, ours, lion, etc. A l'avenir la diversitĂ© devrait baisser ces petites Ăźles n'offrant pas forcĂ©ment un environnement qui peut permettre Ă beaucoup d'espĂšces de survivre sans apports continentaux rĂ©guliers, pensons aux mammouths crĂ©tois dĂ©jĂ l'Ăźle d'AphroditeLa naissance de VĂ©nus par Sandro BotticelliSelon la lĂ©gende, la dĂ©esse Aphrodite serait nĂ© sur le PĂ©tra tou RomioĂș ou Rocher dâAphrodite jaillissant d'un coquillage. Ce rocher n'est pas trĂšs Ă©levĂ© et est situĂ© juste en bord de la mer. Avec une augmentation du niveau des mer de 15 mĂštre il se retrouve sous les eaux, un endroit idĂ©al pour un trĂšs gros coquillage idĂ©al pour engendrer VĂ©nus, le bĂ©nitier. Ces coquillages gĂ©ant Ă©taient jusqu'Ă lors confinĂ© dans la rĂ©gion indopacifique mais avec la disparition des l'isthme de Suez ceux de la mer rouge, ainsi que d'autre espĂšce de cette zone se sont rĂ©pandu vers le il y a aussi une vie terrestre sur Chypre. Encore des PalĂ©oloxodons nains, des hippopotames nains et des cervidĂ©s. Il y a aussi des espĂšces plus petites oiseaux, serpents, lĂ©zard, musaraigne, rongeur dont l'un la Souris Ă©pineuse de Chypre Acomys nesiotes fait partie du genre des souris Ă©pineuses avec piquant sur le dos comme son cousin de l'Ăźle des LothophagesPoursuivant notre odyssĂ©e comme Ulysse nous abordons Djerba, l'Ăźle des Lothophages. Le Lotos est une plante assez inoffensive en fait, le Jujubier sauvage. Cette plante nourri les Lothophages qui ici sont des macaques de Barbarie. ces singes ne sont pas seul sur cette petite Ăźle, il y a Ă©galement des chats, des servals, des Renard famĂ©lique, des lĂšvres du cap, des Gazelle de Cuvier, des Zorille de Libye, des Genettes, des mangoustes, des HĂ©rissons d'AlgĂ©rie, des musaraignes et des rongeurs, dont des gerbilles. Des reptiles sont prĂ©sents, serpent, lĂ©zard, tortue mauresque, CamĂ©lĂ©on commun prĂ©sent aussi Ă Chypre, CrĂšte, Malte et Sicile. On compte aussi des amphibiens et des l'Ăźle de LĂ©daSelon la lĂ©gende Zeus pris la forme d'un cygne pour sĂ©duire LĂ©da. A Malte Zeus est reprĂ©sentĂ© par le cygne gĂ©ant de Malte. Haut d'1,50 mĂštre il toise les autres habitants de l'archipel tel les Ă©lĂ©phants nains toujours du genre Paleoloxodon et les hippopotames. Cette espĂšce de cygne aptĂšre habite aussi en Sicile. Une espĂšce de loir gĂ©ant est aussi la terre des cyclopes intelligentsEn poursuivant son odyssĂ©e Ulysse arrivera vers la Sicile mais cette fois ci le dangereux dĂ©troit de Messine avec Charybde et Scylla aura disparu, il pourra donc aborder l'Ăźle en toute tranquillitĂ©. Une tranquillitĂ© assurĂ© par le fait que les crĂ©atures ayant donnĂ© naissance aux cyclope sont de paisibles Ă©lĂ©phants nains, le trou dans leur crane face Ă leur trompe ayant Ă©tĂ© pris pour une orbite par les grecs colonisant l'Ăźle. Ces Ă©lĂ©phants sont relativement intelligents car malgrĂ© la diminution de taille par rapport Ă leur congĂ©nĂšre continentaux ils ont gardĂ© une taille de cerveaux quasi Ă part les Ă©lĂ©phants d'autre animaux sont prĂ©sent sur l'Ăźle, on a dĂ©jĂ mentionner les cygne gĂ©ant de Malte. Il y avait aussi sa propre espĂšce d'hippopotame nain, une espĂšce de loutre, une espĂšce de daims, une espĂšce de grue capable de voler, une espĂšce de zorille, plusieurs espĂšce de rongeur dont une de gundi originaire d'Afrique. On compte aussi des chats et des loups, renard, belette, sanglier, martre, chevreuil, porc-Ă©pic. L'isolement insulaire Ă©tant compensĂ© par une connexion au contient lors des Ăšres glaciaires, tout comme de CircĂ©Ulysse poursuit son odyssĂ©e et arrive maintenant dans l'Ăźle de CircĂ©, une Ăźle trĂšs dangereuse mais pas parce qu'il risque d'ĂȘtre changĂ© en porc, Ă la place il risque de se retrouver Ă l'Ă©tat de statue de plĂątre comme les habitants de PompĂ©i. Ceci car l'endroit d'oĂč est originaire CircĂ© est la Campanie, rĂ©gion connue pour son volcanisme intense Tout les monde connait l'Ă©ruption du VĂ©suve en 79 qui engloutit PompĂ©i et Herculanum, en revanche beaucoup ignore que que la zone est pleine de Volcans, en fait toute la bais de Naples est un gigantesque supervolcan avec le VĂ©suve Ă l'est et les Champs PhlĂ©grĂ©ens Ă l'ouest. Il y a eu mĂȘme une super Ă©ruption volcanique vers 37 000 av JC qui envoya des cendres dans toutes l'Europe orientale et dont on pense qu'elle accĂ©lĂ©ra le dĂ©clin des nĂ©anderthaliens en tuant la faible vĂ©gĂ©tation glaciaire de l'Ă©poque entrainant par lĂ la disparition des herbivores et des prĂ©dateurs dont les nĂ©anderthaliens .Ăruption volcanique de 37 000 de la couche de cendre en cmAu ThalassocĂšne rappelons que les continents ont Ă©tĂ© rasĂ© jusqu'Ă - 100 mĂštres et pleins d'Ă©ruption ont alors eu lieu et celle-ci aurait pu ĂȘtre une catastrophe, anĂ©antissant la vie sur d'autres Ăźle suivant la direction du vent elle aurait pu anĂ©antir la vie en Sicile, en Sardaigne, en Corse et jusqu'aux lointaine Ăźle Ă©gĂ©ennes. mais heureusement les vents soufflaient vers le nord est et les Ăźles Dalmates. De plus la chambre magmatique n'Ă©taient pas trĂšs remplies, ils faut des dizaines de milliers d'annĂ©es pour engendrer une superĂ©ruption, et elle s'Ă©tait vidĂ© il y a quelques milliers d'annĂ©es. Donc l'Ă©ruption bien quâimportante n'a pas entrainĂ© de destruction sur les autres Ăźles. Mieux elle en a créée une nouvelle qui s'est connectĂ© aux autres Ăźles de la baie de Naples. nous avons donc une Ăźle s'Ă©tendant de l'Ăźle d'Ischia Ă l'ouest jusqu'Ă l'Ăźle de Capri Ă l'est en passant par l'emplacement du VĂ©suve au nord. Beaucoup de formes de vie sur ces Ăźles n'ont quand mĂȘme pas rĂ©sistĂ© Ă l'Ă©ruption, fort heureusement sur Ischia des sangliers ont pu survivre et ainsi repeupler l'Ăźle de Ăźles DalmatesSituĂ©es au large de la Croatie les Ăźles Dalmates ont un assortiment de faune issus du contient tout proche, malheureusement l'Ă©ruption de l'Ăźle de CircĂ© a envoyĂ© pleins de cendre faisant disparaitre de nombreuse formes de corso sarde, les Ăźles de CalypsoUlysse aborde maintenant les Ăźles de Calypso ou l'archipel corso sarde, terre des polyphonies corses comme la chanson de ce message. Durant l'Ăšre glaciaire elles ne formaient quâune seule et mĂȘme Ăźle et partagent donc une faune similaire. Il y a longtemps il y avait des chĂšvre du genre nĂ©sogoral et des macaques mais ceux-ci ont dipsarus il y a longtemps, remplacĂ© par d'autres animaux venu du continents. Il y a d'abord une espĂšce de mammouth nains descendante du mammouth des steppes et puis un mĂ©galocĂ©ros nains, le cerf de Caziot, une espĂšce de de canidĂ© nains, le dhole nain. trois espĂšces de micromammifĂšres, une souris, un campagnol et un lagomorphe le Prolagus sardus, une espĂšce de pika, une sorte de lapin aux oreilles courtes. Il y a aussi une espĂšce de mustĂ©lidĂ© terrestres et aussi quatre espĂšce de loutres, une adaptĂ© Ă la vie en eau douce et les autres Ă la vie en eau salĂ©. Elles Ă©taient toutes piscivores sauf une. L'une Megalenhydris barbaricina est la plus adaptĂ© Ă la vie marine qu'on connaisse avec des vertĂšbres caudales aplaties, elle se nourrissait de crustacĂ©s et de coquillages et mesurait plus de 2 mĂštres. Tout ces animaux ont disparu, au nĂ©olitihque Ă l'arrivĂ©e des humains pour les plus grandes, dans l'antiquitĂ© avec la pertes d'habitat et l'introduction de prĂ©dateurs et de concurrents, les dernier survivant furent des pika en Sardaigne au XVIIIĂšme siĂšcle. Mais au ThalassocĂšne ces animaux sont Ă l'abri des les Ăźles d'HĂ©liosCrĂ©dit SanciusartCliquez sur le lien pour avoir la description des son odyssĂ©e vers l'ouest Ulysse aborde les Ăźles d'HĂ©lios et ses troupeaux et qu'ils ne s'avise pas de la manger sinon la vengeance du dieu sera terrible ! Les BalĂ©ares avaient une faune unique, sur Minorque ont trouvant le plus gros lapin de tout les temps, le Nuralagus rex qui arriva durant le Messinien. Sur cette Ăźle en lâabsence de prĂ©dateurs il avait grossit jusqu'Ă peser 20 Kg pour ensuite disparaitre lors des glaciations quand l'Ăźle fut reliĂ© aux autres de l'archipel succombant Ă la concurrence des chĂšvres des BalĂ©ares Myotragus balearicus. Ces chĂšvres qui constituent le cheptel d'HĂ©lios sont du genre Myotragus sont proche des chĂšvre du genre nesogoral qui habitaient la Corse et la Sardaigne. Elle furent l'objet d'une tentative de domestication au NĂ©olithique mais celle-ci Ă©choua, sans doute car les humains arrivant dans ces Ăźles avaient dĂ©jĂ des chĂšvres et en plus car elles ont une adaptation bien particuliĂšre, elles Ă©taient ectotherme, ne produisant par leur propre chaleur tel les reptiles. sans doute une adaptation au manque de nourritures sur ces Ăźles, de plus pourquoi ĂȘtre rapide s'il n'y a pas de prĂ©dateurs Ă fuir. Ici avec le rĂ©chauffement du climat, la pluviomĂ©trie accrues la nourriture est plus abondante pour ces chĂšvres et la tempĂ©ratures plus Ă©levĂ©e leur permet d'ĂȘtre plus chĂšvres doivent partager ces Ăźles avec d'autres crĂ©atures, tel des loirs gĂ©ants, une espĂšce de chouette qui se nourrit de ces loirs, une tortue d'un mĂštre de long, des lĂ©zards, un crapaud et des rexL'archipel de BorvoAprĂšs avoir fait le tour des Ăźles mĂ©diterranĂ©ennes laissons Ulysse rentrer chez lui Ă Ithaque et continuons notre voyage vers le nord avec un autre grand voyageur grec PythĂ©as. partant de Massilia, maintenant sous les eux il se dirige vers le nord lĂ oĂč le volcanisme a refait son apparition et aborde lâarchipel de Borvo, dieu celte des eaux bouillonnantes. Cet archipel a Ă©tĂ© formĂ© par le rĂ©veils des volcans d'Auvergne. Il se peuple peu Ă peu de de formes de vie venues dâailleurs vĂ©gĂ©taux, oiseaux, insectes, loutres. Ces loutres sont venues de Corse et ont pu faire escale sur l'archipel des Ăles d'HyĂšres au large de ce qui fut la Britanniques, l'archipel des lĂ©gendes arthuriennesPythĂ©as aborde maintenant les Ăźles Britanniques, terre des lĂ©gendes arthuriennes. pas de roi Arthur dans ce monde mais ces Ăźles sont bien les gardiens de la tradition, non pas de la mythologie celtiques mais de la faune europĂ©enne. La Grande Bretagne a perdu un peu de territoire avec lâĂ©lĂ©vation du niveau de la mer sur la cĂŽte centre est mais elle est relativement intacte, tout comme sa faune, le nanisme insulaire ne s'y applique donc pas. On y trouve tout ce que l'Europe peut abriter en pĂ©riode interglaciaire ou presque, des Ă©lĂ©phants du genre PalĂ©oloxodon, des lions des cavernes, des hippopotames, des bisons, des aurochs, des rhinocĂ©ros de Merck et des steppes, des ours bruns et des cavernes, des loups, sangliers, lynx, chats, hyĂšnes. Des Homotheriums, une espĂšce de fĂ©lins Ă dents de sabres. Des cervidĂ©s tels les mĂ©galocĂ©ros, les chevreuils, les Ă©lans et les cerfs Ă©laphes. Malheureusement pour eux les quelques rennes qui sâaccrochaient encore dans les montagnes Ă©cossaises qui OTL survĂ©curent jusque vers l'an 1000 ne survĂ©curent pas au rĂ©chauffement climatique. On y trouve aussi des chevaux et des Ăąnes eurasiens. La faune de l'Irlande est un peu moins diversifiĂ©e et ses reprĂ©sentant un peu plus petit, territoire rĂ©duit oblige mais elle communique quand mĂȘme avec la faune de Grande inattendu le macaque de Barbarie est Ă©galement prĂ©sent sur ces Ăźles, on a en effet retrouver des dents de cet animal en Mer du Nord datĂ© de l'interglaciaire ĂĂ©mien. [1]Lâarchipel de ThulĂ©PythĂ©as finit son voyage en abordant lâarchipel de ThulĂ©. Ces terres sont ce qui reste de la Scandinavie et des Ăźles baltiques. Ces territoires sont plus petit que les Ăźles Britanniques la faune y sera donc moins variĂ©e pas dâhippopotames ni d'Homotherium ou d'ours des cavernes, de mĂ©galocĂ©ros, de lions, d'Ă©lĂ©phants ou de rhinocĂ©ros. par contre d'autres espĂšces seront prĂ©sentes, tels les gloutons ou des rennes dans les Ăźles du nord de la retour des sirĂšnesDurant son retour Ă Ithaque Ulysse pourra d e nouveau Ă©tendre le chant des sirĂšnes, pour la premiĂšre fois depuis deux millions et demi d'annĂ©es. La MĂ©diterranĂ©e a Ă©tĂ© l'habitat de sirĂ©niens durant des millions d'annĂ©es. Le dernier genre a avoir habiter la zone Ă©tait le genre Metaxytherium avec l'espĂšce Metaxytherium subapenninum. Ce sirĂ©niens avaient tout endurĂ©, survivant mĂȘme Ă la crise de salinitĂ© messinienes en se nourrissant de posidonies, l'herbe de Neptune. Ces herbes marines ne sont pas des algues, ce sont des angiospermes, des plantes Ă fleurs adaptĂ©es Ă la vie marine. Celle de MĂ©diterranĂ©e ont une tolĂ©rance au sel renforcĂ©, preuve de leur survie durant le Messinien. malheureusement l'arrivĂ© de l'Ăšre glaciaire sonna le glas des sirĂ©niens en MĂ©diterranĂ©e. Les herbiers de posidonies prolifĂ©rĂšrent donc sans brouteur jusqu'au ThalassocĂšne. Mais alors l'isthme de Suez disparu et vint alors de Mer rouge un autre sirĂ©nien, le Dugong qui se mis Ă se rĂ©galer de ces herbes marines. Ont retrouve mĂȘme maintenant ces dugongs jusqu'au sud des Ăźles Britannique que les posidonies ont atteintes. D'autre animaux ont aussi suivit, la faune de la mer Rouge colonise la MĂ©diterranĂ©e, tel l'exemple du bĂ©nitier arrivĂ© Ă Chypre. Les coraux connaissent un formidable expansion, jusque dans l'archipel de Borvo. Un autre sirĂ©nien est aussi prĂ©sent, le lamantin d'Afrique, il Ă©vite de rentrer en compĂ©tition avec son cousin le dugong en prĂ©fĂšrent leur laissant les herbiers de posidonies et se nourrissant plus volontiers des feuilles de palĂ©tuviers dans les mangroves ainsi que d'une alimentation non vĂ©gĂ©tale. Ils se partagent ainsi les niches Ă©cologiques et qu'ils en profitent car pour l'instant pas un seul galapagosaure en vue dans les espĂšces de MĂ©diterranĂ©e se dĂ©placent vers le nord en plus des posidonies. Par exemple les phoques moins sont maintenant prĂ©sent dans les Ăźles Britanniques d'oĂč ils dĂ©placent les phoques gris vers le mĂ©diterranĂ©enne au ThalassocĂšne, le retour de la LaurisylveAu MiocĂšne le climat de la MĂ©diterranĂ©e Ă©tait plus humide, permettant Ă une vĂ©gĂ©tation de Laurisylve de s'Ă©panouir. Avec le retour d'un climat plus chaud et humide la vĂ©gĂ©tation de MĂ©diterranĂ©e ressemble de plus en plus Ă ce quâelle Ă©tait autrefois avec deux espĂšce en profitant, les deux seul espĂšces de palmiers europĂ©ens, le palmier nain Chamaerops humilis et le palmier de CrĂšte Phoenix theophrasti, le palmier nain Ă©voluant rapidement vers une taille plus importante, jusqu'Ă 8 mĂštres de haut. Des palĂ©tuviers sont aussi arrivĂ© de mer Rouge et ont commencer a former des gauche laurisylve, Ă droite palmier de CrĂšteNotes[1] Sur la prĂ©sence de Macques de barbarie en mer du nord durant l'interglaciaire ĂĂ©mien en anglaisFirst finds of Pleistocene Macaca sylvanus Cercopithecidae, Primates from the North SeaPrĂ©sentation des faunesFaune des BalĂ©aresJe ne reposte pas l'image de la faune des BalĂ©ares c'est la mĂȘme que celle plus haut, je met juste le lien vers la SanciusartCliquez sur le lien pour avoir la description des de Corse et de SardaigneCrĂ©dit SanciusartCliquez sur le lien pour avoir la description des de Sicile et de MalteCrĂ©dit SanciusartCliquez sur le lien pour avoir la description des de CrĂšteCrĂ©dit SanciusartCliquez sur le lien pour avoir la description des espĂšces.
LeLoup Arctique: un exemple dâadaptation du loup Ă tous les milieux. Ce mammifĂšre carnivore de la famille des canidĂ©s, Canis lupus arctos, nommĂ© « Amoruk » en langue Inuits est une des sous-espĂšces multiples du loup qui a rĂ©ussi Ă sâadapter Ă des conditions souvent extrĂȘmes. En premier lieu, Ă la surface ce son domaine de chasse oĂč on compte mille Ă©lans ou orignaux pour une
30 janvier 2010 6 30 /01 /janvier /2010 1953 Le Loup Arctique un exemple dâadaptation du loup Ă tous les milieux. Ce mammifĂšre carnivore de la famille des canidĂ©s, Canis lupus arctos, nommĂ© Amoruk » en langue Inuits est une des sous-espĂšces multiples du loup qui a rĂ©ussi Ă sâadapter Ă des conditions souvent extrĂȘmes. En premier lieu, Ă la surface ce son domaine de chasse oĂč on compte mille Ă©lans ou orignaux pour une dizaine de loups, en AmĂ©rique du Nord. Ce cervidĂ© vit en solitaire sur un territoire de 250 hectares, câest dire si le territoire de chasse dâune meute de loup arctique est vaste. Il rĂ©gule aussi les populations de caribous, tout comme celle du bĆuf musquĂ© aux extrĂȘmes nord du continent amĂ©ricain. Amoruk est Ă©galement reprĂ©sentĂ© en SibĂ©rie par une autre sous-espĂšce canis lupus albus. Le loup arctique doit faire face Ă des tempĂ©ratures exceptionnellement basses, dont les records voisinent les â45° Celsius. Une fourrure blanche trĂšs fournie, composĂ© de longs poils de jarre ou poils de garde de deux longueurs distinctes, lâun assurant lâorientation lâautre la protection contre le froid. Lâensemble recouvrant une bourre compacte et composĂ©e dâun duvet extrĂȘmement fin, assure une parfaite isolation thermique. Sa morphologie particuliĂšre, nez et oreille court ainsi que des pattes larges et rĂ©duites, diminue les pertes de chaleur des extrĂ©mitĂ©s. Sa robe de couleur blanche nâest pas la seule connue, certains canidĂ©s portent un pelage noir et sont repĂ©rables Ă des kilomĂštres sur la neige. Il doit aussi survivre durant les longues nuits polaires, mois dâobscuritĂ© qui le conduise rĂ©guliĂšrement Ă jeĂ»ner. Sous lâappellation loup arctique », on retrouve diffĂ©rentes espĂšces, relativement proches mais vivant sur des aires diffĂ©rentes, ainsi le loup du Groenland est dĂ©nommĂ© Canis lupus orion, le loup de Terre Victoria, Canis lupus bernardi, a Ă©tĂ© complĂštement Ă©radiquĂ© de cette rĂ©gion de lâAntarctique bordĂ©e par la mer de Ross et la terre de Wilkes, dĂ©couverte par Ross en janvier 1841. Le loup canadien, le loup de la toundra, Canis lupus lycaon nâest pas dĂ©nombrĂ© prĂ©cisĂ©ment mais les effectifs ne semblent pas menacĂ©s, bien que le loup soit encore chassĂ© dans ces contrĂ©es nordiques. Pire encore, la chasse par avion est Ă nouveau pratiquĂ©e en Alaska, une seule journĂ©e de chasse suffit Ă abattre jusquâĂ 40 loups. Canis lupus albus est estimĂ© en SibĂ©rie Ă 100 000 individus. Ces diffĂ©rentes espĂšces varient de 60 Ă 75 centimĂštres au garrot pour un poids de 35 Ă 60 kilogrammes, suivant le sexe, le type et le milieu pratiquĂ©. Si il est vrai que son territoire de chasse est parfois de 10 fois supĂ©rieur, en surface, Ă un celui dâun loup europĂ©en, il varie aussi plus souvent ses proies. Saumons, oiseaux migrateurs, lemmings sont rĂ©guliĂšrement Ă son menu. En particulier durant le cour Ă©tĂ© arctique, Ă la fin duquel le canidĂ© suit alors les migrations des troupeaux de caribous ou de bĆufs musquĂ©s. Ces derniers assurent le nourrissage dâune meute pendant plusieurs jours. La vie sociale du loup arctique nâest pas fondamentalement diffĂ©rente de celle des autres sous-espĂšces. Le loup arctique comme les loups gris europĂ©ens, vit en meute. La cellule dâorigine est composĂ© dâun groupe familial, mĂąle, femelle, seconds, prĂ©tendants issus de premiĂšres naissances et des louveteaux nĂ©s durant lâannĂ©e en cours, dont peu survivent Ă lâhiver polaire. Il se dĂ©place sur un vaste domaine en suivant, le plus souvent, les mĂȘmes pistes Ă gibiers, les berges de lacs connus. Il prend bien soin de marquer son passage et dĂ©limite ainsi son territoire en dĂ©posant urines, crottes et sĂ©crĂ©tions . Les 29 sous-espĂšces du loup, 10 autres sous-espĂšces sont dors et dĂ©jĂ Ă©teintes. Canis lupus arctos arctique Canis lupus pambasileus Alaska Canis lupus arabs Arabie Canis lupus ligoni archipel Alexandre Canis lupus occidentalis Alberta Canis lupus lycaon Canada ou loup de l'Est Canis lupus columbianus Colombie Canis lupus familiaris Chien domestique Canis lupus dingo Dingo Canis lupus nubilus Grandes Plaines Canis lupus orion Groenland Canis lupus hudsonicus Hudson Canis lupus pallipes Indes Canis lupus labradorius Labrador Canis lupus lupus Loup gris commun Canis lupus floridanus sous-espĂšce de loup rouge Canis lupus mackenzii Mackenzie Canis lupus baileyi Mexique Canis lupus chanco Mongolie Canis lupus fuscus Oregon Canis lupus griseoalbus prairies Canis lupus irremotus Rocheuses septentrionales Canis lupus rufus rouge Canis lupus albus SibĂ©rie Canis lupus campestris steppes Canis lupus manningi Terre de Baffin Canis lupus tundrarum Toundra Canis lupus crassodon Vancouvert Canis lupus filchneri Merci de votre visite, Ă bientĂŽt Published by JLV - dans DĂ©couverte d'une espĂšce
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ExpĂ©ditions Arctique et Grand NordTerritoire lâArctique est constituĂ© dâun ensemble de territoires appartenant aux continents amĂ©ricain et eurasien. Topographie composĂ© de plaines et de montagnes avec des paysages alpins. Faune au Nord, la faune est trĂšs variĂ©e ours polaires, phoques, morses, macareuxâŠ, mais prĂ©sente en relative petite quantitĂ©. Banquise celle de lâArctique tend Ă se rĂ©tracter avec le rĂ©chauffement climatique. PrĂ©sence humaine une poignĂ©e de communautĂ©s isolĂ©es habite au Groenland et dans lâarctique canadien. Saisons le Grand Nord se visite plutĂŽt entre juin et NordExtrĂȘme-Orient russeAlaskaTerre Francois-JosephCanada FigĂ© par la glace une grande partie de lâannĂ©e, le Grand Nord canadien reprĂ©sente une rĂ©gion isolĂ©e et lointaine oĂč rĂšgne un froid intense. RĂ©gion trĂšs sauvage Ă la faune variĂ©e, et qui a pour seuls habitants quelques villages inuits. SituĂ© Ă lâextrĂ©mitĂ© nord de lâAmĂ©rique du Nord, entre lâAlaska et le Groenland, lâarchipel arctique canadien regroupe plus de 35â000 Ăźles, dont la plus grande est celle de Baffin. Inclus lâhistorique passage du nord-ouest » qui relie lâatlantique nord Ă lâocĂ©an Pacifique. Forte prĂ©sence dâours polaires dans la rĂ©gion de la baie de Churchill. Se visite de mars Ă novembre circuits terrestres inclus. 1Les principales Ăźles de la partie orientale sont montagneuses et majoritairement recouvertes de calottes glaciaires. Les Ăźles du centre et de lâouest prĂ©sentent au contraire un relief peu Ă©levĂ©. Ainsi, cet archipel est composĂ© de paysages variĂ©s, allant des montagnes escarpĂ©es aux plaines, en passant par des vĂ©ritablement polaire, la nuit polaire dure 3-4 mois en hiver, tandis que le soleil de minuit dure pendant une pĂ©riode Ă©quivalente les mois opposĂ©s. La tempĂ©rature atteint rĂ©guliĂšrement le -20°C durant lâhiver et le printemps. En Ă©tĂ©, elle peut atteindre les 10 vu du climat, la vĂ©gĂ©tation se fait assez rare, notamment dans la partie septentrionale. Dans la partie plus mĂ©ridionale de lâarchipel, on trouve une vĂ©gĂ©tation de type toundra composĂ©e principalement dâherbacĂ©s, de carex, de mousse et de mĂȘme que pour la flore, la faune est moins riche au nord que dans la partie sud. Lâarchipel abrite une vingtaine de mammifĂšres terrestres dont le caribou, le bĆuf musquĂ©, le renard arctique, le loup arctique ou encore le liĂšvre arctique. Les mers sont quant Ă elles frĂ©quentĂ©es par les ourses polaires, les morses, les phoques, le narval ou le canadien est peuplĂ©e par les Inuits depuis plus de 4'000 ans, et plus particuliĂšrement sur les cĂŽtes. Cette rĂ©gion fait lâobjet de nombreuses expĂ©ditions, notamment le passage du Nord-Ouest, rĂ©alisĂ© par Roald Amundsen au tout dĂ©but des annĂ©es 1900â. De nombreuses stations mĂ©tĂ©orologiques et centres de recherche gĂ©ologique sont installĂ©s depuis les annĂ©es 1950â.Les dĂ©partsPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti12 jcomplet17 j-15%dĂšsCHF17â jdĂšsCHF23â jdĂšsCHF16â jdĂšsCHF17â j-24%dĂšsCHF16â j-24%dĂšsCHF16â j-24%dĂšsCHF18â principauxBaleine Ă bosseOrqueOurs polaireNarvalBĂ©lugaBaleinesPhoquesIcebergAurore borĂ©aleFjordVillages traditionnelsPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garantiIntĂ©rĂȘts principauxOurs polaireNarvalIcebergGlacierSites historiquesPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garantiIntĂ©rĂȘts principauxOurs polaireBĂ©lugaLa cĂŽte de lâAlaska et du Canada ExpĂ©dition entre grands espaces, gigantesques glaciers, montagnes escarpĂ©es, toundras infinies et lacs scintillants, abritant grizzlis et animaux et CanadaPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti15 jdĂšsCHF12â jdĂšsCHF10â principauxBaleine Ă bosseOrqueLoutre des mersOurs brunBaleinesPhoquesGlacierFjordPassage du Nord-Ouest Aventurez-vous bien au-dessus du cercle polaire arctiqueGroenland, Canada et AlaskaPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti25 jdĂšsCHF35â j-19%dĂšsCHF8â jdĂšsCHF15â jdĂšsCHF59â principauxBaleine Ă bosseOrqueOurs polaireNarvalBĂ©lugaBaleinesPhoquesAurore borĂ©aleFjordVillages traditionnelsGroenland Le Groenland est immense avec ses 2 millions de kilomĂštres carrĂ©s, câest la plus grande Ăźle au monde si lâon considĂšre lâAustralie et lâAntarctique comme des continents et non des Ăźles. Recouvert Ă prĂšs de 80% par une Ă©paisse calotte glaciĂšre, sa population de moins de 60 000 habitants se concentre sur les cĂŽtes et plus principalement sur la cĂŽte ouest oĂč la fonte des glaces laisse parfois place Ă la toundra. En raison de lâabsence dâun rĂ©seau routier, on se dĂ©place uniquement en avion, en bateau, en hĂ©licoptĂšre, en motoneige ou en traĂźneau Ă chiens. Ile rĂ©putĂ©e pour ses paysages fantastiques, ses icebergs majestueux, ses aurores borĂ©ales, sa population de baleines. Partir Ă la rencontre des communautĂ©s locales, câest aider Ă mieux comprendre un mode de vie ancestrale principalement axĂ© sur la pĂȘche et la chasse, tout en conservant un grand respect pour la nature. Se visite de fĂ©vrier Ă septembre circuits terrestres inclus. 1Avec une population dâenviron 56 000 habitants Ă©parpillĂ©s le long des cĂŽtes, principalement Ă lâouest et au sud, le Groenland reprĂ©sente le territoire le moins densĂ©ment peuplĂ© de la planĂšte. En dehors de la capitale oĂč on trouve un quart de la population, la plupart des habitants survivent, grĂące Ă un fragile Ă©quilibre entre traditions et modernitĂ©, dans des communautĂ©s isolĂ©es de 50 Ă 500 personnes, aux maisons trĂšs entre la Canada et lâIslande, le Groenland fait gĂ©ographiquement partie de l'AmĂ©rique du Nord. Politiquement toutefois, ce territoire administrĂ© par le Danemark est beaucoup plus proche de l'Europe. Environ 80% du Groenland est recouvert d'une immense couche de glace islandis inhabitĂ©e. Vous pourrez admirer des falaises de glace, mais aussi des magnifiques fjords, glaciers, montagnes et paysages de toundra. L'ensemble du nord-est du Groenland est un vaste territoire vierge constituĂ© du plus grand parc national au Groenland est soumis Ă un climat arctique sec et glacial. Il peut cependant y avoir une grande diffĂ©rence de tempĂ©rature selon si vous vous trouvez Ă l'intĂ©rieur des terres, en mer, sur la cĂŽte ou dans la toundra. Les conditions peuvent changer soudainement. Mais une chose est sĂ»re ; il ne fait jamais chaud ! En Ă©tĂ©, la tempĂ©rature atteint une moyenne maximum de + 10 ° C entre juin et aoĂ»t. Mais le reste de lâannĂ©e, elle reste infĂ©rieure Ă 0°C. Le soleil ne se couche pas de mi-mai Ă mi-juillet soleil de minuit.4La toundra et la glace du Groenland abritent principalement des ours polaires, des bĆufs musquĂ©s, des rennes, des renards arctiques et des liĂšvres de montagne. Le rivage et les eaux sont frĂ©quentĂ©s par cinq espĂšces diffĂ©rentes de phoques, de nombreux types de baleines et le morse. De nombreuses espĂšces dâoiseaux peuvent ĂȘtre observĂ©es, dont l'aigle Ă queue blanche, le lagopĂšde, les fulmars et les peuples de lâArctique seraient arrivĂ©s au Groenland il y a environ 4 Ă 5 000 ans mais ils nâauraient pas survĂ©cu Ă notre Ăšre. Le Groenland Ă©tait inconnu des europĂ©ens avant le Xe siĂšcle oĂč il fut colonisĂ© par les Vikings menĂ©s par Erik le Rouge. Diverses colonies vikings ont survĂ©cu dans le sud pendant environ 400 ans avant de disparaitre Ă leur tour. Les inuits dâaujourdâhui sont les descendants de ceux arrivĂ©s vers le XIIIe dâAlaska, qui ont su sâadapter Ă un climat trĂšs dĂ©partsPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti12 jcomplet17 j-15%dĂšsCHF17â jdĂšsCHF23â jdĂšsCHF16â jdĂšsCHF17â j-24%dĂšsCHF16â j-24%dĂšsCHF16â j-24%dĂšsCHF18â principauxBaleine Ă bosseOrqueOurs polaireNarvalBĂ©lugaBaleinesPhoquesIcebergAurore borĂ©aleFjordVillages traditionnelsAventure au sud du Groenland A travers de multiples activitĂ©s Ă choix, partez explorer la pointe sud du Groenland, entre fjords et par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti9 j-24%dĂšsCHF8â j-24%dĂšsCHF8â principauxBaleinesIcebergGlacierAurore borĂ©aleFjordVillages traditionnelsIslandisPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti12 jdĂšsCHF14â jcomplet12 jdĂšsCHF14â jdĂšsCHF5â jdĂšsCHF8â jdĂšsCHF15â jdĂšsCHF11â jdĂšsCHF5â jdĂšsCHF5â j-28%dĂšsCHF4â jcomplet14 jdĂšsCHF14â jcomplet11 jdĂšsCHF15â jdĂšsCHF24â jdĂšsCHF21â jdĂšsCHF19â j-5%dĂšsCHF9â jdĂšsCHF5â jdĂšsCHF5â jdĂšsCHF8â jdĂšsCHF5â j-24%dĂšsCHF10â jcomplet9 jdĂšsCHF5â jdĂšsCHF4â j-24%dĂšsCHF10â jcompletIntĂ©rĂȘts principauxBaleine Ă bosseOurs polaireBĂ©lugaBaleinesIcebergAurore borĂ©aleVillages traditionnelsPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti14 j-16%dĂšsCHF8â j-4%dĂšsCHF7â j-4%dĂšsCHF7â j-3%dĂšsCHF10â j-3%dĂšsCHF10â j-3%dĂšsCHF10â j-4%dĂšsCHF8â j-4%dĂšsCHF8â j-4%dĂšsCHF8â principauxBaleine Ă bosseOurs polaireBĂ©lugaBaleinesIcebergAurore borĂ©aleVillages traditionnelsIslandisPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti15 j-24%dĂšsCHF11â j-2%dĂšsCHF19â jdĂšsCHF17â principauxBaleine Ă bosseOrqueBaleinesIcebergAurore borĂ©aleFjordVillages traditionnelsIslandisDu Spitzberg au Groenland Longez la partie occidentale du Spitzberg puis la cĂŽte orientale et sauvage du GroenlandSvalbard, Groenland, IslandePrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti14 jdĂšsCHF9â jdĂšsCHF12â jdĂšsCHF8â jdĂšsCHF8â jcomplet15 jdĂšsCHF14â jdĂšsCHF14â j-28%dĂšsCHF11â jdĂšsCHF6â jcomplet14 jdĂšsCHF9â j-5%dĂšsCHF13â j-28%dĂšsCHF10â jdĂšsCHF9â jdĂšsCHF8â jdĂšsCHF8â jdĂšsCHF5â jdĂšsCHF9â j-19%dĂšsCHF11â principauxBaleine Ă bosseOurs polaireMorseBĂ©lugaBaleinesIcebergBanquiseAurore borĂ©aleFjordVillages traditionnelsPassage du Nord-Ouest Aventurez-vous bien au-dessus du cercle polaire arctiqueGroenland, Canada et AlaskaPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti25 jdĂšsCHF35â j-19%dĂšsCHF8â jdĂšsCHF15â jdĂšsCHF59â principauxBaleine Ă bosseOrqueOurs polaireNarvalBĂ©lugaBaleinesPhoquesAurore borĂ©aleFjordVillages traditionnelsSvalbard A mi-chemin entre la NorvĂšge et le pĂŽle Nord, il est lâun des endroits habitĂ©s les plus septentrionaux du monde. Le Spitzberg est le nom de la plus grande Ăźle de lâarchipel du Svalbard, territoire administrĂ© par la NorvĂšge Sur sa cĂŽte occidentale, le climat y est relativement doux comparĂ© Ă dâautres rĂ©gions situĂ©es Ă la mĂȘme latitude, ce qui rend lâarchipel navigable presque toute lâannĂ©e. Toutefois, prĂšs de 60% de lâarchipel du Svalbard demeure recouvert de glace en permanence Parmi les 3â000 habitants de lâarchipel, prĂšs de 2â000 habitent Ă Longyearbyen, la capitale. Abrite une des plus grandes populations dâours polaires Ă lâĂ©tat sauvage au monde. Grande variĂ©tĂ© dâoiseaux et de faune polaire Terre de montagnes, de glaciers spectaculaires et de fjords Se visite de mars Ă aoĂ»t. 1SituĂ© au-delĂ du cercle polaire, Ă peu prĂšs Ă mi-chemin entre la NorvĂšge et le pĂŽle Nord, et couvrant une superficie d'environ 1,5 fois la Suisse, l'archipel du Svalbard est constituĂ© d'une sĂ©rie d'Ăźles dont les principales sont le Spitzberg, Nordaustlandet, Edgeoya, Barentsoya et sa cĂŽte occidentale, le Svalbard jouit dâun climat tempĂ©rĂ© en raison de lâinfluence modĂ©ratrice du Gulf Stream. Le vent polaire en provenance de la SibĂ©rie amĂšne en revanche un climat plus rigoureux au nord et dans la partie orientale de lâarchipel. Câest Ă cet endroit que la banquise est la plus belle. Les tempĂ©ratures varient en moyenne entre -20°C lâhiver et +10°C lâĂ©tĂ© Le soleil de minuit soit le jour permanent dure 4 mois entre la fin avril et la fin aoĂ»t, et la nuit polaire durant les 4 mois opposĂ©s, pendant lesquels il est possible dâapercevoir les aurores borĂ©ales3Le Svalbard est lâune des rĂ©gions arctiques prĂ©sentant la faune la plus abondante, avec plus de 3â000 ours polaires, des rennes, des renards arctiques, mais aussi des mammifĂšres marins tels que baleines, phoques, morses. On peut Ă©galement y observer de nombreuses espĂšces dâoiseaux comme la sterne arctique, le mergule nain, le guillemot de BrĂŒnnich, le macareux moine, le goĂ©land ou encore la mouette blanche. Lâobservation, notamment le long des falaises impressionnantes d'Alkefjellet est paysage du Svalbard est marquĂ© par le contraste saisissant qui existe entre les diffĂ©rentes zones de lâarchipel. La cĂŽte ouest du Spitzberg, compte de nombreux fjords spectaculaires et des montagnes anguleuses aux vallĂ©es couvertes par des glaciers, tandis que d'autres parties du Svalbard ont tendance Ă ĂȘtre couvertes par de vastes plateaux polaires. Lâarchipel est couvert Ă 60% par la glace et Ă 30% par des montagnes. Un remarquable tapis de fleurs fait son apparition sur la toundra, durant la trĂšs brĂšve saison estivale. Les arbres sont totalement absents de Svalbard. PrĂšs des deux tiers du Svalbard sont protĂ©gĂ©s et se composent de plusieurs rĂ©serves naturelles, parcs nationaux et sanctuaires d' la dĂ©couverte du Svalbard est revendiquĂ©e par lâIslande, câest officiellement le navigateur hollandais William Barrent qui a dĂ©couvert lâarchipel en 1596, alors quâil cherchait le Passage du Nord-Est. Mais câest seulement en 1920 que lâarchipel devient Svalbard a dâabord servi comme base pour la pĂȘche Ă la baleine, pour la chasse des animaux Ă fourrure, puis comme base pour lâexploration de lâArctique, avant dâĂȘtre exploitĂ©e pour ses mines de charbon par divers dĂ©partsPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garantiIntĂ©rĂȘts principauxOurs polaireMorseBaleinesPhoquesBanquiseFjordSites historiquesDu Spitzberg au Groenland Longez la partie occidentale du Spitzberg puis la cĂŽte orientale et sauvage du GroenlandSvalbard, Groenland, IslandePrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti14 jdĂšsCHF9â jdĂšsCHF12â jdĂšsCHF8â jdĂšsCHF8â jcomplet15 jdĂšsCHF14â jdĂšsCHF14â j-28%dĂšsCHF11â jdĂšsCHF6â jcomplet14 jdĂšsCHF9â j-5%dĂšsCHF13â j-28%dĂšsCHF10â jdĂšsCHF9â jdĂšsCHF8â jdĂšsCHF8â jdĂšsCHF5â jdĂšsCHF9â j-19%dĂšsCHF11â principauxBaleine Ă bosseOurs polaireMorseBĂ©lugaBaleinesIcebergBanquiseAurore borĂ©aleFjordVillages traditionnelsPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti10 jdĂšsCHF10â jdĂšsCHF6â jdĂšsCHF8â jdĂšsCHF10â jdĂšsCHF6â jdĂšsCHF8â jdĂšsCHF3â j-23%dĂšsCHF8â jcomplet9 jdĂšsCHF6â j-19%dĂšsCHF12â jcomplet8 jdĂšsCHF3â jdĂšsCHF7â jdĂšsCHF6â j-24%dĂšsCHF6â jdĂšsCHF9â jcomplet8 jdĂšsCHF7â j-14%dĂšsCHF9â jdĂšsCHF4â jdĂšsCHF5â jdĂšsCHF7â jdĂšsCHF5â jdĂšsCHF4â jdĂšsCHF3â jdĂšsCHF3â jdĂšsCHF7â jdĂšsCHF7â jdĂšsCHF5â jdĂšsCHF5â jdĂšsCHF4â jdĂšsCHF8â jdĂšsCHF2â jdĂšsCHF9â jdĂšsCHF5â jdĂšsCHF10â jdĂšsCHF7â j-24%dĂšsCHF6â jdĂšsCHF5â jdĂšsCHF5â jdĂšsCHF8â j-15%dĂšsCHF6â jdĂšsCHF5â j-24%dĂšsCHF7â jdĂšsCHF9â jdĂšsCHF4â jdĂšsCHF5â jdĂšsCHF9â jdĂšsCHF8â jdĂšsCHF5â jdĂšsCHF5â jdĂšsCHF5â jdĂšsCHF7â jcomplet11 jcomplet8 jdĂšsCHF5â j-25%dĂšsCHF4â jdĂšsCHF8â jcomplet10 jdĂšsCHF6â jdĂšsCHF11â jdĂšsCHF7â jdĂšsCHF5â jdĂšsCHF8â principauxOurs polaireMorseBĂ©lugaBaleinesBanquiseFjordSki au Spitzberg Embarquez Ă bord dâun voilier de charme pour dĂ©valer les pentes du Spitzberg Ă ski de randonnĂ©eSvalbardPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti8 jdĂšsCHF3â jdĂšsCHF3â principauxOurs polaireMorseBĂ©lugaBaleinesBanquiseGlacierFjordPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti10 jcomplet11 jcomplet8 jdĂšsCHF5â jdĂšsCHF12â j-23%dĂšsCHF9â j-23%dĂšsCHF7â j-14%dĂšsCHF11â j-24%dĂšsCHF7â jdĂšsCHF11â jdĂšsCHF6â jdĂšsCHF10â jdĂšsCHF9â jdĂšsCHF7â jdĂšsCHF7â jdĂšsCHF7â jdĂšsCHF6â j-5%dĂšsCHF11â j-19%dĂšsCHF12â jdĂšsCHF9â jdĂšsCHF7â jdĂšsCHF6â jdĂšsCHF7â jdĂšsCHF6â jdĂšsCHF11â jcomplet11 jdĂšsCHF9â jdĂšsCHF7â jdĂšsCHF6â jdĂšsCHF6â jdĂšsCHF11â jdĂšsCHF10â jdĂšsCHF7â jdĂšsCHF6â jcomplet11 jdĂšsCHF9â jdĂšsCHF11â jdĂšsCHF7â jdĂšsCHF10â jdĂšsCHF6â jdĂšsCHF6â jdĂšsCHF9â jdĂšsCHF11â jdĂšsCHF10â jdĂšsCHF9â jdĂšsCHF11â jdĂšsCHF10â jdĂšsCHF11â principauxOurs polaireMorseBaleinesPhoquesBanquiseFjordSites historiquesPĂŽle Nord SituĂ© Ă plus de 700km de la premiĂšre terre, au milieu de lâocĂ©an arctique, le pĂŽle nord est accessible uniquement par bateau brise-glace ou par hĂ©licoptĂšre. Ătre sur le toit du monde, câest ĂȘtre Ă toutes les heures du monde Ă la fois. Environ 1 000 personnes par an seulement atteignent ce point Ă partir duquel toutes les directions sont australes. Grandes chances de pouvoir observer des ours polaires, des phoques, des morses, des baleines et de nombreux oiseaux en cours de route. ExpĂ©dition mythique, voyage dâune vie. OpportunitĂ© de visiter en route le trĂšs sauvage archipel François-Joseph. Se visite en avril, juin et juillet. 1Bien quâinaccessible la majeure partie de lâannĂ©e, il est possible de se rendre au pĂŽle Nord en juin et juillet lorsque la glace est plus mince ou en avril si lâon se dĂ©place en hĂ©licoptĂšre. Toutes les croisiĂšres au pĂŽle Nord commencent et se terminent au port de Mourmansk, dans le nord-ouest de la Russie, et passent par le merveilleux mais trĂšs rarement visitĂ© archipel la glace pour atteindre le 90° degrĂ©s nord, oĂč vous pourrez dĂ©barquer et contempler une mosaĂŻque de plaques de glace. Il sâagit dâun moment extrĂȘmement fort en Ă©motion, oĂč la notion de temps nâa plus sa place il vous suffit en effet de faire un tour sur vous-mĂȘme pour parcourir tous les fuseaux horaires du premiĂšre exploration daterait du tout dĂ©but de XXe siĂšcle, mais celle-ci est aujourdâhui contestĂ©e. La premiĂšre confirmĂ©e date de 1926, par son survol en ballon tempĂ©rature du pĂŽle Nord est toujours infĂ©rieure Ă 0°C, garantissant en permanence une banquise Ă©paisse de 2 Ă 4 dĂ©partsPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti16 jdĂšsCHF37â jdĂšsCHF55â jcomplet16 jdĂšsCHF46â jdĂšsCHF33â principauxOurs polaireMorseBaleinesPhoquesBanquiseSites historiquesExtrĂȘme-Orient russe© Heritage Expeditions â ACharles LâExtrĂȘme-Orient russe est unique par sa culture, son climat, son histoire, sa faune; câest un monde loin de la Russie que vous avez peut-ĂȘtre explorĂ©e. RĂ©gion trĂšs peu visitĂ©e et prĂ©servĂ©e, oĂč les voyages en petit bateau offrent le seul moyen dâaccĂ©der aux cĂŽtes rocheuses, aux Ăźles isolĂ©es et aux sites de reproduction de la faune. Paysages composĂ©s de fjords, de montagne, de volcans et de toundra. Faune variĂ©e et incroyablement riche avec des ours blancs et bruns, baleines, orques, phoques, morses ainsi que de nombreuses espĂšces dâoiseaux. LâĂźle Wrangel est rĂ©putĂ©e pour sa concentration dâours polaires et les chances inĂ©galĂ©es de les apercevoir en nombre important. Accueil chaleureux de groupes autochtones, dont les Tchouktches, qui partagent avec plaisir leurs traditions et leur culture. Se visite de juin Ă aoĂ»t. 1Partie la plus orientale de la Russie, cette rĂ©gion dâĂ©tend de la Tchoukotka au-dessus du dĂ©troit de BĂ©ring, jusquâau Nord du Japon avec les Ăźles Kouriles, en passant par la pĂ©ninsule du Kamtchatka. Elle fait ainsi face Ă lâAlaska, situĂ©e de lâautre cĂŽtĂ© du dĂ©troit. Cette terre lointaine, difficile dâaccĂšs depuis lâEurope, aux paysages volcaniques, reste encore trĂšs la rĂ©gion du dĂ©troit de BĂ©ring, les navires doivent ĂȘtre avant tout performants, afin dâassurer un passage au travers de la banquise. De petits navires dâune capacitĂ© infĂ©rieure Ă 100 passagers opĂšrent dans les eaux autour du Kamtchatka jusquâĂ lâile de Wrangel. Au-delĂ de cette destination, un brise-glace est requis pour assurer le passage. Les croisiĂšres dans cette rĂ©gion sont peu nombreuses et les itinĂ©raires peuvent changer dâune annĂ©e Ă lâ dĂ©partsCĂŽte du Kamtchatka Longer la cĂŽte du Kamtchatka Ă la dĂ©couverte des ours bruns, dâoiseaux et dâanimaux marins, dans un paysage de volcans et de russePrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garantiIntĂ©rĂȘts principauxOrqueBĂ©lugaLoutre des mersOurs brunBaleinesGlacierFjordToundraSites historiquesVillages traditionnelsPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garantiIntĂ©rĂȘts principauxBaleine Ă bosseOrqueLoutre des mersOurs brunBaleinesFjordToundraSites historiquesVillages traditionnelsLe passage du Nord-Est, du Kamtchatka Ă Murmansk Le mystĂ©rieux passage du Nord-Est a captivĂ© les aventuriers depuis des siĂšcles. Ses eaux contrĂŽlĂ©es par la Russie sont imprĂ©gnĂ©es dâhistoire et de mystĂšre, tandis quâune faune abondante se trouve le long de ses rives russePrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti25 jdĂšsCHF24â principauxBaleine Ă bosseOurs polaireMorseNarvalBĂ©lugaBaleinesPhoquesBanquiseFjordVillages traditionnelsPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garantiIntĂ©rĂȘts principauxBaleine Ă bosseOrqueLoutre des mersOurs brunBaleinesPhoquesGlacierFjordMer dâOkhtosk Ce voyage unique parcourt une rĂ©gion peu connue et rarement visitĂ©e, abritant notamment des otaries, des phoques et beaucoup dâ russePrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garantiIntĂ©rĂȘts principauxOurs brunBaleinesPhoquesSites historiquesTchoukotka et Ăźle Wrangel Cette expĂ©dition vous fera dĂ©couvrir des lieux magiques et prĂ©servĂ©s, notamment les Ăźles Herald et Wrangel, territoire de lâours russePrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti13 jdĂšsCHF8â principauxBaleine Ă bosseOurs polaireMorseBaleinesToundraSites historiquesVillages traditionnelsAlaska Ătat amĂ©ricain situĂ© entre le Canada et lâExtrĂȘme Orient russe, dont il est sĂ©parĂ© par le dĂ©troit de BĂ©ring Ă parfois moins de 100km. Terre lointaine encore vierge et sauvage, pour le plaisir des amateurs de nature sauvage. Nombreux parcs nationaux et marins, permettant dâobserver Ă©lans, caribous, grizzlis, baleines, loutres ou marsouins. Glaciers spectaculaires. Paysages variĂ©s composĂ©s de montagnes, lacs, forĂȘts, et toundra. Se visite de mars Ă septembre. 1Vaste pĂ©ninsule dâenviron 3 fois la France situĂ©e Ă l'extrĂ©mitĂ© nord-ouest du continent nord-amĂ©ricain, elle est bordĂ©e dâeau sur trois cĂŽtĂ©s au nord, la mer de Beaufort et l'ocĂ©an Arctique ; Ă l'ouest, la mer des Tchouktches et la mer de BĂ©ring ; au sud, le golfe d'Alaska et l'ocĂ©an Pacifique. A lâest, se situe la partie arctique du Canada. Le dĂ©troit de BĂ©ring sĂ©pare dâĂ peine plus de 80km lâAlaska du continent asiatique. LâAlaska comprend de trĂšs nombreuses Ăźles, en particulier au sud et Ă lâouest avec les Ăźles AlĂ©outiennes qui sâĂ©tendent sur plusieurs centaines de kilomĂštres en direction du de montagnes et de glaciers tabulaires, lâAlaska est fortement soumis aux mouvements tectoniques formant volcans et sĂ©ismes. Au nord de lâAlaska, la chaĂźne de Brooks, massive et peu Ă©levĂ©e, sâĂ©tend de la frontiĂšre canadienne Ă la mer des Tchouktches. Au-delĂ du versant nord aboutie une vaste plaine jusquâau rivage arctique. Si le littoral de lâAlaska est donc composĂ© plutĂŽt de plages au nord, il est en revanche dĂ©coupĂ© et accidentĂ© au sud avec des chaĂźnes montagneuses plongeant directement dans lâocĂ©an, formant des fjords que lâAlaska soit situĂ© Ă la mĂȘme latitude que la Scandinavie, la nature est plus hostile que dans le Nord de lâEurope, Ă lâexception de la cĂŽte du Pacifique. Le littoral de lâocĂ©an Arctique et de la mer de BĂ©ring possĂšde un climat polaire, froid et aride avec un sol gelĂ© sur plusieurs centaines de mĂštres, alors que la partie plus mĂ©ridionale se caractĂ©rise par un climat frais et accueille un trĂšs grand nombre dâespĂšces dâanimaux diffĂ©rents, dont les plus emblĂ©matiques sont le grizzly, lâours kodiak, le caribou, lâĂ©lan, le loup et le mouflon de Dall. De nombreux autres mammifĂšres se sont Ă©galement adaptĂ©s aux conditions rudes de lâAlaska renard roux, castor, bĆuf musquĂ©, liĂšvre arctique ou loutre. Dans la zone arctique, la banquise accueille quant Ă elle des phoques, des morses et des ours blancs. Lorsque les eaux arctiques ne sont pas glacĂ©es, il est aussi possible de voir des accueille une faune trĂšs diversifiĂ©e, dont les plus emblĂ©matiques sont le grizzly, lâours kodiak, le caribou, lâĂ©lan, le loup et le mouflon de Dall. De nombreux autres mammifĂšres se sont Ă©galement adaptĂ©s aux conditions rudes de lâAlaska renard roux, castor, bĆuf musquĂ©, liĂšvre arctique ou loutre. Dans la zone arctique, la banquise accueille quant Ă elle des phoques, des morses et des ours blancs. Lorsque les eaux arctiques ne sont pas glacĂ©es, il est aussi possible de voir des un climat froid, la vĂ©gĂ©tation est plutĂŽt variĂ©e, entre toundra au Nord, forĂȘt tempĂ©rĂ©e au sud et forĂȘt borĂ©ale et taĂŻga Ă lâintĂ©rieur des dĂ©partsLa cĂŽte de lâAlaska et du Canada ExpĂ©dition entre grands espaces, gigantesques glaciers, montagnes escarpĂ©es, toundras infinies et lacs scintillants, abritant grizzlis et animaux et CanadaPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti15 jdĂšsCHF12â jdĂšsCHF10â principauxBaleine Ă bosseOrqueLoutre des mersOurs brunBaleinesPhoquesGlacierFjordPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garantiIntĂ©rĂȘts principauxBaleine Ă bosseOrqueLoutre des mersOurs brunBaleinesPhoquesGlacierFjordPassage du Nord-Ouest Aventurez-vous bien au-dessus du cercle polaire arctiqueGroenland, Canada et AlaskaPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti25 jdĂšsCHF35â j-19%dĂšsCHF8â jdĂšsCHF15â jdĂšsCHF59â principauxBaleine Ă bosseOrqueOurs polaireNarvalBĂ©lugaBaleinesPhoquesAurore borĂ©aleFjordVillages traditionnelsTerre Francois-Joseph Vaste archipel de 192 Ăźles situĂ© au nord de la Russie et Ă lâest du Spitzberg, dĂ©couvert quâĂ la fin du XIXe siĂšcle. PeuplĂ© principalement dâours polaires, de morses et dâoiseaux de mer, il est lâun des endroits les moins visitĂ©s de lâArctique. Une des terres les plus reculĂ©es. Paysages et glaciers spectaculaires. Se visite uniquement entre juillet et aoĂ»t. 1Vous avez la possibilitĂ© de faire, soit une croisiĂšre se rendant spĂ©cialement dans lâarchipel, soit de vous y arrĂȘter lors dâune croisiĂšre Ă destination du pĂŽle bord dâun zodiac, partez explorer la banquise, les falaises abritant de nombreuses espĂšces dâoiseaux et la toundra, en marchant sur les pas de cĂ©lĂšbres explorateurs, dans diffĂ©rents sites historiques bien faune arctique morses, baleines, ours polaires peut ĂȘtre observĂ©e nâimporte oĂč, nâimporte quand. Les falaises qui bordent les diffĂ©rentes Ăźles sont aussi le refuge de colonies dâoiseaux marins. Les 24 heures de lumiĂšre seront idĂ©ales pour profiter de toutes les opportunitĂ©s dâobservation dĂ©partsPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garantiIntĂ©rĂȘts principauxOurs polaireMorseBaleinesPhoquesBanquiseFjordSites historiquesPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti19 jdĂšsCHF26â principauxOurs polaireMorseBĂ©lugaBaleinesBanquiseSites historiquesPrix par personne en cabine doublePrix opĂ©rateur garanti16 jdĂšsCHF37â jdĂšsCHF55â jcomplet16 jdĂšsCHF46â jdĂšsCHF33â principauxOurs polaireMorseBaleinesPhoquesBanquiseSites historiquesContactez nos experts !Skip back to main navigationEXPLICATIONS SUR LE PRIX Prix par personne en cabine double la moins chĂšre encore disponible Ă confirmer lors de la rĂ©servation ; catĂ©gories doubles supĂ©rieures possible. Pension complĂšte durant toute la croisiĂšre. Certaines activitĂ©s peuvent ĂȘtre proposĂ©es contre supplĂ©ment kayak, plongĂ©eâŠ. Les vols ne sont pas inclus dans le prix, sauf si AVANTAGES CroisiĂšres au prix opĂ©rateur garanti, promotions incluses. Expertise pointue. Agence indĂ©pendante et conseillers neutres. PossibilitĂ© dâorganiser des arrangements avant/aprĂšs la croisiĂšre vols, visas, visitesâŠ.Nous utilisons des cookies sur notre site pour vous donner une meilleure expĂ©rience de navigation. En cliquant sur "Accepter", vous autorisez l'utilisation de tous les cookies.
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archipel arctique connu pour son loup blanc